Le Tour de France, soyons honnête j'ai horreur de ça. Mais parce que c'est un peu de la merde tout de même. D'ailleurs je conchie en général le cyclisme, c'est chiant à regarder, à faire, ils sont tous plus intoxiqués qu'au Teknival de Vannes et je ne peux pas m'empêcher de penser au sketche des inconnus, "Antenne2" dès que je vois un vélo.

J'ai tout de même fait les 10 mètres de marche qu'il y avait à faire comme tout le monde pour voir ce fabuleux départ mais j'ai été très con puisquele tour en lui-même passe environ 2 secondes et n'a rien d'exceptionnel, tandis que la caravane du tour est quand à elle très sympa.

Dommage j'avais pas pris mon appareil, pensant que c'était de la merde. Pas du tout en fait, car pendant une demi-heure se succèdent des "chars" tous plus immondes les uns que les autres (palme d'or à celui de la vache-qui-rit) avec un esprit deuxième degré assez amusant, tous remplis d'hôtesses monstrueusement charmantes (mention spéciale à celui du "visit London") faîtes pour satisfaire les regards avides des gros mâles beaufs que nous sommes et qui vous font des coucous de la main.

En plus je suis content, j'ai attrapé un bob Alcatel, une boîte de bretzels, une bouteille de flotte et un tapis de souris Lutte ouvrière.

Une fois la caravane passée, je suis retourné chez moi prendre mon appareil pour prendre quelques photos des coureurs mais j'avoue que c'était super décevant.




















Il n'empêche que mes amis australiens sont venus en masse et ça c'était quand même la bonne surprise du jour.

Avant de partir je me suis fait un petit voyage qui va bien. Bienvenue donc loin, très loin, à environ 3000 kilomètres plus au Nord de Sydney. Les avions chargés de touriste atterissent à Cairns entre juillet et novembre, pendant le "dry".

En effet il n'y a pas de saisons à proprement parler dans ces endroits mais plutôt deux époques disctinctes qu'on appelle "dry" correspondant à l'hiver (saison à peu prêt sèche, température supportables) et le "wet" correspond à l'été (il flotte 4 fois par jour, tout est mort et inondé en permanence, les températures atteignent le 40 à 100% d'humidité).

Evidemment il a donc fallu que j'attende début juin pour partir, soit la fin du "wet" ce qui est la meilleure saison pour visiter le coin. Il flotte encore un peu mais les touristes ne sont pas trop encore arrivés par paquets.

Le plus marrant quand on sort de l'avion c'est l'impression persistante d'avoir changé de pays. Il fait 30 en plein hiver, les locaux sont plutôt différents de ceux croisés à Sydney et la végétation tropicale est absolument fascinante. Cependant la petite ville tropicale de Cairns est il faut bien le dire pas terrible, voire carrément immonde par certains endroits.

Ha oui, j'instaure un nouveau concept dans ce blog constemment à la pointe du progrès; j'ai pris plein de photos le long de la route pour plus de réalisme. Vous pardonnerez la piètre qualité de certaines mais vous verrez au fil des photos que je m'améliore dans le mitraillage en mouvement.

Nous voici donc sorti de l'aéroport, où nous continuons le long de boulevard et motels assez laid mais que tout ça est vachement dépaysant.






Tout le monde arrive souvent au lagon artificiel, une espèce de plage en pleine ville assez sympathique et tentante quand il fait chaud, c'est-à-dire tout le temps. Vous vous demanderez sûrement pourquoi on ne se baigne pas dans l'eau de mer qu'on voit en arrière-plan. Et bien, elle est assez dégueulasse, couleur marron et ponctuée de grosses mangroves. Et puis il y a d'autres raisons que je vous expliquerai aussi plus tard.






Le long du front de mer de Cairns, on peut admirer les montagnes couvertes de forêts tropicales ainsi que la végétation tropicale que je trouve vraiment sympa:








Evidemment cairns est proche de la Grande barrière de corail, ce qui en fait un paradis pour les plongeur, je n'ai d'ailleurs jamais vu autant de shops de plongée dans une si petite ville, multipliant par la même occasion les boutiques de souvenir merdiques:






Le centre de la ville est assez quelconque, j'y reste un quart d'heure car il est temps de prendre la route! Yeah!




Je traverse d'innombrables champs de cannes à sucre dans une campagne verdoyante pour arriver aux première plages du Nord, dont Palm Cove, assez sympa:












Ha oui tiens voici entre autre une des raisons pour laquelle personne ne se baigne. Ha ha, j'adore le "achtung".




Bientôt la suite du trip.

Et voila, a mon regret voici la fin de mes aventures en nz/australie. J'ai tellement de photos a trier que je vais etre occupe pendant quelque temps et ensuite je posterai surement de nombreux articles concernant mes escapades.

Pour finir bien, je suis actuellement dans le Far North Queensland, en train d'admirer la grande barriere de corail et la superbe foret tropicale. Autant vous dire que l'endroit est isole et au climat parfois difficilement supportable, mais d'une beaute absolument fascinante. Ensuite retour par singapour que je mitraillerai avec mon coolpix de la mort pendant une journee complete et debarquage sur le sol francais.

D'ici la, ''have a good one'' comme ils disent par ici.

Ils sont jeunes, ils sont cons, on a envie de leur foutre des claques et ils osent nous sortir un batard d'AC/DC et de punk/rock californien.

Il n'empeche que j'ai eprouve une joie presque honteuse a ecouter leur album que voici. Le sens de la melodie est indeniable rien a dire c'est simple mais excellent, ils sont doues. Et merde j'ai encore cette saloperie d'air dans la tete...

le singeule:

http://rapidshare.de/files/22611780/03-dysfunctional-radial.mp3.html


plop:
http://rapidshare.de/files/21572140/mp3db.ru_Backyard_Babies-People_Like_People_Like_People_Like_Us.rar.html

Pour la suite du voyage j’ai pu emprunter quelque photos à une amie puisque j’ ai perdu les miennes sur cette partie. Coup de chance elle a fait strictement le même trajet que le mien. Nous revoici donc à l’extrême sud de l’île du Sud de Nouvelle-Zélande, aux alentours de Dunedin, non loin d’où je vous avais laissé la dernière fois. (voir la carte dans mon article précédent)

‘’L’Otago Peninsula’’ vers Dunedin est un peu l’écosse de la Nouvelle Zélande avec de superbes plages et falaises verdoyantes. Comme je suis un boulay j'ai complètement oublié le nom de cet endroit paradisiaque:




La particularité sympa du coin reste la possiblité d’aller voir quelques pingouins qui se font malheureusement de plus en plus rare...






ainsi que des colonies de phoques. On peut s’en approcher de très près un peu comme à Kaikoura (voir dans les articles précédents), mais comme d’hab je suggère de se méfier des plus gros et surtout des mère qui protègent leur progéniture.






Les moutons, à peu prêt dix fois la population humaine de Nouvelle-Zélande.




La forme des troncs vous donne une idée des coups de vents qu’ils doivent se payer dans la région.




En continuant vers Invercargill, on trouve sur une plage isolée les fameux ‘’boulder rocks’’ phénomène naturel unique au monde (paraît-il). Toujours est-il que curieusement on ne trouve ces rochers parfaitement rond que sur cette seule plage dans toute la Nouvelle-Zélande.






Quelques photos en plus.

En attendant le retour des photos qui vont bien, en greve pour cause d'ordinateur en panne, voici quelques beaux shots de Bell's beach, la mecque du surf en Australie, le 5 mai dernier lors d'un petit cyclone.

Attention cay pas des trucs de payday, je table sur du 7-8 metres pour les plus grosses.

Ha ha. Hum. Je m'étais abstenu de lire ce chef-d'oeuvre et je n'ai pas été déçu. Alors je passe l'histoire ridicule fondée sur du à peu prêt n'importe quoi (oh, je découvre un visage de femme dans le tableau La Cène donc le graal est une femme, kikoolol) mais le film en lui-même est d'une chianterie étourdissante, les raccourcis scénaristiques tellement énorme que j'en étais sur le cul, les acteurs mous (ils ont problablement commandés une palette de chichon avant le tournage sans compter la tête de cocker de Tom Hanks) et la mise en scène est à peu prêt la même que dans n'importe quel film ricain au budget important. Nom de dieu mais que c'était CHIANT.

Bref. En plus chez moi il a fallu que je me paye Audrey Tautou et Jean Reno tenter de parler pitoyablement anglais. Une torture mentale et auditive.

Je m'attendais à un polar passable, en fait j'étais super loin du compte. Le bouquin est-il aussi merdique?

Grâce à un utilitaire que je ne bénirai jamais assez j'ai pu récupérer quelque photos de mon dernier passage en Nouvelle-Zélande à partir de ma carte mémoire formatée. Je n'ai pas tout récupéré malheureusement mais il reste tout de même quelques photos sympa.

Et hop nous voici dans les Catlins, à l'extrême Sud de l'île du Sud de Nouvelle-Zélande, entre Dunedin et Invercargill. Pas de grand changements par rapport à ce que j'avais pu voir en Ecosse puisque cette région en est quasiment la copie conforme.




En continuant la route nous tombons sur un phare isolé. L’endroit est assez superbe et intitulé ‘’nuggets point’’ en raison des espèces de rochers qui affleurent au bout d’une espèce de grande falaise.




Vue de l’autre côté du passage :




Oui l’eau est transparente :




Les fameux ‘’nuggets’’. A la jumelle, on voit des troupeaux de phoques qui folâtrent dans les grosses algues.






Au loin les falaises dénudées ressemblent pas mal aux paysages écossais.




Nous redescendons la route pour admirer quelques plages assez jolies.




La route suit une côte absolument superbe. Hop une petite photo dans ta face d’une baie monstrueusement magnifique dont j’ai honteusement oublié le nom.





Le changement de paysage est comme toujours dans ce beau pays assez radical. La végétation assez pauvre du début laisse place à une nature toujours plus verte...




Et des reliefs plus tranchés. Au loin nous apercevons les premiers sommets des fabuleuses Alpes du Sud au-dessus de la mer. C'est assez incroyable de voir une chaîne de montagne sur l'eau. A suivre si vous êtes gentils. Non je rigole. Ou pas.

On est loin de One Hot Minute mais cet album n'est pas mauvais, loin de là, avec beaucoup de chansons sympathiques dans la veine de Californication avec d'ailleurs un peu les même thèmes de chansons quand on comprend l'anglishe. Un album extrêmement soigné du point de vue production, voix et instruments, on en attendait pas moins des Red Hot Chili Peppers. Problème: le choix du double-album dans Stadium Arcadium me parait peu judicieux. Un album simple avec que des chansons excellentes-sa-maman aurait eu plus de gueule, là on a un double album avec des chansons moyennes et puis parfois des très bien qui mettent de bonne humeur le matin. Un peu inégal donc. Mais je m'en fous ça fera monter les stats de mon über blog.

http://www.redhotchilipeppers.com/home.php


Vbr - 200Kbit/s
http://www.taringa.com.ar/index.php?postid=59856

Kikooplop voici le retour des photos trop biaing. Pas beaucoup de vagues ce jour-ci donc je me suis fait une ballade ô combien salvatrice dans le Royal National Park, quelques dizaines de kilomètres au Sud de Sydney.

Pour y accéder, on prend le train jusqu'à Cronulla et ensuite un tout petit bateau. Voici donc l'occasion pour moi de vous faire partager quelques paysages de mon quotidien.




La plage d'arrivée




La végétation locale, adaptée au climat sec.




Un tout jeune python, sur lequel j'ai failli marcher. J'ai fait semblant de risquer ma vie en prenant des photos à quelques centimètres de la bestioles mais en réalité ce sont des serpents très pacifiques, surtout à cet âge.




Au loin, le Skyline de Sydney.






Quelques falaises assez impressionnantes.






La craie et les pierres ocres, caractéristiques des côtes du New South Wales.








Les dunes de Marley Beach, une superbe plage considéré comme lieu sacré par les aborigènes.




Le ciel australien.












La fin d'une belle journée...