Saison 1, épisode final
posté le 28 February 2007 à 11:11
Mon pauvre ami Hector.
Il est venu nous dire un dernier au revoir au bureau.
Ça faisait quinze jours que l’on ne l’avait pas revu, depuis son licenciement en fait.
Il était méconnaissable, amaigri, pas rasé, sale, il sentait le vin et le mauvais alcool.
Il avait pensé à nous amener une jolie surprise, une arme à feu, un joli petit pistolet automatique.
La situation était cocasse, nous étions, Magali, ma future secrétaire, Simone, ma future ancienne secrétaire, moi et Hector dans la salle café de mon bureau.
Il s’était mis en tête de me menacer avec son arme pour que je lui rende son travail.
Lorsque je lui ai dit ses quatre vérités, le fait qu’il était vieux, usé, fatigué, il m’a visé et a tiré.
Heureusement, Simone avait l’amour de ses responsables et s’est intercalée entre moi et la balle.
Ah pauvre Simone, à un jour près, elle recevait sa lettre de licenciement et elle n’aurait pas été là pour me sauver la vie...
En tout cas c’est incroyable ce qu’une secrétaire peut contenir comme sang, une fontaine rouge a giclé un peu partout sur la moquette, merde ma moquette !
Si bien que Magali en tomba dans les pommes...
Enfin lorsque Hector a compris ce qu’il avait fait, il posa son arme à terre, se mis à genou en priant et en se demandant ce qu’il venait de faire.
Puis il me regarda, et me dit que tout était de ma faute, qu’il allait me balancer pour mes combines, pour l’argent que j’avais détourné, que toute la direction de la société irait en prison.
Moi, j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai pris son arme, je lui ai enfourné dans la bouche en direction du plafond.
Bang, légitime défense, j’ai tiré, oh merde, j’ai taché mon costume.
Du coup, grâce à mon ami Hector, je passe pour héros, je suis en première page du journal.
Et je n’ai même plus besoin de donner des indemnités de licenciement à Simone.
La vie est bien faite.
Pour la famille d’Hector, porte-clefs de la société pour tout le monde !
Ah, et en plus, j’ai pris goût au meurtre, ça m’ouvre de nouvelles perspectives pour mon travail.
Je te devais bien ça, Hector.
Il est venu nous dire un dernier au revoir au bureau.
Ça faisait quinze jours que l’on ne l’avait pas revu, depuis son licenciement en fait.
Il était méconnaissable, amaigri, pas rasé, sale, il sentait le vin et le mauvais alcool.
Il avait pensé à nous amener une jolie surprise, une arme à feu, un joli petit pistolet automatique.
La situation était cocasse, nous étions, Magali, ma future secrétaire, Simone, ma future ancienne secrétaire, moi et Hector dans la salle café de mon bureau.
Il s’était mis en tête de me menacer avec son arme pour que je lui rende son travail.
Lorsque je lui ai dit ses quatre vérités, le fait qu’il était vieux, usé, fatigué, il m’a visé et a tiré.
Heureusement, Simone avait l’amour de ses responsables et s’est intercalée entre moi et la balle.
Ah pauvre Simone, à un jour près, elle recevait sa lettre de licenciement et elle n’aurait pas été là pour me sauver la vie...
En tout cas c’est incroyable ce qu’une secrétaire peut contenir comme sang, une fontaine rouge a giclé un peu partout sur la moquette, merde ma moquette !
Si bien que Magali en tomba dans les pommes...
Enfin lorsque Hector a compris ce qu’il avait fait, il posa son arme à terre, se mis à genou en priant et en se demandant ce qu’il venait de faire.
Puis il me regarda, et me dit que tout était de ma faute, qu’il allait me balancer pour mes combines, pour l’argent que j’avais détourné, que toute la direction de la société irait en prison.
Moi, j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai pris son arme, je lui ai enfourné dans la bouche en direction du plafond.
Bang, légitime défense, j’ai tiré, oh merde, j’ai taché mon costume.
Du coup, grâce à mon ami Hector, je passe pour héros, je suis en première page du journal.
Et je n’ai même plus besoin de donner des indemnités de licenciement à Simone.
La vie est bien faite.
Pour la famille d’Hector, porte-clefs de la société pour tout le monde !
Ah, et en plus, j’ai pris goût au meurtre, ça m’ouvre de nouvelles perspectives pour mon travail.
Je te devais bien ça, Hector.
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