drh
Saison 2, épisode 5
posté le 29 April 2008 à 10:40
Il y a quinze jours, on s’est fait épingler par les services du travail.
Une loi idiote, sûrement de gauche, nous impose un quota.
En effet, 5% des employés du siège social du groupe devraient être handicapés.
Et il nous manque juste seize employés pour rentrer dans les statistiques...
Mais moi, ça fait plus de quinze ans que j’ai pas embauché quelqu’un ici au siège.
Si je me mets à embaucher, le président va croire que je me dégonfle, que je deviens humain avec l’âge.
Non mais en fait la solution est très simple, c’est de faire du neuf avec du vieux !
Tiens d’ailleurs, ça me rappelle une triste histoire, la semaine dernière, il y a eu un accident du travail.
Un employé, Denis Galot, s’est fais broyer un bras par une machine.
Tout ce dont il se souvient c’est qu’il réglait sa machine en marche,
et puis qu’il a entendu « Bonjour Monsieur Galot ».
Ensuite il aurait été poussé dans la machine.
Donc du coup on a un handicapé tout neuf.
Par contre il ne peut plus utiliser sa machine avec un bras, faut lui trouver une autre occupation.
Mouais, y’a pas besoin de ses deux bras pour passer le balai.
* appui sur le bouton de mis en marche de l’interphone *
« Christine, demandez au service des achats de prévoir l’achat d’un balai. »
Bon ben plus que quinze autre personnes et on est en règle.
Oui je sais, je sens pas ma force, je devrais faire gaffe quand je donne une tape amicale.
Une loi idiote, sûrement de gauche, nous impose un quota.
En effet, 5% des employés du siège social du groupe devraient être handicapés.
Et il nous manque juste seize employés pour rentrer dans les statistiques...
Mais moi, ça fait plus de quinze ans que j’ai pas embauché quelqu’un ici au siège.
Si je me mets à embaucher, le président va croire que je me dégonfle, que je deviens humain avec l’âge.
Non mais en fait la solution est très simple, c’est de faire du neuf avec du vieux !
Tiens d’ailleurs, ça me rappelle une triste histoire, la semaine dernière, il y a eu un accident du travail.
Un employé, Denis Galot, s’est fais broyer un bras par une machine.
Tout ce dont il se souvient c’est qu’il réglait sa machine en marche,
et puis qu’il a entendu « Bonjour Monsieur Galot ».
Ensuite il aurait été poussé dans la machine.
Donc du coup on a un handicapé tout neuf.
Par contre il ne peut plus utiliser sa machine avec un bras, faut lui trouver une autre occupation.
Mouais, y’a pas besoin de ses deux bras pour passer le balai.
* appui sur le bouton de mis en marche de l’interphone *
« Christine, demandez au service des achats de prévoir l’achat d’un balai. »
Bon ben plus que quinze autre personnes et on est en règle.
Oui je sais, je sens pas ma force, je devrais faire gaffe quand je donne une tape amicale.
4 commentaires
Saison 2, épisode 4
posté le 25 April 2008 à 10:52
Je suis de bien mauvaise humeur ce matin.
Notre responsable logistique, Jean René Pétavain de Guarde, a gagné un concours régional d’apnée.
Il a fait la première page du journal de l’entreprise.
Le président l’a nommé employé du mois.
Ca faisait longtemps que je ne l’avais plus été.
Oh moi je m’en fiche, ce n’est qu’un titre, je préfère me consacrer à mon travail plutôt qu’à ma communication personnelle.
...
Tiens, j’ai croisé avant hier matin Jean René aux toilettes.
Il m’a demandé si je n’étais pas trop déçu du fait de ne pas être l’employé du mois.
Ha ha ha, Quel bout en train ce Jean René, quoi que un peu trop pédant à mon goût.
Moi je lui ai demandé son record d’apnée, 3 minutes et 35 secondes.
Et puis on s’est entraîné à garder notre souffle.
Enfin surtout lui, malgré sa grosse tête, il quand même fait de l’apnée dans la cuvette des toilettes.
Et grâce à mes méthodes et à mes encouragements, il a tenu plus de 4 minutes !
Ah J’ai toujours été impressionné par la beauté du sport, la culture du beau geste et de l’effort.
Mais quand même, quelle bien triste fin pour un compétiteur de son rang, mourir noyé dans une cuvette de toilette d’entreprise.
Le journal de l’entreprise de ce matin a titré : « l’entraînement de trop »…
Enfin j’espère qu’on ne peut pas faire de test ADN sur les déjections humaines, parce que sinon j’y ai laissé un sacré paquet de preuves.
Notre responsable logistique, Jean René Pétavain de Guarde, a gagné un concours régional d’apnée.
Il a fait la première page du journal de l’entreprise.
Le président l’a nommé employé du mois.
Ca faisait longtemps que je ne l’avais plus été.
Oh moi je m’en fiche, ce n’est qu’un titre, je préfère me consacrer à mon travail plutôt qu’à ma communication personnelle.
...
Tiens, j’ai croisé avant hier matin Jean René aux toilettes.
Il m’a demandé si je n’étais pas trop déçu du fait de ne pas être l’employé du mois.
Ha ha ha, Quel bout en train ce Jean René, quoi que un peu trop pédant à mon goût.
Moi je lui ai demandé son record d’apnée, 3 minutes et 35 secondes.
Et puis on s’est entraîné à garder notre souffle.
Enfin surtout lui, malgré sa grosse tête, il quand même fait de l’apnée dans la cuvette des toilettes.
Et grâce à mes méthodes et à mes encouragements, il a tenu plus de 4 minutes !
Ah J’ai toujours été impressionné par la beauté du sport, la culture du beau geste et de l’effort.
Mais quand même, quelle bien triste fin pour un compétiteur de son rang, mourir noyé dans une cuvette de toilette d’entreprise.
Le journal de l’entreprise de ce matin a titré : « l’entraînement de trop »…
Enfin j’espère qu’on ne peut pas faire de test ADN sur les déjections humaines, parce que sinon j’y ai laissé un sacré paquet de preuves.
Saison 2, épisode 3
posté le 04 June 2007 à 09:44
Je me coucherai moins bête ce soir.
Je ne pensais pas qu’un vélo pouvait être aussi facilement broyé par un 4x4.
C’est vraiment solide un 4x4..
Surtout ceux avec le pare-buffle.
Et puis c’est confortable, sécurisant, et très pratique pour escalader les trottoirs pour se garer.
En plus malgré la taille et le poids d’un tel véhicule, on peut atteindre le 0 à 100 en 7 secondes.
Certes un 4x4 consomme un peu plus qu’une voiture, mais bon, ce n’est pas ces quelques dizaines de litres en plus à la pompe qui vont me ruiner…
Enfin, ça servira de leçon au facteur à livrer le courrier à midi pile et pas à midi et quart.
Quand je vous dis que je ne suis même pas rancunier, j’ai filé cinq euros pour la quête du quartier pour sa couronne de fleur.
Enfin tout ça pour dire QUE MOI, J’AIME BIEN RECEVOIR MON MAGAZINE DU MEDEF A L’HEURE.
Je ne pensais pas qu’un vélo pouvait être aussi facilement broyé par un 4x4.
C’est vraiment solide un 4x4..
Surtout ceux avec le pare-buffle.
Et puis c’est confortable, sécurisant, et très pratique pour escalader les trottoirs pour se garer.
En plus malgré la taille et le poids d’un tel véhicule, on peut atteindre le 0 à 100 en 7 secondes.
Certes un 4x4 consomme un peu plus qu’une voiture, mais bon, ce n’est pas ces quelques dizaines de litres en plus à la pompe qui vont me ruiner…
Enfin, ça servira de leçon au facteur à livrer le courrier à midi pile et pas à midi et quart.
Quand je vous dis que je ne suis même pas rancunier, j’ai filé cinq euros pour la quête du quartier pour sa couronne de fleur.
Enfin tout ça pour dire QUE MOI, J’AIME BIEN RECEVOIR MON MAGAZINE DU MEDEF A L’HEURE.
Saison 2, épisode 2
posté le 15 May 2007 à 09:14
Depuis l’incident avec Hector, je ne suis plus le même homme.
Sous la colère, j’avais plusieurs fois eu l’idée d’utiliser des moyens plus expéditifs pour me débarrasser de certains de mes employés.
Qui n’a jamais eu envie d’étrangler un de ses assistants parce que celui-ci vient de prendre la dernière sucrette sans se soucier si vous aimez votre café sucré.
SALE PETIT MERDEUX !
Mais hélas, ma conscience, la peur de tuer, la peur d’ôter une vie humaine, me ramenait à la raison.
Je me demande comment je réagirais si cela arrivait aujourd’hui.
MERDEUX !
Et puis ce n’est pas si grave, ce n’est qu’une sucrette.
MERDEUX !
Heureusement, que je ne suis pas rancunier...
Enfin, l’agent de police a eu du mal à comprendre comment mon assistant Christian Falon a pu s’étrangler tout seul ce matin avec le cordon d’alimentation de la cafetière.
Oui, c’est un suicide.
Sous la colère, j’avais plusieurs fois eu l’idée d’utiliser des moyens plus expéditifs pour me débarrasser de certains de mes employés.
Qui n’a jamais eu envie d’étrangler un de ses assistants parce que celui-ci vient de prendre la dernière sucrette sans se soucier si vous aimez votre café sucré.
SALE PETIT MERDEUX !
Mais hélas, ma conscience, la peur de tuer, la peur d’ôter une vie humaine, me ramenait à la raison.
Je me demande comment je réagirais si cela arrivait aujourd’hui.
MERDEUX !
Et puis ce n’est pas si grave, ce n’est qu’une sucrette.
MERDEUX !
Heureusement, que je ne suis pas rancunier...
Enfin, l’agent de police a eu du mal à comprendre comment mon assistant Christian Falon a pu s’étrangler tout seul ce matin avec le cordon d’alimentation de la cafetière.
Oui, c’est un suicide.
Saison 2, épisode 1
posté le 10 May 2007 à 09:21
Ah quel triste week-end nous avons passé...
J’étais devant la télé, je regardais 100 minutes pour convaincre, avec Nicolas Sarkozy.
Oui, c’est une cassette que je me repasse pour me donner la pêche.
Et en pleine réponse de Nicolas, Youki, le petit Yorkshire de ma petite dernière, Jessica, a pissé sur mes chaussures...
Ouh le vilain petit chien chien.
DES ARMANI !
Méchant Youki , méchant chient !
DES SUR MESURES EN PEAU DE BUFFLE DE PAPOUASIE !
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis devenu comme fou, je l’ai empalé avec le premier objet que j’ai trouvé.
C’est fragile un Yorkshire, quand même , il arrêtait pas de couiner.
Ma femme et les enfants allaient rentrer des courses.
Je l’ai balancé dans le jardin à côté de son jouet préféré.
Le plein d’essence de la tondeuse et zou! plus aucune trace de Youki.
Mais oui Jessica, on va le retrouver ton Youki !
Mais non chérie, elle pas une drôle d’odeur la télécommande...
J’étais devant la télé, je regardais 100 minutes pour convaincre, avec Nicolas Sarkozy.
Oui, c’est une cassette que je me repasse pour me donner la pêche.
Et en pleine réponse de Nicolas, Youki, le petit Yorkshire de ma petite dernière, Jessica, a pissé sur mes chaussures...
Ouh le vilain petit chien chien.
DES ARMANI !
Méchant Youki , méchant chient !
DES SUR MESURES EN PEAU DE BUFFLE DE PAPOUASIE !
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis devenu comme fou, je l’ai empalé avec le premier objet que j’ai trouvé.
C’est fragile un Yorkshire, quand même , il arrêtait pas de couiner.
Ma femme et les enfants allaient rentrer des courses.
Je l’ai balancé dans le jardin à côté de son jouet préféré.
Le plein d’essence de la tondeuse et zou! plus aucune trace de Youki.
Mais oui Jessica, on va le retrouver ton Youki !
Mais non chérie, elle pas une drôle d’odeur la télécommande...
Saison 2, Teasers
posté le 06 March 2007 à 11:36
Prochainement dans « La Fabuleuse Histoire d’un DRH »
« Je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis devenu comme fou »
« Oui, c’est un suicide. »
« C’est vraiment solide un 4x4. »
« Elle est encore vive pour ses 75 ans »
« Tiens, j’ai croisé avant hier matin Jean René aux toilettes »
« Tout ce dont il se souvient c’est qu’il réglait sa machine en marche »
« Enfin, foi de DRH, un futur ouvrier de moins, c’est déjà ça de gagné. »
« Youri est devenu comme fou, d’un bras, il m’a levé de mon siège et m’a collé contre ma vitrine »
« Fumier de pigeons ! turbines à merde volante ! »
« C’est génial d’avoir une maîtresse, on peut réaliser tous ses fantasmes ! »
« Fin du flash-back, je reprends mes esprits »
« Christine, renseignez vous sur l’accident du poids lourd sur l’A54 de la semaine dernière. »
« Enfin cette année, la fête a été entachée d'un petit drame »
« Oh je me sens si bien, je ne ressens plus rien maintenant... »
« Je ne sais pas ce qui m'a pris, je suis devenu comme fou »
« Oui, c’est un suicide. »
« C’est vraiment solide un 4x4. »
« Elle est encore vive pour ses 75 ans »
« Tiens, j’ai croisé avant hier matin Jean René aux toilettes »
« Tout ce dont il se souvient c’est qu’il réglait sa machine en marche »
« Enfin, foi de DRH, un futur ouvrier de moins, c’est déjà ça de gagné. »
« Youri est devenu comme fou, d’un bras, il m’a levé de mon siège et m’a collé contre ma vitrine »
« Fumier de pigeons ! turbines à merde volante ! »
« C’est génial d’avoir une maîtresse, on peut réaliser tous ses fantasmes ! »
« Fin du flash-back, je reprends mes esprits »
« Christine, renseignez vous sur l’accident du poids lourd sur l’A54 de la semaine dernière. »
« Enfin cette année, la fête a été entachée d'un petit drame »
« Oh je me sens si bien, je ne ressens plus rien maintenant... »
Saison 1, épisode final
posté le 28 February 2007 à 11:11
Mon pauvre ami Hector.
Il est venu nous dire un dernier au revoir au bureau.
Ça faisait quinze jours que l’on ne l’avait pas revu, depuis son licenciement en fait.
Il était méconnaissable, amaigri, pas rasé, sale, il sentait le vin et le mauvais alcool.
Il avait pensé à nous amener une jolie surprise, une arme à feu, un joli petit pistolet automatique.
La situation était cocasse, nous étions, Magali, ma future secrétaire, Simone, ma future ancienne secrétaire, moi et Hector dans la salle café de mon bureau.
Il s’était mis en tête de me menacer avec son arme pour que je lui rende son travail.
Lorsque je lui ai dit ses quatre vérités, le fait qu’il était vieux, usé, fatigué, il m’a visé et a tiré.
Heureusement, Simone avait l’amour de ses responsables et s’est intercalée entre moi et la balle.
Ah pauvre Simone, à un jour près, elle recevait sa lettre de licenciement et elle n’aurait pas été là pour me sauver la vie...
En tout cas c’est incroyable ce qu’une secrétaire peut contenir comme sang, une fontaine rouge a giclé un peu partout sur la moquette, merde ma moquette !
Si bien que Magali en tomba dans les pommes...
Enfin lorsque Hector a compris ce qu’il avait fait, il posa son arme à terre, se mis à genou en priant et en se demandant ce qu’il venait de faire.
Puis il me regarda, et me dit que tout était de ma faute, qu’il allait me balancer pour mes combines, pour l’argent que j’avais détourné, que toute la direction de la société irait en prison.
Moi, j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai pris son arme, je lui ai enfourné dans la bouche en direction du plafond.
Bang, légitime défense, j’ai tiré, oh merde, j’ai taché mon costume.
Du coup, grâce à mon ami Hector, je passe pour héros, je suis en première page du journal.
Et je n’ai même plus besoin de donner des indemnités de licenciement à Simone.
La vie est bien faite.
Pour la famille d’Hector, porte-clefs de la société pour tout le monde !
Ah, et en plus, j’ai pris goût au meurtre, ça m’ouvre de nouvelles perspectives pour mon travail.
Je te devais bien ça, Hector.
Il est venu nous dire un dernier au revoir au bureau.
Ça faisait quinze jours que l’on ne l’avait pas revu, depuis son licenciement en fait.
Il était méconnaissable, amaigri, pas rasé, sale, il sentait le vin et le mauvais alcool.
Il avait pensé à nous amener une jolie surprise, une arme à feu, un joli petit pistolet automatique.
La situation était cocasse, nous étions, Magali, ma future secrétaire, Simone, ma future ancienne secrétaire, moi et Hector dans la salle café de mon bureau.
Il s’était mis en tête de me menacer avec son arme pour que je lui rende son travail.
Lorsque je lui ai dit ses quatre vérités, le fait qu’il était vieux, usé, fatigué, il m’a visé et a tiré.
Heureusement, Simone avait l’amour de ses responsables et s’est intercalée entre moi et la balle.
Ah pauvre Simone, à un jour près, elle recevait sa lettre de licenciement et elle n’aurait pas été là pour me sauver la vie...
En tout cas c’est incroyable ce qu’une secrétaire peut contenir comme sang, une fontaine rouge a giclé un peu partout sur la moquette, merde ma moquette !
Si bien que Magali en tomba dans les pommes...
Enfin lorsque Hector a compris ce qu’il avait fait, il posa son arme à terre, se mis à genou en priant et en se demandant ce qu’il venait de faire.
Puis il me regarda, et me dit que tout était de ma faute, qu’il allait me balancer pour mes combines, pour l’argent que j’avais détourné, que toute la direction de la société irait en prison.
Moi, j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai pris son arme, je lui ai enfourné dans la bouche en direction du plafond.
Bang, légitime défense, j’ai tiré, oh merde, j’ai taché mon costume.
Du coup, grâce à mon ami Hector, je passe pour héros, je suis en première page du journal.
Et je n’ai même plus besoin de donner des indemnités de licenciement à Simone.
La vie est bien faite.
Pour la famille d’Hector, porte-clefs de la société pour tout le monde !
Ah, et en plus, j’ai pris goût au meurtre, ça m’ouvre de nouvelles perspectives pour mon travail.
Je te devais bien ça, Hector.
Saison 1, épisode 15.
posté le 23 February 2007 à 10:57
Ah les congés de maternité.
Une loi stupide nous interdit de virer une pondeuse lorsqu’elle part en congé de maternité.
Pauvre Magali, ma secrétaire, enceinte jusqu’au cou !
Comment faire, oui, je vais la virer pour faute grave...
Pas compliqué, j’ai accès à son poste informatique, d’ailleurs on apprend beaucoup chose de ses employés en consultant leur courrier électronique...
Donc, j’ai modifié un dossier très urgent, j’ai rajouté plusieurs fautes, des non sens et des mots de patois.
C’est un dossier destiné au président, je le connais, il va débouler dans mon bureau, hurler, et la virer pour faute grave.
Au chômage, en congé de maternité, elle est pas prête de trouver du travail.
En plus elle est célibataire, et à mon avis le père ne va pas reconnaître l’enfant.
Ca sent la vie de misère à plein nez.
Encore un enfant qui part très mal dans la vie...
Pourtant, elle m’avait promis qu’elle prenait la pilule.
Saison 1, épisode 14.
posté le 16 February 2007 à 08:59
Juste avant de virer le responsable informatique, je lui avait demandé de me réaliser un programme qui me sort un nom au hasard d’un employé.
Tous les vendredis, juste avant de partir en week-end, je me fais mon petit lotto.
Ca me détend juste avant de prendre la route pour Deauville.
14h00 : Alors, aujourd’hui, c’est monsieur …
Roulements de tambours …
Le suspens est intenable !
14h05 : Oui, c’est monsieur Gavalni !
14h10 : Josseline, convoquez monsieur Gavalni dans mon bureau !
15h00 : Bonjour monsieur Gavalni, vous êtes le grand gagnant de la semaine !
Voici donc une magnifique tasse à café aux couleurs de la société et votre lettre de licenciement.
Félicitations et surtout BON WEEK-END !!!
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