Pwned
posté le 24 January 2006 à 00:58
Le début de soirée avait été bien rempli par diverses tâches et je décidais d'aller au cinéma pour me détendre un peu...
Une fois éliminés les films déjà vus et compte tenu des horaires de séances j'eut le choix entre... (roulement de tambour) :
- La crypte
- Bandidas
Alors oui, vu comme ça c'est un peu comme choisir entre la peste et le choléra.
Les quelques informations que j'ai pu glaner pour faire mon choix :
- La crypte n'a reçu qu'un malheureux 2 sur 6 en notation de la part de Mad Movies
- il y a Salma Hayek et Pénélope Cruz dans Bandidas
Résultat : premier choix éliminé, allons voir une histoire sauce western.
Conséquences : 3/10ème perdus à chaque oeil, 15 points de SAN passés à la trappe (si ce n'est plus) et le prix d'une place de ciné et d'un café partis en fumée...
Mais vous n'échapperez pas à une critique détaillée de cette oeuvre !
Au Mexique, un méchant américain vole les propriétés de pauvres péons pour pouvoir faire passer une ligne de chemin de fer (c'est l'intrigue, ne rigolez pas).
Il tue le père d'une des filles (Pénélope) : c'était le riche propriétaire du coin, il récupère ses biens.
Le père de l'autre fille (Salma) est un des pauvres péons qui se fait exproprier, il ne se fait pas tuer (mais le coeur y est).
On se trouve donc avec une fille à papa et une fermière en lutte contre le vilain.
Bien évidemment ces deux-là ne peuvent pas se supporter (lutte des classes, toussa) et vont devoir apprendre à se supporteret deviendront amies à la fin, ah merde j'ai spoilé.
Les incohérences les plus invraisemblables sont maintenant au programme :
- le padre conduit les belles vers une grotte où se sont réfugiés les mexicains, où règne un faux air de camp révolutionnaire. Résultat, ils agiront une fois pour libérér les z'hérotes qui se sont fait capturer. Ils auraient pu aider en d'autres occasions, mais non, le salaire des figurants devait être trop élevé.
- les bandidas se font former par un vieux de la vieille (qui n'avait rien demandé) qui tente désespérement d'apprendre à Pénélope de tirer au pistolet. Et c'est en moins de cinq minutes qu'on se rend compte qu'elle se débrouille comme une reine avec des couteaux...
- le vilain ne pense qu'à renforcer les banques qui vont se faire dévaliser, jamais il ne pense à une confrontation (pourtant sa "patience à des limites"). Bien évidemment il est entouré de gros barbus, suants, l'oeil mauvais... et incompétents.
- le clou du spectacle : un enquêteur scientifique arrive en scène, se retrouve plus ou moins embarqué avec les bandidas qui se servent de lui pour se départager à celle qui embrasse le mieux.
Soyons honnêtes : la scène de leçon de baiser vaut à peu près le déplacement.
Par contre le combat final dans le train est d'une part abusé (cohérent avec le reste du film cependant) et en plus mal filmé (effets à la Matrix zlolesques).
De toute façon dès que la caméra essaye de bouger dans les scènes d'action on se sent pris d'un haut le coeur.
Les cerises sur le gâteaux pour terminer :
- deux réalisteurs pour cette oeuvre ! Il fallait bien ça.
- film produit par Europa, société de Luc Besson (ah mais merde, pourquoi je n'avais pas vu ça avant de prendre mon ticket ?)
Alors tout ce que j'espère c'est que mesdemoiselles (mesdames ?) Cruz et Hayek pendront leurs agents par les couilles pour les avoir compromises dans pareille entreprise (d'un autre côté il faut bien payer ses impôts...).
Et les charmes de ces dames au fait ? Ah oui, on voit bien qu'elles ont de la poitrine, les décoltés sont "bien ajustés" mais pas de quoi émouvoir beaucoup de mâles au-delà de 12 ans.
Si maintenant vous voulez laissez un commentaire désobligeant...
Une fois éliminés les films déjà vus et compte tenu des horaires de séances j'eut le choix entre... (roulement de tambour) :
- La crypte
- Bandidas
Alors oui, vu comme ça c'est un peu comme choisir entre la peste et le choléra.
Les quelques informations que j'ai pu glaner pour faire mon choix :
- La crypte n'a reçu qu'un malheureux 2 sur 6 en notation de la part de Mad Movies
- il y a Salma Hayek et Pénélope Cruz dans Bandidas
Résultat : premier choix éliminé, allons voir une histoire sauce western.
Conséquences : 3/10ème perdus à chaque oeil, 15 points de SAN passés à la trappe (si ce n'est plus) et le prix d'une place de ciné et d'un café partis en fumée...
Mais vous n'échapperez pas à une critique détaillée de cette oeuvre !
Au Mexique, un méchant américain vole les propriétés de pauvres péons pour pouvoir faire passer une ligne de chemin de fer (c'est l'intrigue, ne rigolez pas).
Il tue le père d'une des filles (Pénélope) : c'était le riche propriétaire du coin, il récupère ses biens.
Le père de l'autre fille (Salma) est un des pauvres péons qui se fait exproprier, il ne se fait pas tuer (mais le coeur y est).
On se trouve donc avec une fille à papa et une fermière en lutte contre le vilain.
Bien évidemment ces deux-là ne peuvent pas se supporter (lutte des classes, toussa) et vont devoir apprendre à se supporter
Les incohérences les plus invraisemblables sont maintenant au programme :
- le padre conduit les belles vers une grotte où se sont réfugiés les mexicains, où règne un faux air de camp révolutionnaire. Résultat, ils agiront une fois pour libérér les z'hérotes qui se sont fait capturer. Ils auraient pu aider en d'autres occasions, mais non, le salaire des figurants devait être trop élevé.
- les bandidas se font former par un vieux de la vieille (qui n'avait rien demandé) qui tente désespérement d'apprendre à Pénélope de tirer au pistolet. Et c'est en moins de cinq minutes qu'on se rend compte qu'elle se débrouille comme une reine avec des couteaux...
- le vilain ne pense qu'à renforcer les banques qui vont se faire dévaliser, jamais il ne pense à une confrontation (pourtant sa "patience à des limites"). Bien évidemment il est entouré de gros barbus, suants, l'oeil mauvais... et incompétents.
- le clou du spectacle : un enquêteur scientifique arrive en scène, se retrouve plus ou moins embarqué avec les bandidas qui se servent de lui pour se départager à celle qui embrasse le mieux.
Soyons honnêtes : la scène de leçon de baiser vaut à peu près le déplacement.
Par contre le combat final dans le train est d'une part abusé (cohérent avec le reste du film cependant) et en plus mal filmé (effets à la Matrix zlolesques).
De toute façon dès que la caméra essaye de bouger dans les scènes d'action on se sent pris d'un haut le coeur.
Les cerises sur le gâteaux pour terminer :
- deux réalisteurs pour cette oeuvre ! Il fallait bien ça.
- film produit par Europa, société de Luc Besson (ah mais merde, pourquoi je n'avais pas vu ça avant de prendre mon ticket ?)
Alors tout ce que j'espère c'est que mesdemoiselles (mesdames ?) Cruz et Hayek pendront leurs agents par les couilles pour les avoir compromises dans pareille entreprise (d'un autre côté il faut bien payer ses impôts...).
Et les charmes de ces dames au fait ? Ah oui, on voit bien qu'elles ont de la poitrine, les décoltés sont "bien ajustés" mais pas de quoi émouvoir beaucoup de mâles au-delà de 12 ans.
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