humour

La jalousie est un vilain défaut.

posté le 26 August 2006 à 18:30
Il partit chercher une tasse de café. C'était sa dix-septième de la matinée, mais il s'ennuyait un peu et la machine était sympathique. Au passage, il fit mine de reluquer la stagiaire, la nouvelle, celle avec des longues jambes et des yeux aguicheurs. Enfin, ça, c'est ce qu'en disaient les autres, il les avait entendus en allant prendre son douzième gobelet. Ou le onzième, peut-être.
Il sentit les yeux de la stagiaire se poser sur lui, et il détourna la tête en rougissant. La machine. Au moins, avec elle, il savait où il allait. Il pressa le pas. Quelques-uns commencèrent à le regarder d'un air bizarre, alors il accéléra encore. La machine à café : là-bas, il serait en sécurité. Il s'était fait une petite place, entre les plantes vertes, avec une chaise et cinq boîtes de trombones. Il avait dû ruser pour les amener là-bas sans se faire voir, mais il en était très fier.
Il courait, maintenant. Les regards des autres étaient braqués sur lui, et il se sentait mal. Il commença à réciter ce que sa maman lui disait, quand il était petit, pour se redonner courage. "Dans les affections comportant un risque infectieux, l'utilisation sera prudente en raison de la diminution des défenses naturelles de l'organisme contre l'infection", plus qu'un couloir.
Il tourna l'angle au pas de course, ce qui explique qu'il n'ait pas vu la corbeille à papiers qui traînait. Après un vol plané d'au bas mot un mètre cinquante-sept, sa tête heurta avec force l'arête de la machine à café, et il finit sa course dans les plantes vertes.

La première chose qu'il vit en reprenant conscience fut la poitrine de la stagiaire. Puis ses yeux, très beaux en effet. Ensuite seulement il aperçut les mouchoirs tachés de sang qu'elle tenait à la main. Comme il ne supportait pas la vue du sang, à plus forte raison le sien, il manqua s'évanouir à nouveau. Après réflexion, il décida que les yeux de la stagiaire étaient quand même plus intéressants qu'une vague brume grise, alors il fit juste semblant et garda les paupières entrouvertes.
Ce qui lui permit de voir la machine à café, qui tanguait depuis un certain temps, lui tomber dessus. La stagiaire n'a rien pu faire.
tags : café, humour, mort, texte

Aune Mane Chaud.

posté le 19 August 2006 à 14:54
Salut.
(…)
Vous attendez quoi, là, en fait ?
(…)
Non, mais je veux dire, vu ce qu’on me paye, vous n’espérez pas non plus que j’essaye d’être drôle ? Faut pas pousser, quand même. Moi aussi, j’ai une famille.
Si, si, je vous jure. La totale. (compte sur ses doigts) 2 frères, 3 sœurs, une mère, 7 cousins, 3 poissons rouges et 5 grands-parents. Sans compter les morts. A ma charge. Ouais, parce que j’avais essayé d’envoyer les mamies sur le trottoir, mais même les flics ils se sont marrés. Ils ont juste confisqué les dentiers. Chères, ces saloperies.
Mais bon, assez parlé de moi. Vous, plutôt ... pourquoi vous vous sentez obligés de venir voir des sketchs ? Quelque chose à compenser ? TF1, ça suffit pas ?
(montre dans le public)
- Non, toi, à la limite, je comprends, t’es moche.
- Toi, t’as pas de vie. OK, ouais.
- Mais toi, là, pourqu… ah, ouais, en fait, j’avais pas vu. Ouais … pardon.
Vu comme ça, tout s’explique. Et moi, en plus, j’ose me plaindre. C’est vrai qu’y en a qu’ont pas de bol dans la vie, quand même.
Si ça peut vous réconforter, dites-vous que ça aurait pu être pire. (réfléchit en se massant le menton) Ouais, non. Non.
Ben, je crois que je vais vous laisser entre vous, hein … j’ai, euh, un coup de téléphone sur le feu.

Manquerait plus que ça soit contagieux.

Mens sana in corpore, salaud.

posté le 28 May 2006 à 14:26
On me taxe un peu trop facilement, je trouve, de sportophobe. Il s'agit là, je tiens à le souligner, d'un jugement non seulement hâtif et scandaleux, mais de surcroît erroné, qui mériterait bien que je me vengeasse si ce n'était pas une activité aussi fatigante. D'ailleurs, ce matin, j'ai marché jusqu'à la douche : si ce n'est pas une preuve, ça ! Une preuve que je prends des douches, au moins. Oui, je sais. Mais j'essaie d'arrêter.
Arrêtez de vous dissiper, un peu. J'en étais donc au spr... sport. Voilà. J'ai donc, afin de prouver au monde entier et à la moitié féminine du monde en particulier que je suis un jeune et beau athlète, décidé d'inventer un sport.
Le principe est très simple : chaque équipe se compose de sept joueurs, dont trois filles. Accessoirement, on peut remplacer une des filles par un cul-de-jatte, cela rend le jeu plus amusant. Une partie oppose trois équipes, sur un terrain à forme elliptique d'aire soixante-dix mètres carrés.
Au début du match est posé, au milieu du segment formé par les deux foyers de l'ellipse, un récipient en terre cuite contenant deux virgule trois litres d'eau. Les trois équipes sont, initialement, placées à distance égale de ce récipient ; de plus, chacune dispose d'un autre récipient, en osier tressé cette fois, un peu comme ça, mais avec un fond étanche. Dans chaque équipe, avant la partie, un tirage au sort est effectué pour savoir qui sera chargé dudit truc en osier.

Au coup de sifflet annonçant le début du match, les trois équipes doivent s'emparer du récipient contenant l'eau ; puis l'équipe le détenant a pour mission de verser son contenu dans le panier d'une des deux autres, marquant ainsi un nombre de points proportionnel au volume d'eau du panier. Quand une équipe marque, le récipient en terre cuite est à nouveau rempli, et on le remet au centre du terrain. Bien entendu, cela explique le tirage au sort préalable pour choisir le porteur du panier, étant donné qu'une technique subtile et délicate pour marquer le plus de points possible est d'immobiliser les deux porteurs adverses en leur pétant les genoux.

Reste à choisir le nom pour ce nouveau et innovant sport qui me vaudra l'admiration de mes pairs et les soupirs langoureux des membres de la gent féminine. Attendu qu'il se base sur, avant tout, l'usage d'un bol et d'un panier, j'avais pensé à quelque chose comme "basket-bowl".
tags : humour, sport

Je suis un loup pour l'homme.

posté le 09 May 2006 à 19:43
Chacun sait que les monstres n'existent pas. Il est cependant déplorable que personne n'ait songé à les prévenir, eux. Nous.

Je me rétablis d'un mouvement souple sur le rebord de la fenêtre, dans l'ombre. J'entends distinctement leurs pas, maintenant, je pourrais presque entendre battre leur coeur. Ils approchent. Je sens leur odeur, je les vois à présent. Un jeune couple. Ils rient, ils discutent. Je saute.
Lui n'a même pas le temps de me voir qu'il est par terre, que mes dents fouillent sa chair. Son cou craque quand je l'achève. Son sang emplit ma bouche. Elle, elle me regarde en tremblant, les yeux écarquillés. La lune se reflète sur ses cheveux, sa peau, ses yeux. Elle est belle. Elle commence à crier. Elle n'aurait pas dû. Je ne dois pas être découvert ici. Je n'ai plus le choix. Elle s'effondre lentement, la gorge tranchée et les yeux emplis de terreur. Dommage.
La nuit touche à son terme, et je n'ai plus faim. Il faut que je rentre.

Personne n'a jamais prouvé l'existence des vampires, des loups-garou, ou des croque-mitaines. Ce qui est amusant, c'est que cela vous rassure : tout ce que ça signifie, en fait, c'est que tous ceux qui nous ont vu ne sont jamais revenus pour le prouver. Vous pouvez dormir tranquilles.

Avant d'entrer chez moi, je m'arrête pour humer l'air. L'odeur du sang qui imprègne mes narines m'empêche de bien tout discerner, mais je sens que quelque chose cloche. Quelque chose d'inhabituel est passé ici, et je ne sais pas quoi. Je sens mes poils se hérisser, je recule prudemment, peu à peu. Ne pas rester au milieu de la ruelle. Danger.
Sans faire de bruit, retenant mon souffle, je m'adosse au mur et je tourne graduellement la tête. C'est à ce moment précis qu'il choisit de me tomber dessus. Je le vois glisser silencieusement dans les airs, comme au ralenti, la cape déployée. Merde, il s'était planqué sur les toits. Je n'ai pas vraiment envie de le laisser finir son joli vol plané, alors je sors mes griffes, bande mes muscles. Et bondis.
L'impact a lieu à environ trois mètres du sol. Un tourbillon de cape, de griffes et de crocs. Il est rapide, très rapide, il esquive mes crocs sans difficulté. Mais moi, je suis une masse de cent vingt kilogrammes de muscle, je suis en colère, et j'ai récupéré des forces tout à l'heure. Il ne pare pas tous mes coups. Pas celui-ci. Je l'envoie voler contre l'angle du mur avec un bruit sourd, et atterris avec grâce, avant de lui bondir à la gorge. Il parvient presque à bloquer ma mâchoire. Presque. Je le regarde mourir avec joie.
Ah, non, il n'est pas mort. Bordel, je déteste les vampires. Il va falloir que je lui coupe la tête, et je vais encore m'en mettre partout.

Ce n'est pas toujours facile d'être un loup-garou, vous savez. Enfin, lycanthrope. D'abord, il y a le problème du besoin irrépressible de sauter sur les gens pour les réduire en pièces, chaque fois que la lune paraît. C'est un léger handicap, socialement parlant. Manger ses petites amies, tout ça, je veux dire.
Non, le véritable problème, c'est que chaque nuit, je reviens avec des habits en lambeaux. Je crois que je suis l'être ayant le plus gros budget chemises annuel du monde.

Heureusement que j'ai des repas gratuits, pour compenser.
tags : humour, loup, texte, vampire

L'éternité, ça dure longtemps ?

posté le 20 April 2006 à 17:19
Je suis mort hier. Ça n'a l'air de rien, dit comme ça, mais ça m'a fait un choc. Quand je l'ai réalisé, je veux dire. Au début, bizarrement, je ne me suis rendu compte de rien - oh, une légère migraine, peut-être, mais pas grand chose de plus. C'est seulement quand je suis allé dans la cuisine chercher un cachet d'aspirine que j'ai compris.
Il faut dire qu'un squelette de deux mètres de haut, avec une grande cape noire et une faux, ça aide.

Tout de même, je suis un peu déçu : je m'attendais à un tunnel avec une grande lumière blanche, et des tas de jolies filles qui m'attendraient avec des cocktails et des pommes de terres. Ou, au moins, un gros moche tout rouge avec des cornes et des flammes tout autour, et une sorte de voix off par dessus. Le minimum, quoi.
Eh bien, que dalle. Depuis vingt et une heure, douze minutes et trente-sept secondes, je m'ennuie.

Il y a bien eu le grand type du début, avec sa faux, qui m'a annoncé la nouvelle et m'a raconté deux ou trois blagues ; mais il est vite parti, en me disant qu'il avait du boulot et qu'on viendrait s'occuper de moi. La mort, ce n'est plus ce que c'était, si vous voulez mon avis. Je veux dire, il aurait au moins pu rester un peu plus, histoire que je comprenne la chute de celle avec le curé, l'ornithorynque et les trois poireaux.

La mousse de saumon, mon cul. Y avait du sang partout, quand je suis retourné voir dans ma chambre. J'aurais bien vomi, mais j'avais mon estomac sous les yeux. Ça n'aide pas. D'un autre côté, je sais enfin de quoi j'ai l'air, vu de l'extérieur. D'un cadavre.

À la réflexion, il y a bien eu quelqu'un d'autre, un espèce de petit machin bleu, il y a quelques heures, avec des poils partout genre fourrure. J'espère que ce n'était pas trop important, j'ai marché dessus sans faire exprès. Ça a fait "poutpout", et après, il y avait une grosse flaque bleue, c'était drôle. Je suis quand même bien emmerdé, si ça se trouve, j'ai fait une connerie avec le poutpout. J'espère que je ne vais pas me réincarner en mouche ou en asperge, pour le coup.

Vingt et une heure, quatorze minutes et vingt-cinq secondes. J'espère que je ne vais pas passer l'éternité à poireauter, j'ai des trucs à faire, moi.
Quoique, vu les circonstances, je pense que je peux annuler un ou deux rendez-vous pour demain.
D'accord, tous.
Vingt et une heure, quatorze minutes et quarante-trois secondes.

Ça va être long.
tags : humour, mort, texte

Le soleil ne se lèvera pas demain ...

posté le 29 March 2006 à 17:16

J'ai tout prévu.

Comme chacun le sait, la vitesse du photon dans le vide absolu est de 299.792.458 m.s-1. En revanche, presque tous ignorent l'essentiel : la vitesse du vrai thon dans le vide, elle, atteint les 301.841.139 m.s-1 ! Bien entendu, on ne l'observe que dans des cas extrêment rares, faisant intervenir deux kilos de boîtes de Saupiquet, un type avec des biceps en acier et une batte de base-ball.



Fort de ce savoir, j'ai mis au point cet appareil, destiné à rien moins qu'éteindre le Soleil en provoquant son implosion, sous la charge conjuguée de huit milliards neuf cent cinquante-sept tonnes de thon et d'un kiwi. Pas de raison, en effet, que je passe deux ans à étudier sans voir la lumière du jour pendant que les autres s'éclatent.
Bien entendu, propulser une telle masse dans l'univers, où le thon acquèrera sa vitesse de croisière, nécessite une débauche d'énergie phénoménale. C'est là qu'intervient une idée géniale : tout d'abord, profiter de la puissance de pogo du Napalm moyen (vous savez, le truc avec plein de cheveux) pour compresser au maximum le thon, et augmenter de manière incroyable son énergie potentielle. Ensuite, utiliser un système de mon crû, le HamsteroPropulseur(c), qui tire parti de l'énergie libérée simultanément par douze mille cinq cent soixante-deux hamsters dans un ensemble de roues et anneaux. Cette énergie est ensuite récupérée, et emmagasinée sous la forme de petites billes vertes pastilles pour la toux - dont une partie est consommée par le Napalm - jusqu'à ce qu'un seuil critique soit atteint. Alors, le MachinBrillant-o-miseur propulse l'ensemble de ses projectiles, confiné dans un volume dérisoire par effet napalmien afin de diminuer la résistance de l'air et d'augmenter la force de l'impact final.

Et là, paf, pastèque.


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posté le 07 March 2006 à 20:52
Tout a commencé avec une banane. Jaune, comme toute bonne banane. Et puis ensuite, je ne sais pas, le flou : je me rappelle vaguement être sorti dans la rue en courant et en criant "Vive Pétain", et en aspergeant les passants de petits pois. Je crois qu'à un moment, j'ai croisé Churchill, mais je ne suis pas sûr, et c'était peut-être une borne d'incendie, après tout - on ne peut jurer de rien, avec tous ces ogm nucléaires à tous les coins de rue qui manifestent contre le Coca-Cola. C'est la faute à Jésus, je pense, il a une barbe mais il n'a jamais rendu les clous, alors faut pas s'étonner, après, hein.
Quoi qu'il en soit, je suis à peu près sûr que c'était avant qu'une passante ne me demande de la déshabiller. Je me suis méfié, bien sûr, alors je lui ai d'abord donné un coup de pelle, une jolie pelle, d'ailleurs, je sais plus trop où je l'avais achetée, mais on n'en fait plus, des commes ça, avec les plombiers polonais qui viennent manger notre chocolat et voter Hollande aux élections, alors qu'ils n'ont même pas de tulipes dans le cul, je vous demande un peu. C'est à ce moment-là que les ours sont arrivés, mais je les avais vus venir, des ours bruns avec un museau noir et des cigarettes que c'est sans doute même pas du tabac, on me la fait pas, à moi, alors je me suis caché derrière une poubelle et j'ai pris mon épée +5 avec dégâts de feu, pas celle de glace parce que je n'aime pas le foot. Je crois que je n'ai plus de parmesan, va falloir que j'en rachète, ou alors je vais encore devoir me limer les ongles, parce que j'ai froid. Ils ont essayé de voler la jeune fille, mais je les ai eus par surprise et par derrière en même temps, et je me suis enfui en courant de côté et en faisant des bruits avec ma bouche, un peu comme ça, vous voyez : j'ai eu un peu de mal à éviter les météorites, au début, jusqu'à ce que je décide de me protéger avec un couvercle de ciseaux que je venais d'attraper dans le bocal.
Ah, le sang, vous voulez dire, Votre Honneur ? C'est un complot des socialistes, je n'ai jamais tué de chat. Ou bien, j'ai oublié, ou alors, c'était Sarkozy. Enfin, bon, ça compte pas, et de toute façon, ça va bientôt être l'heure du feuilleton.
Comment ça, la jeune fille ? Ben, j'ai fait ce qu'elle avait demandé, et je l'ai jetée dans la Seine, parce qu'elle avait soif et que je ne trouvais pas de tournevis ni de cocotte-minute. Elle m'a dit qu'elle savait skier, en même temps, et elle était même pas rousse. Ensuite ? Eh bien, ensuite, j'ai mangé des pâtes au gingembre, et je me suis changé en loup. C'est pour ça que j'ai des puces, vous voyez. SALOPE, SALOPE ! Ah, non, ça, c'est pas ma faute, c'est que j'ai été mordu par une tourette, alors depuis je suis possédé par le Dalaï-Lama, ou alors c'est Nixon, je sais jamais, faudrait que je prenne mes pilules mais j'en ai plus depuis que je me suis fait manger par un loukoum. Excusez-moi, Votre Honneur ? Non, je ne crois pas. Attention, je vais devoir vous laisser, j'ai Euclide sur la troisième, qui dribble la défense, et oui, oui, il se rapproche, il saute, il MARQUE ! OUUUIIII ! Une tronçonneuse ? Moi ? Non, je suis humain, enfin presque. Oui, je sais, ça, c'est depuis que j'ai mangé un rat, vous comprenez, il m'avait parié que je ne le ferais pas, alors j'ai dû le jeter par la fenêtre avec sa cravate. Vous n'auriez pas du parmesan ?
tags : absurde, humour, texte

Des nouvelles du front.

posté le 03 December 2005 à 17:57
Quasiment aucun bouton, pas d'offensive des cheveux subie récemment - bien qu'une activité suspecte ait été détectée au niveau de leur longueur. Des rapports parfois conflictuels avec les sourcils.
Over.
tags : absurde, humour

Mon rêve.

posté le 11 November 2005 à 13:22

Arriver avec ça à ma JAPD*.



*Journée d'Appel de Préparation à la Défense.

tags : humour, provoc, rêve

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Quelques mots ...

Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.

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