Kro nique

posté le 07 January 2006 à 16:29
1 an avant de se faire sucer l'engin par tous les journalistes du monde libre avec un Angel of Distress mélodiquement masturbatoire , sans toutefois provoquer le retour du messie; 4 ans avant de se faire vilipender l'oignon par tous les journalistes du monde libre sur l'unique base des mérites passés, avec un Illusion's Play somme toute sympathique; bien après la tristement célèbre invention de la phrase d'introduction imbitable, Shape of Despair nous gratifiais de Shades of..., un album que je qualifierais avec une fougue évidente de funeral classique deluxe sans option for the masses.

Classique parce qu'il a acquis ce titre de par les qualités énoncées ci-après.
Deluxe parce que c'est du bien bel ouvrage finement éxécuté.
Sans options parce qu'il ne révolutionnera pas le genre avec son funeral très...classique.
For the masses parce qu'il constitue de par les qualités énoncées ci-dessus une fort belle introduction au genre. Quand bien même il se trouvera toujours un pharisien (pharisiens sacs à foutre !) sur vôtre prohètique route, qui soit assez indigne de parole pour proferer des âneries de type: "c'est chiant et techniquement je préfère dream theater"; et bien il n'en reste pas moins que Shades of... est relativement facile d'accès et s'adresse à tout le monde. Idéal donc pour commencer à apprecier le funeral (car c'est un genre qu'on "commence" à apprecier), avant de, pourquoi pas, verser comme votre serviteur dans d'infectes droneries à l'usage de marginaux mentaux.

Ceci dit pour rentrer dans le vif du sujet et parce que ça commence à bien faire, j'aimerais vous décrire par le menu la nature de la musique de Shades of.... Bizarrement je l'ai dans le baba; cet album est pour une raison qui echappe à mes facultés dantesque, très dur à bien retranscrire sans user de métaphores.
Si je vous disais voix raw - voix claire toutes deux traitrai graves et avec juste ce qu'il faut d'intensité dramatique, voix féminine tellement aérienne qu'on la croirait sortie d'un synthé, guitares lourdes mais relativement éffacées face au clavier, batteur narcoleptique, flute ?
Bien, passons aux métaphores.
A défaut d'avoir peu d'imagination, d'être con, on sera tôt ou tard saisi par la representation mentale d'un cortège funéraire (kilucrulustucru?), avec tout ce que cela implique: lenteur, majesté, fatalité, mélancolie et deuil. Je ne saurai mieux décrire Shades Of... que par l'archétype de ces termes.
D'aucun dirait: "hey patate, tu métonnes: c'est du doom." J'y rétorquerais bien dans le fond des yeux que tout les albums de doom ne dispensent pas ces sentiments et que mes termes sont comme de toujours admirablement choisis.
Bonustrack: la prod. est tip top.

9,86493/10 et je le pense.



...In the mist
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Une plaque tectonique dans ta gueule (à l'improviste)

posté le 30 December 2005 à 00:03
P.H.O.B.O.S est un genre de truc doom industriel assez difficilement classifiable mais proprement DANTESQUE (tambours). En plus c'est français, comme la team nowhere.

Chuis totalement conquis, la puissance dégagée est ahurissante mangez en.



Gregarious.
Monochrome Red.
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Zaldiar mon amour

posté le 29 December 2005 à 00:45


Il paye pourtant pas de mine l'antalgique; beaucoup de paracetamol, un peu de tradamol et au lit.
Cet antalgique opioïde agit en stimulant certains récepteurs morphiniques qui modulent la douleur.
Mais deux cachetons dans la conscience et hop, me voila quelque part entre la sérénité satisfaite, la somnolence lucide et l'euphorie tranquille, un vrai bonheur surtout pour moi et mon encephalo agité.
troubles de l'humeur
Si tu veux être un hippie et flotter dans le cosmos avec le Ché, Bob et Florent Pagny, Zaldiar est fait pour toi.
La prochaine fois que j'en demande je photocopie l'ordonnance sans scrupules.
ZALDIAR peut entraîner une dépendance
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NOwEl ! NoWEL !

posté le 25 December 2005 à 03:54
Lustrez les lampions, accordez les cithares, l'ami Canard t'amène ton cadeau !
A la lumière du sens artistique millenaire dont il se targue, à la sueur de son front sale et dégoulinant, il a épluché plus de 200 morceaux pour t'apporter le meilleur des quatre BO de Silent Hill, pas moins.

Et le tout pour quedale ! Gratos ! Une musique d'une telle classe, à bien y réflechir je vois qu'une balle dans la tête comme meilleur rapport qualité/prix.

La chose est constitué de deux dossiers:
-l'un pour les morceaux immortels et pétrifiants: pop-rock dépressif et ambiant mélancolique pour se tuer.
-l'autre pour tous les morceaux d'ambiant trop raw pour y figurer. Bien moins évident mais on aurait tort d'ignorer certains joyaux à faire passer Slaughter Natives pour un petit choriste à la croix d'bois.

Bon, je colle la chose (légale au fait) sur Yousendit, s'ta dire que le nombre de download est assez limité. MPisé moi si y'a problème.

Best of Silent Hill soundtrack by the amazing Canard
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Non-metal stuff

posté le 22 December 2005 à 13:55
Aux prises avec une infecte maladie qui me ronge l'âme et le corps, je dors plus la nuit. Par ennui moins que par grandeur d'esprit je transcende le mal par la culture en écoutant France Inter et en me vautrant devant Des mots de minuit. Voila ce que j'y trouve de bien:

ColdCut: de la (trip?) pop classieuse et délicate, je vous colle pas de mp3 ça serait ballot de passer à coté du clip.
http://www.coldcut.net/coldcut/ > Man in a garage (dans le petit menu en bas à gauche) > A man in a garage - Album version - video

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Nosfell: le genre de gars qui hésite pas à pousser des iiiiiiii à faire retourner le grand Jeff dans son fleuve, puis à faire la beatbox avec sa bouche sur fond de violoncelle.
Sladinji the grinning tree

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Mansfield Tya: deux fillettes timides qui chantent sur la vie si dure accompagnées d'une pelletté d'intruments classiques entre leur jolies mains.
Et demain déjà
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-Re

posté le 21 December 2005 à 15:08
Joie pétrifiante et félicité extatique, après moults problèmes de serveurs zonemetal est -re de ses cendres.

Si tu sais parler françois et que ton QI ne justifie pas l'internement, viens donc peupler la fine-fleur du site metal élitiste non-identitaire.
Et avec la V.2 qui va pas tarder à pointer le bout de ses fesses, c'est carrèment un nouvel eden pour toi et tes amis déviants, une nouvelle menace pour le monde libre, un vortex de connerie béante ouvert sur le néant.

Note: les nsbeumeux subissent une fouille rectale approfondie à l'entrée. Parfois, ils en meurent.
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CONcurrence: atelier bac à sable

posté le 20 December 2005 à 19:34
Tellement de raisons tellement simples de rejeter la religion, ou tout du moins de ne pas croire que si dieu existe c'est ton pote. Pourtant les exposer sonne un peu puéril, car le débat est stopé net depuis bien longtemps dans les mentalités par le plus infamant des concepts: le dogme, la peste.

Ainsi, l'argument clair et simple est rejeté, l'opprobe est jetée sur l'impudent qui ose l'énoncer, ignorant qu'il est du sacro saint mystère du tout puissant supposé, que personne ne semble en fait saisir.

DONC, voici en quoi consiste l'atelier bac à sable: démonte, chie, conspue la religion en quelques mots limpides d'enfant drapé d'innocence magnifique.

Il y a réellement matière, c'est un petit jeu mental interessant.
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Relaxation par les plantes

posté le 13 December 2005 à 10:24
Aujourd'hui, dans son infinie mansuétude Canard t'offre un mp3 de Sigur Ros et un autre du tribute à Nick Drake par Danny Cavannagh (Anathema).
Libère toi des vélléités de ce monde malade et rejoins le dans le cosmos, avec Florent Pagny.



Untitled



Cello Song
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Récréation

posté le 09 December 2005 à 14:46
>Cliky droit

Z'adhérez où vous vous cassez.
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Appel à la haine

posté le 07 December 2005 à 23:04
Matez donc le Zapping d'aujourd'hui, mercredi 7 (En haut à gauche > video, log: vent0line@hotmail.com pass: 123456).

Cette chose, starting over, ça se passe en face de chez moi, dans ma rue, et j'en ai assez de ces salopes hysteriques qui cassent tout, je veux dormir.
Demain je m'introduis sur le plateau et je viole de la ménagère en crise.
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