Ne massacrez pas mes rêves, bordel !

posté le 03 November 2005 à 18:58
C'est con, la vie. Pendant seize ans, on y croit, on se raccroche aux branches, on a une foi farouche dans le monde, dans l'avenir.
Et puis un jour, tout s'écroule, plus rien n'a de sens. L'univers, jadis si beau, est terne, un goût amer de défaite et de lassitude se répand dans votre bouche.

Le droit de cuissage, ou droit de jambage est une coutume qui conférait aux seigneurs du Moyen Âge le droit de passer une jambe nue dans le lit de la mariée. [...] Des écrivains et historiens des XVIIIe et XIXe siècles [...] ont accrédité la thèse que ce droit permettait à un seigneur de coucher avec la femme d'un vassal ou d'un serf la première nuit de ses noces.
De nos jours, cette assertion est combattue par des historiens, qui avancent que cette dernière pratique ne pouvait correspondre qu'à des abus.


Pourquoi qu'est-ce que je vous ai fait, bande d'enfoirés ?!
tags : désillusion

Commentaires

utr_dragon a dit :
posté le 03 November 2005 à 19:53
ça fait dix fois que je vous le dit que le droit de cuissage est une conneries inventée par les historiens du XIXe siècle.

7Wo_Orld a dit :
posté le 03 November 2005 à 20:42
Moi j'y ai toujours cru comme on me l'a si bien enseigné en cours de Français.

Augusto a dit :
posté le 03 November 2005 à 22:00
Forcément que ça correspondait à des abus, mais à quoi sert le pouvoir si on ne peut pas en abuser ? Ahahahah !

AlbertE a dit :
posté le 04 November 2005 à 09:48
En même temps, je ne vois vraiment l'intérêt de se contenter de glisser la jambe dans un lit.

Receswind a dit :
posté le 04 November 2005 à 10:16
Peut-être que les seigneurs de l'époque étaient fétichistes...

Poster un commentaire

Invité

Vous souhaitez commenter immédiatement ce billet. Vous ne pourrez pas l'éditer une fois envoyé.

Membre

Vous êtes membre ou souhaitez vous créer un compte sur l'asile.fr


L'accueil de l'asile.fr Les blogs sur l'asile.fr S'abonner au flux RSS des articles

Rechercher

Quelques mots ...

Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.

Articles importants