Ban

posté le 01 April 2006 à 04:01
Le topic sur le ban de Reblochon ayant été fermé, je poste ici.

*Rétro*

Le 29 mars:
UV locke The others.

Sur la tribune:

17:22:04 (rain) Qui ouvre le thread X-GAMER BANNI dans la caverne?
17:23:34 (UltraVox) 17:22:04 c'était pour de faux, le 29 mars c'est le Grand Pardon Asiléen.
17:24:40 (reblochon) Comment qu'on fait pour decrire une realité sans faire d'amalgame dit ? Comme les journalistes ? «il y avait aussi quelques blancs avec eux !»
17:26:51 (UltraVox) 17:24:40 ta "réalité" c'est déjà celle des journalistes ...
17:29:30 (reblochon) 17:26:51 parce que la tienne, c'est la vraie tres juste infaillible. Marrant que les journalistes de gauche, de droite, les flics, les manifestants, les photos, disent tous la meme chose ... mais pas ta realité. Tu te poses des questions des fois >
17:30:08 (UltraVox) 17:29:30 moi je ne fais pas de généralités.
17:48:48 (reblochon) 17:30:08 ce n'est pas faire de generalité que de decrire ce que tu vois. Et les casseurs dans ce cas sont majoritairement noir. C'est la realité. Personne n'a dit que tous les noirs etaient des casseurs.

...4 heures se passent et :

21:46:21 (CnE) 17:29:30 Reblochon, je ne veux plus revoir ce genre de trucs sur la tribune. Pas la peine de répondre, merci.
21:59:09 (reblochon) 21:46:21 T'es le fils à Sarko ? Tu vas me kacheriser ?
21:59:30 (reblochon) Ah ben merde ! J'ai repondu !
22:01:40 (CnE) 21:59:09 Je vais faire court : tu es libre de penser toute la merde que tu souhaites, mais pas de t'arroger le droit de répandre cette merde sur la tribune, alors que MEME dans la cavernec'est interdit
22:10:01 (reblochon) 22:01:40 Ah tu as vu du racisme ou il n'y en avait pas. Relis moi. (pour un gars qui fait du droit, ce n'est pas tres fort)
22:16:54 (CnE) 22:10:01 Oui, je suis un âne, tu es le deuxième à le dire ce soir. Autre chose ?
22:19:01 (reblochon) 22:16:54 Ha ha ha ! Non je ne disais pas que tu es un ane (j'ai vu ton echange sur le blog de chose). Juste que tu interpretais tres mal mes propos. Tu devrais prendre une tisane ce soir.


Banni pour ça ?
C'est pas un peu grotesque comme décision sans déconner?




Un article paru dans le Monde récemment.

Extrait:



L'UNIFORME "CAILLERA"

Dans le métro, leurs véritables intentions commencent à poindre. Lorsque des voyageurs pénètrent dans le wagon, quelques-uns crient : "Il y a de l'argent qui entre." Ils prennent à partie, sans violence, deux adultes qui ressemblent, à leurs yeux, à des flics. Ils rigolent en constatant que des voyageurs n'osent pas entrer dans leur wagon. Ils font peur et s'en délectent. Ce qui ne les empêche pas de faire de l'humour : "Attention aux pickpockets", dit l'un d'eux ; "C'est encore des Noirs et des Arabes qui foutent le bordel", crie en autre. Eclat de rire général dans la bande,composée majoritairement de Noirs, d'une minorité de Maghrébins et de quelques Blancs.

...


Bizarrement, ces quelques mots en gras n'ont choqué personne.
Aucune polémique.


CQFD

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A yééé.

posté le 31 March 2006 à 07:59
3 ans aprés m'être fait serré au volant, avec plus de 2 grammes; (pour la seconde fois), je suis libre..enfin!
Mes 8 mois de sursis s'effacent aujourd'hui.
3 années d'esquives, de courses poursuites, de tacts, de culot et de réseaux n'ont plus lieu d'être..
Il était temps.
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Votre titre

posté le 12 March 2006 à 04:58
Le contenu de votre article.



PS: Un site peut être déjà connu mais néanmoins trés divertissant.
Les cosmos 1999 m'ont fait très rire.
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doom

posté le 05 March 2006 à 08:33


















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Quand je

posté le 14 February 2006 à 01:36
compare ce trailer de l' E3 98 et cette
démo de 97 par rapport aux dernières vidéos de Prey en date.
Je me dis que Duke nukem Forever et Stalker seront 'achement beaux.
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Wanadoo c'est de la

posté le 19 January 2006 à 15:18
balle ?

Non, sûrement pas mais ils m'ont plutôt bien surpris.

Donc, hier; je lance firefox et rien..
Ma livebox clignote dans le mauvais sens, mon téléphone fait des bips inquiétants.
Je me dis: "mox, il y a une couille dans le potage, un rat dans la soupe, un chat dans la soute.."
J'appelle l'assistance technique qui me dit de patienter 6 minutes ;20 minutes plus tard, un gars me réponds et m'avertis , au vue de la danse des diodes, que le routeur est cramé ou, au mieux, à un problème de firm ware. :(
Pas cool, me dis je , dans 5 jours , ça allait faire un an pile que je découvrais ce monde infâme qu'était l'interweb.
D'içi 48 h , un conseiller va vous appelez pour régler ça.. qui disait.
Aujourd' hui, 14 h, le téléphone sonne, il[d] me fait l'amour comme une pute hongroise en manque de crak[/d] fait tout un tas de truc pendant une demi heure et, ô surprise , tout fonctionne de nouveau !

Rien d'extraordinaire , me direz vous, n'empêche qu'en 24h, c'est réparé (touchons du bois pour que ça le reste) et qu' au final, les types étaient sympas et Wanadoo a assuré.

Voilà , c' était juste pour faire un article positif sur ce FAI.
..parce que c'est rare.
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Demain c'est loin.

posté le 10 November 2005 à 05:10
Quelqu'un pourrait me dire comment partager , içi , le clip de cette tuerie ?
SVP.


IAM.
Demain, c'est loin.
97


L'encre coule, le sang se répand
Absorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoire
Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois
Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive

Des mecs qui pour 20.000 de shit se déchirent
Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire
Rire, sourire, certains l'ont perdu je pense à Momo
Qui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revu

Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère
Mais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrière
Pousse pousser au milieu d'un champs de béton
Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds

La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements
On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend
A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack
Ouais, c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici ici ici

Ici, le rêve des jeunes c'est la Golf gti, survet' Tachini
Tomber les femmes à l'aise comme many
Sur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bien
Dieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la fin

La fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsains
Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien
On marche dans l'ombre du malin du soir au matin
Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin

Chemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieu
Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veut
Une route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuir
Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir

Souvenir être si jeune, avoir plein le répertoire
Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou!
c'est le noir
Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirs
Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirs

Tirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enfer
Sur terre, on construit son paradis
Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon
La réalité tape trop dure, besoin d'évasion

Evasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris
Les murs, les esprits, les rats la nuit
On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action
Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs

Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle
D'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelle
Les armes poussent comme la mauvaise herbe
L'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses graines

Graines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous? Tous jeunes
On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs
Au franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champs
Trop grand, impossible a arrêté

Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie
On prend trois mois, le bruit court, la réputation grandit
Les barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épine
Fine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime

S'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaie
Le noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamber
Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus
Ca aidera, personne demandera d'où ils sont tombés

Tomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousin
De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien
Vivre comme un chien ou un prince, y'a pas photo
On fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyaux

Joyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flèche
Ricoche, le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochent
Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,
les coups de pioche
Creuser un trou, c'est trop fastoche

Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantise
Et porcelaine dans le pare-brise
Tchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins
Ca c'est toute la journée, lendemain, après lendemain

Lendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jour
On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent
Demain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure
On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur

Futur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochaines
Seront pires que nous, leur vie sera plus morose
Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper
Prévenir avant de se faire clouer

Clouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bière
On siffle les gazières qui n'ont pas de frère
Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches
On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche

Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde
Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes
Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre
Les obstinés refusent le combat suicidaire

Cidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se diriger vers le mauvais
Côté de l'éternité d'un pas décidé
Préfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder
Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée

Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé
La tête sur l'oreiller, la merde un instant estompée
Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer
Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menotté

Menotté, pieds et poings liés par la fatalité
Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier
Le teurf l'arène on a grandi avec les jeux
Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut

Dans les constructions élevées
Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés
Frictions, excitation, patrouilles de civils
Trouille inutile, légendes et mythes débiles

Haschich au kilo, poètes armés de stylo
Réserves de créativité, hangars, silos
Ca file au bloc 20, pack de Heineken dans les mains
Oublier en tirant sur un gros joint

Princesses d'Afrique, fille mère, plastique
Plein de colle, raclo à la masse lunatique
Economie parallèle, équipe dure comme un roc
Petits Don qui contrôlent grave leurs spots

On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico
Horizons cimentés, pickpockets, toxicos
Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros
Politiciens et journalistes en visite au zoo

Musulmans respectueux, pères de famille humbles
Baffles qui blastent la musique de la jungle
Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées
Nuée de gosses qui viennent gratter

Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument
Parties de foot improvisées sur le bitume
Golf, VR6, pneus qui crissent
Silence brisé par les sirènes de police

Polos Façonnable, survêtements minables
Mères aux traits de caractère admirables
Chichon bidon, histoires de prison
Stupides divisions, amas de tisons

Clichés d'Orient, cuisine au piment
Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment
Désert du midi, soleil écrasant
Vie la nuit, pendant le mois de Rhamadhan

Pas de distractions, se créer un peu d'action
Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction
Rires ininterrompus, arrestations impromptues
Maires d'arrondissement corrompus

Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager
Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées
Bougre sans retour, psychopathe sans pitié
Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver

Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues
Nouvelles blagues, terribles techniques de drague
Individualités qui craquent parce que stressées
Personne ne bouge, personne ne sera blessé

Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool
Fourgon de la Brink's maté comme le pactole
C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage
Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage

Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme
Si tu plonges, la ferme, pas drame
Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus
Ca commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vues

Regarde la rue, ce qui change? Y'a que les saisons
Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton
Te bas pour du laiton, est-ce que ça rapporte
Regrette pas les biftons quand la bac frappe à la porte

Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles
C'est pas Manille ok, mais les cigarettes se torpillent
Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent
Oeil pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant

Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader
Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers
Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine
Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines

Les élus ressassent rénovation ça rassure
Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche
De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour
A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur

Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto
Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto
Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto
Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto, mec

Ici t'es jugé à la réputation forte
Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte
C'est le tarif minimum et gaffe
Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum

Gelé, l'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises
Béton figé fait office de froide banquise
Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues
Les artistes de mon cul, pompent les subventions dsu

Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus
Les décideurs financiers plein de merde dans la vue
En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent
Les pierres partent, les caisses volées dérapent

C'est le bordel au lycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs
Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs
Le dos a un oeil car les eaux sont truffées d'éceuils
Receuille le blé, on joue aux dés dans un sombre cerceuil

C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo
Un tchoc de popo, faire les fils et un bon rodéo
La vie est dure, si on veut du rêve
Ils mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef

Tu me diras "ça va, c'est pas trop"
Mais pour du tcherno, un hamidou quand on a rien, c'est chaud
Je sais de quoi je parle, moi, le bâtard
J'ai dû fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar

Le spot bout ce soir qui est le King
D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parking
Mais qui peut comprendre la mène pleine
Qu'un type à bout frappe sec poussé par la haine

Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin
Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin
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J'ai testé pour vous..

posté le 08 November 2005 à 18:09
..Avoir des plaques rouges purulentes aux niveaux des couilles et de l'entrejambe.


Trois quart d'heures que j'attendais dans cette putain de salle d'attente infectieuse .A survoler un Voici périmé d'un an et demi , en tentant , en vain , de trouver la position assise adéquate à mes symptomes.

Puis mon tour , enfin! -heu ..enfin?- L' idée de montrer mes parties génitales à une doctoresse de 50 ans , plutôt bien conservée ne me répugnait pas mais ne m'enchantait guère plus.

Exhorté par l'envie de ne pas perdre la face et , surtout , l'envie de me soigner et de ne plus me gratter jusqu' aux sang mes zolies cuisses poilues .
Je me lança , tel un Homme face à son destin:

-Bonjouuur docteuuuur...
-Bonjour , vous avez une petite mine , dites moi?
(tentativefrontalededédramatisationdelasituationtopgo):
-Je crois bien que je vais être dans l'obligation de vous dévoiler une partie de mon intimité qui m'est plutôt chère , lui fis-je d'un air défait mais néanmoins sympathique.
-Bah! J'en ai vu d'autres.
Elle répondit ,en lançant un regard plus que démonstratif, vers la porte par laquelle venait de sortir une vieille dame , aux moeurs plus que douteuses , je n'en doutais point..

3 minutes plus tard:

-Ben , en fait , j'ai des plaques rouges , comme des petites taches , en haut de la cuisse qui me démangent tellement que j'ai envie de prendre un cutter et de m'arracher la peau ,puis de la bruler tellement j'ai l'impression qu'elle est pourrie et de l..

( j'ai pas dit ça en vrai hein )
Je n'avais pas fini qu'elle me coupa :

-..des démangeaisons au niveau de l'aine et des plis , c'est pas bien grave , ça arrive souvent blablabla..

Quand elle a prononcé le mot "plis" , j'ai de suite sû qu'elle m'avait compris , je jouis interieurement , merci mon dieu , merci.

C'te salope à quand même voulu mater le haut de ma cuisse- rrh rrh , gourmande va!- et le diagnostic se confirma : pas de morpions , ni de mst , ni d'herpes , ni d'araignées microscopiques qui pondent des milliers d'oeufs dans mon anus.
Juste une malheureuse réaction boxer+transpiration dû à un match de foot il y a quelques jours!

Une crème magique à 16 euros plus tard, je me sens VIVANT.

C'est beau la vie :
A moi bientôt , le retour à la vraie vie : serrer les jambes quand je le veux , m'asseoir à ma guise , retrouver les joies du seskme (et oui mes amis, impossible de faire l'amour avec une connerie pareille , à moins de vouloir devenir complètement branque), marcher , courir , me branler ou mieux ,me frotter seul sur un poteau une nuit de pleine lune.

:)

Si un jour , j'ai des hémorroides , je vous balance un roman photos.
Promis.
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