Vu Hostel. Très bon voire excellent si on le prend "du bon coté".

Hostel, c'est ce que je qualifierais de stade 3 du film de glandes grand public.
Ce genre ne cesse de s'améliorer contrairement à la situation des bébés phoques, et j'aimerais dire citez moi un seul loisir de masse qui en fait autant ?

Retrospective:

1 - Scream: de la petite pisse pour ado branleur /§ A ete INTERDIT au mineurs dans certaines salles /§ Les films d'horreur ont ils influencés ces petits jeunes venus avec des armes en classe et tout le tintoin ?
A l'époque y'en avait pour se pisser dessus à la vue d'une blonde à la con qui se fait poignarder. Bref de la merde.

2 - Remake de massacre à la tronçonneuse par exemple: on passe à la vitesse supérieure; toujours très près des clichés de nos belles jeunesses libertaires, les gros seins siliconés se font néanmoins hachés menus avec plus de sauvagerie explicite, le style est plus travaillé, devient esthetique. Certes pour aller au fond des choses et faire un véritable film dérangeant, il y eu fallut se débarrasser de tout ces lieux communs remplis de freaks campagnard en mal de douleur, mais quelque part ça fait parti du show et le rend en fait que plus pervers. Cerveau non requis, plaisir décuplé.
La donnée essentiel qui entre en jeu est ici le sadisme, avec beaucoup de scenes de tortures et un plaisir essentiellement axé sur la fascination pour la douleur (mais que va t'il faire avec cet épluche-légumes ? Oh non ! Pas dans le cul ! Pitié pitié oh mondieu).

3 - Hostel: le stade 2+1. Les clichés se font moins ténus (j'ai dit moins, faut pas réver), l'esthetique et l'ambiance sont toujours très soignés et on assiste à l'introduction de scenes de fesses assez poussées (pour du cinéma grand public).
Mais surtout, le gore commence à devenir vraiment saignant. Hostel ne fait peut être pas encore le poid face à un Camp 731 et ses membres gelés cassés au marteau, mais à ce rythme on y sera pour le stade 4. (Hey ! Y'a quand même un cramage de gueule au chalumeau assez fameux ! Mais chut, spoiler pas bien).
En bref plus la mise en scene se complexifie, plus le message devient basique (du cul du sang) et plaisant.
Moins hypocrite aussi; parce que si on veut faire dans l'extrême faut pas faire sa pédale nom de dieu: tu l'as voulu tu l'as eu, un grand coup dans ton cul. Moins de suggestionplus d'action.
On note également un retrait des effets de surprise à deux roubles, dits effets de "j'allume la lumière et je tombe sur satan qui encule mon chat". Le ciné de flippe se mute en véritable ciné d'horreur en somme.

Je dirais donc que pris sous l'angle des qualités susdite, on passe un très bon moment. Alors oui oui, il arrive bien une dizaine de fois que l'on puisse prédire la scène suivante; le scénar tient peut être sur une feuille mais reste relativement réaliste et immersif pour ne pas tout gacher.
Quand bien même les protagonistes sont justes des marionnettes débiles et clichesques qui se rencontrent (comme le monde est petit) au bon moment sur une grande pièce de théatre, au fond on s'en fout. Le reste est si bassement animal que l'on en garde un très bon souvenir. Ca gicle bien, on sort, on fume sa cigarette et on se dit que c'etait pas mal.

Pour conclure je citerais la réference universelle que sont les inrockuptibles avec une phrase qui m'a bien fait marrer:

"Hostel" s'affirme dans chacun de ses plans comme l'une des choses les plus putassières que l'on ait vues.

Au grand concours de la noirceure, sur l'autel de la trueness, Evoken mérite une palme. Si il en existe de par le monde des groupes de doom convaincus et convaincants, des extremistes du low tempo sur deux notes, de la résonnance abrasive, aucun du haut de ma ridicule culture n'égale le malaise sadomasochiste profond profond dispensé par cet album. La musique d'Evoken est sans détour: claire. Pas d'effet sales, pas de gimmicks evil, juste du néant incarné, le nihilisme à son sommet.
Le terme idoine à l'écoute cet album, de ces six pistes lunaires, c'est fatigue vitale, on use réellement son karma à l'écouter, tant presque aucune concession à la lumière n'est tolérée: des guitares monotones, et, là est le paradoxe, j'aimerais dire "sans âmes mais pleines d'esprit", aux vocaux clairs Desespérés avec un grand d, ou beuglés, inhumain et sans tein, tous indifférement visceralement suicidaires, de la batterie cadence qui dit 'là c'est lent' 'là c'est lent mais c'est violent', et bien seul les claviers de ci de là se permettent une relative touche de mélancolie. Et croyez bien qu'il y a un fossé entre nihilisme et mélancolie.
Oh, puis je ne vous ai pas parlé des violons.
Si cet album fait mal au cul c'est normal, si il fait mal au cul sans user de basses techniques de mauvais son, d'instrus midi bouclés sur 30 min, c'est parce qu'Evoken sont des génies, qu'ils ont saisis l'essence du vide et nous prouvent si tant est besoin que l'art n'a pas à être ni beau ni agréable.

Ascend into the maelstrom
To sleep eternally

(Cliky sur les pochettes pour un morcheau)

Shades Of, le premier album après la démo et la promo installe un doom plombant au delà des mots. Un sentiment d'une lourdeur extrême plane sur cet album, passe lentement comme un gros nuage, et nous gratifie d'une ambiance funeraire de tout premier choix.




Shape amorce un virage sérré avec Angel Of Distress, son album le plus fameux et accessible. Ceci est du à l'adjonction de vocaux féminins d'une pureté proprement pétrifiante; du sinistre on passe au mélancolique.




Illusion's Play, troisième monument de Shape of Despair est décrié par les cons parce que tintin les vocaux "angeliques". Mais les compositions atteignent des sommets de beauté hypnotyques et mélancoliques, la musique s'adoucit un tantinet (comparé à Shades Of) mais se comlexifie énormement. Sans doute l'album le plus aboutit, si tant est qu'on puisse dire comme un sale con que les autres étaient mal finis. Mon préféré, quoique j'hesite avec Shades of.


^ Mais écoutez moi cette merveille ! Ah les putains de violons ! Ah ! $ù=))§§

Madder Mortem est surement le seul groupe de musique de satan avec une chanteuse et qui ne soit pas de la merde. Peut être parce que c'est plus dur de racoller le sale newby de fils de pute fan de nightwish quand on est une grosse, du coup personne n'aime sauf moi.

Ca a un petit coté simple-techniquement-mais-pas-moins-inspiré, avec une approche un tantinet doomy (dans l'esprit) qui est fort plaisante.



Necropol lit

http://www.filefactory.com/get/v3/f2.php?f=a54283715aadb33710288872

Trouvé sur http://www.southparknews.net le site qui latte les couilles.

L'interview de Jean louis Costes sur La Zone: http://zone.apinc.org/article.php?id=1288



Artiste inclassable et incroyablement prolifique (des centaines de performances, de disques, de films, de textes… ), Costes est sans doute l’artiste français underground qui a le plus de succès hors et dans nos frontières. A quoi cela peut-il tenir ? Au choc qu’il impose au « politicaly correct », au bon goût bourgeois, à un ordre moral de plus en plus répressif ? Sans doute. Mais Costes c’est d’abord un cri, brut, qui prend au tripes. Sur scène il éructe, crache, transpire, vomit, chie… Famille, patrie, religion, travail, tout y passe. Entre grand-guignol et art de la performance, en digne héritier d’un Pasolini ou d’un Artaud, Costes délivre sa vision d’un monde malade, dévoré de pulsions sadiques, de frustrations et d’hypocrisie. Poète sans concession, haï ou adoré, ses œuvres ne laissent jamais indifférent.
Hors-Circuits - 2006

Costes est l’artiste le plus politiquement incorrect d’aujourd’hui. Mais aussi un coeur tendre qui met sa vie en jeu et élève la branlette au rang des beaux-arts.
Costes emmerde le bon gout et le gout. Ses productions ne flattent pas l’oreille et hérissent le poil. Notre coté socialement correct pourra trouver ça “nul

http://www.imuzique.com/recherche/zonemetal/imuzique

* 1. Quand on ne sait pas quoi nous offrir, on nous offre des fleurs.
Elles sont toujours jolies.

Bah ouais grognasse, des fleurs.

* 2. Quand on ne sait pas quoi leur offrir, on leur offre du vin.
Il n'est pas toujours bon.

Va te bourrer la gueule avec tes fleurs.

* 3. On a plus de chances de se faire prendre en stop.

Et de se faire violer.

* 4. On peut se permettre des voitures minuscules.
Eux auraient l'impression d'y perdre leur virilité.

? Ceci dit c'est peut être pour que les accidents soient moins violents. He, avance, sale blonde.

* 5. On peut porter des barrettes dans les cheveux.

C'est vrai ?

* 6. On ne doit pas se raser tous les matins.

Moui, la gueule, au pire on s'en fout. Par contre les jambes hinhin.

* 7. Notre écriture est plus jolie.

Secretaire.

* 8. Quand on va avoir un bébé on le sait avant eux.

qu'on va se retrouver toute seule.

* 9. Au cinéma, on a le droit d'avoir peur, pas eux.

Je te prête pas mes GI-Joe salope.

* 10. Les confiseurs ont fait les sucettes spécialement pour les filles.

Malheureuse, c'etait un vibro.

* 11. On est rarement daltoniennes.

Bah.

* 12. Notre peau est plus douce.

Et c'est nous qu'en profitons.

* 13. On nous donne des noms de fleurs.
On leur donne des noms de papes.

Qui se souvient des fleurs ? Qui se souvient des papes ? Ah oui.

* 14. On a plus de zones érogènes qu'eux.

Mais les 3/4 du temps c'est dans le cul.

* 15. On provoque toujours des cris d'admiration quand on sait remplacer un pneu ou bricoler une prise.

Non, au pire un contrast évolutif mineur.

* 16. Qu'on garde notre ours en peluche de petite fille est attendrissant.
Qu'ils gardent leur ours en peluche de petit garçon est inquiétant.

Mon GI-Joe ??

* 17. On dit une qualité, on dit un défaut.

On dit ça veut rien dire.

* 18. Nos orgasmes sont plus longs.

Qu'est-ce que t'en sais ? Va simuler avec ton Roger.

* 19. On trimbale tout ce qu'on veut dans notre sac.

Sac à merde.

* 20. Avec nous, une serviette de bain se transforme en paréo.
Avec eux, elle se transforme en toge romaine.

Comme ça t'as les fesses à l'air.

* 21. On sait ce qu'il y a de bon à prendre dans les horoscopes, et on n'est pas plus superstitieuses pour autant.

Journée propice au suicide, pensez-y très fort.

* 22. Il existe des tas de machins qu'on peut se mettre ou s'enlever (des tattoos aux faux seins).

Livrée en kit, sans garanties.

* 23. On échappe aux urinoirs.

Et on se pisse dessus quand on peut pas.

* 24. On a eu très vite plus de maturité que les garçons.
Et ça se confirme en grandissant.

Cf 100 raisons d'être heureuse d'être une femme.

* 25. On peut faire rougir nos voisins de table quand on parle sexe au restaurant ou à la cantine.

Tu peux surtout passer pour une salope.

* 26. On peut porter du rose.

Et avoir l'air d'une couille.

* 27. Quand on met leurs vêtements, ça nous va bien.
Ils ne mettent pas les nôtres et ils ont bien raison !

Ca oui.

* 28. On vit plus longtemps.

Faux. Ou alors on s'ennuie.

* 29. On a donc plus de chance de toucher le montant de l'assurance-vie.

6 lettres: SALOPE.

* 30. On est capables de jouer pour gagner et de perdre en riant.

Ta connerie t'affranchie des contradiction.

* 31. Quand on craque, on pleure.

Et on emmerde son monde de bien pathètique façon.

* 32. C'est aussi efficace qu'une bagarre et on ne risque pas de casier judiciaire.

Quoi ? Qui ? Attention derrière toi ?

* 33. Une fille à sa maman, c'est charmant.
Un fils à son papa, c'est niais.

C'est souvent une salope de mère en fille ou une bourgeoise coincée.

* 34. Quand on est invitées et qu'on n'aime pas un plat, on peut prétexter qu'on a pas faim.

Et on t'y encourage la grosse.

* 35. Eux sont forcés de se resservir.

Non.

* 36. Nous sommes ivres plus vite et ça nous coûte moins cher.

Nous somme ivres moins vite, et ça nous coute moins cher en putes.

* 37. Etre petite peut être un atout.
Etre petit est toujours un handicap.

Oui, mais avec un bock sur la tête.

* 38. On doit courir moins vite pour devenir championne olympique.

Mais toujours plus vite que la precedante, c'est desesperant, surtout que ça remporte moins de fric que les disciplines masculines.

* 39. On peut continuer de jouer à la dame avec nos vernis à ongles, et continuer de jouer à la poupée avec nos enfants.

GI-JOE

* 40. On n'a pas besoin de regarder « le week-end sportif » pour avoir un sujet de conversation.

On prefere les potins hein ?

* 41. On peut serrer très fort son amoureux quand on roule derrière lui à moto.

Wheeling.

* 42. On est très douées pour les sous-entendus.

4 lettres: PUTE.

* 43. A 30 ans, on a encore le droit de faire de la balançoire ou du manège.

Mais on commence à mettre de l'anti-ride sur sa peau de vieille.

* 44. Ils ne connaîtront jamais le bonheur de porter une minijupe dès les premiers beaux jours.

Cf autres plaisirs affiliés.

* 45. On adore les sitcoms, et il y en a plein à la télévision.

Oh bien ! Allez la grosse, c'est l'heure du week-end sportif.

* 46. Pas besoin de temps mort pour récupérer entre deux youplaboums.

Mais une semaine pour s'assoir.

* 47. On peut enfourcher ou enjamber n'importe quoi sans avoir peur d'écraser quelques couilles au passage.

Mythe urbain.

* 48. On peut vivre avec une copine sans faire jaser les voisins.

Si on les invite.

* 49. Ce n'est pas à nous qu'on risque de demander un coup de main pour déménager le piano.

Useless.

* 50. On peut s'entendre dire que « pour une fille, on est plutôt drôle ».

Ou comment détourner un argument négatif.

* 51. On danse beaucoup mieux qu'eux.

Danser ? Danser ?? D.A.N.S.E.R ?!!

* 52. On peut porter des oreilles de Mickey sur la tête sans être ridicules.
Pas aussi ridicules qu'eux, en tout cas...

Toute notion de ridicule est abrogée depuis 51 paragraphes.

* 53. On voit plus de choses dans les formes des nuages.

Et ma bite ? Tu la vois ?

* 54. Un mec qui sort avec une fille beaucoup plus jeune est un vieux dégoûtant.
Une fille qui sort avec un mec plus jeune doit être une fameuse affaire.

Inversement grognasse.

* 55. La femme a toujours servi d'inspiratrice aux artistes.

Les hommes se sont servi de femmes pour s'inspirer, des fois.

* 56. On peut faire de la boxe ET être majorettes.
Eux pas.

Si tu fais de la boxe, t'auras pas grand succès en minijupe la gueule cassée.

* 57. On reçoit des bijoux de nos princes charmants.
Et on peut les revendre quand ils cessent d'être charmants.

Rends la bague ou bien ? C'est celle de ma précedente femme.

* 58. Il y a de la poésie dans le terme « jeune fille ».
Il y a de la voix qui mue dans le terme « jeune garçon ».

Il y'a une force naissante dans le termer « jeune garçon », il y'a des rêgles plein la culotte dans le terme « jeune fille ».

* 59. On ne connaît pas l'éjaculation précoce.

Mais on en profite.

* 60. Nos organes génitaux sont plus jolis.

Bah heu.

* 61. Et ils ne risquent pas de se coincer dans une braguette...

Mythe urbain derechef.

* 62. On peut faire du charme au serveur et se faire servir d'abord.

On peut peloter la serveuse, si elle cafte elle est virée.

* 63. Quand on est en retard, eux se font attendre, nous nous faisons désirer.

Inversement.

* 64. On peut se laisser séduire, et on n'est pas obligées de faire quoi que ce soit en échange...

Tas de viande.

* 65. On peut aussi se laisser faire.

Voila.

* 66. Les fées sont toujours des filles.

Les connes aussi.

* 67. On connaît beaucoup plus de chansons.

Je vais t'en apprendre une.

* 68. Et on chante plus juste.

Ah.

* 69. Il y a 10 fois plus de boutiques pour filles que pour garçons.

Consommatrice de merde.

* 70. Le lycra...

Ma main dans ta gueule...

* 71. On a la réputation d'être plus courageuses, on ne va pas démentir.

Sauf si on a le droit de pas déplacer le piano et de se mettre à pleurer.

* 72. Un mec qui regarde un film de cul est un sale obsédé.
Une fille qui regarde un film de cul le fait pour rigoler.

Les mecs qui jouent dans des film de culs sont enviés.
Les filles qui jouent dans des films de culs se font juste défoncer.

* 73. Avec un chapeau de paille, on a l'air d'une starlette.
Avec un chapeau de paille, ils ont l'air d'un jardinier.

Useless, la preuve.

* 74. Nos sous-vêtements sont plus jolis que les leurs.

Sauf si c'est toi qui te les payes.

* 75. Quand on a des cils courts, on peut tricher.
Quand ils ont des cils longs, ils n'en profitent pas.

Oui.

* 76. Après le divorce, on a plus de chances d'avoir la garde des enfants.

Grand bien !

* 77. Les producteurs télé pensent d'abord à nous.

à poil.

* 78. Les lendemains de fête, il nous suffit d'un peu de maquillage pour camoufler tout ça.
Eux, ils ont l'air ravagé pendant deux jours.

Vous aussi, mais pire.

* 79. Dans certains restaurants, on nous présente une carte sans prix.

Et le dessous de la table.

* 80. Les filles sont des groupies, les mecs des harceleurs.

C'est toujours l'obsédé qui se farcie la pute.

* 81. On a plus de subtilité et de nuances dans le plaisir.

Bin tiens ?

* 82. On est moins poursuivies pour harcèlement sexuel.

Oui ^^

* 83. On entre sans payer certains soirs dans les boîtes de nuit.

Soirée mousse gratuit pour les gros seins.

* 84. Il reste encore des hommes qui se sentent obligés de régler l'addition.

Ton addition vient ensuite.

* 85. Quand un bateau fait naufrage, on est évacuées d'abord.

C'est très laid de vouloir abuser des avantages que l'on vous a conferés par pitié (et pour vous baiser peut être après si on s'en sort), mais des fois ce sont juste des salauds qui en profitent pour faire une collec de femme sur un rafiot.
Ceci dit, les premier évacués sont surtout les plus rapides.

* 86. On a 4 mois de congés de maternité.

Gonflé comme une truie à vomir partout.

* 87. Et la seule chose qu'on ait à faire, c'est un bébé.

Easy.

* 88. On a rarement des poils sur le dos des mains.
Sur la paume aussi d'ailleurs.

Des poils dans la paume ? Un singe alors.

* 89. On devient rarement chauve.

Manquerait plus que ça.

* 90. Nos excitations sont discrètes, pas les leurs.

Ahhhhh trop beau la minijupe jla veuuuux

* 91. Si on n'y arrive pas, on peut faire semblant.
S'ils n'y arrivent pas, c'est qu'ils sont impuissants.

Faire semblant oui.

* 92. Dans les deux cas, c'est leur faute.

Dans tout les cas c'est toi qui prend.

* 93. Petites, on jouait à la Barbie ET aux petites voitures.

Pareil, on les démenbrais tes barbies.

* 94. Et on avait de meilleurs bulletins.

Suceuse.

* 95. Les compositeurs nous écrivent des chansons.

Pour te baiser derechef.

* 96. Les serial killers sont rarement des femmes.

Les victimes des serial killers sont souvent des femmes.

* 97. Les leaders d'extrême droite aussi.

Les politiciennes aussi.

* 98. Il suffit de prétendre une grossesse pour essayer de grappiller une place dans le bus.

Au japon.

* 99. La femme est l'avenir de l'homme.

Et du pastis.

* 100. Et de toute la race humaine.

Encore encore !

* 101. L'intuition est exclusivement féminine.

Naturellement. C'est bien representé dans la litterature policière d'ailleurs.

* 102. On se roule plus facilement en boule dans un fauteuil.

Putain. Ta gueule.

* 103. On est plus douées pour le fou rire.

Putain. Ta gueule.

* 104. Nous avons les Wonderbra's !

Ridicule.

* 105. Notre bureau est « personnalisé ».
Le sien est bordélique.

C'est la secretaire qui range, ou la femme de ménage.

* 106. On sait compter... nous !

100 bonnes raisons d'être heureuse d'être une femme.