Petit Bassin / Reprise des activités / Int. Nuit

posté le 05 July 2006 à 19:13
Nombreux sont ceux qui ont réclamé mon retour (3 pour être exact)... soumis à ce splendide élan populaire, je reprends (courageusement) mon identité de "démon abyssal de merde" (Ceacy Ltd).

Et je vous ré-inflige les dernières pages de Ralph Mustang + une page bonus,

PAN DANS LES DENTS !

"Adeline, 7 ans, ne coopère pas avec le photographe chargé de lui tirer le portrait. Elle se moque même ouvertement de lui avec ses pieds de nez à répétition. Quand tout à coup..."





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Spéciale gifs: les T.O.C.S. de bureau

posté le 07 June 2006 à 19:17
FERME POUR CAUSE DE COPYRIGHTS

DMC §§§

Pataugeoire / intermède téléphonique / Int. Four

posté le 03 June 2006 à 23:18


L'Auteur essaye désespérément de joindre les Forces Démoniaques.
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Pataugeoire / Pages 6, 7 & 8 / Int. Jour

posté le 25 May 2006 à 03:20
Le programme de la nuit... un panneau et des photos.







(oui, oui, je persiste ;)
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Pataugeoire / Pages 3, 4, 5 / Ext. Jour

posté le 21 May 2006 à 12:44
"L'Auteur" (attention: 3e personne), totalement novice en B.D., est le véritable Dieu de son histoire. Il a le pouvoir de s'incruster dans la vie de ses personnages, influençant leurs actes, leurs pensées et finalement leur destin aussi.

Un jour de soldes, L'Auteur de cette histoire, déambulant spirituellemtn dans une ville imaginaire, jeta son funeste dévolu sur un quidam. Ralph Mustang... un homme dans la foule... un quelconque... un numain.





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Pataugeoire / 4e versi / Ext. Jour

posté le 18 May 2006 à 21:51
Dans le cycle "je dessine mal mais j'm'en fous", voici venir le début des Aventures Molles de Ralph Mustang... un héros d'aujourd'hui !







la suite sera fonction des réclamations :)
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Y'a peut être une erreur...

posté le 09 May 2006 à 00:06
... dans mon dernier sudoku. Mais c'est pas sûr à 100%.

Perdras-tu ton temps à vouloir t'en assurer ?



:p
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Bienvenue aux nouveaux (et nouvelles) !

posté le 24 April 2006 à 22:30
et bon courage surtout !



ça marchait mieux avec "L'Asile - Sortie", mais trop la flemme...
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Musiques honteuses ?

posté le 14 April 2006 à 17:58
Apres avoir bien cherché (environ 2 semaines a plein temps), y'aurait:

- Les meilleurs génériques des séries TV américaines avec notamment Dallas,
la croisière s'amuse et Rick Hunter... mais qu'est-ce qu'il y connait aux femmes, Rrrrick Hunter ?

- Léo Ferré - Métamec. Sa "poésie" me dépasse totalement, c'est donc la honte !

- Alain Kremski - exils.

C'est toujours enrichissant de découvrir de nouveaux artistes, de nouveaux styles musicaux ou de futures influences... ça permet de reluire en soirée.

Sur ce dernier album, les instruments utilisés sont des bols chantants tibétains, des gongs, cloches de temple et pi y'a aussi des plaques rituelles de Birmanie... et des fois y'a un piano.

"Dedié à sa Sainteté le Dalaï-Lama"... mmmmhhhh, intéressant.

* appuie sur CD OPEN/CLOSE, glisse le disque dans la chaine... enclenche la lecture *


Enfermés Dehors : un Chaplin plutôt saignant !

posté le 08 April 2006 à 22:53
Devant et derrière la caméra, Albert Dupontel est un Grand. Ca n’engage que moi, mais le but de cet article est surtout de vous donner envie d’aller voir ce film en salles.



Pour les points négatifs (et y’en a), ben tu peux les bouffer, Josiane ! T’en verras pas la queue d’un seul. Je ne citerai ni « L’Humanité », ni « les Inrocks » ni « les Cahiers du Cinéma » pas plus que « Télérama » d'ailleurs... surtout qu’ils me donnent encore plus envie d’aimer ce film.

Quand on pense connaître le cinéma de Charlie Chaplin et de Terry Gilliam (pensée particulière pour Fisher King), on peut comprendre ce qui les unit à celui d’Albert Dupontel.
Tous trois ont nourri leur cinéma de thèmes communs et prouvent qu’on peut rire ou sourire de tout... et de la « misère humaine » en particulier.

Dans ce film, les deux extrêmes se rejoignent: les démunis se battant pour survivre et les Puissants (vraiment tous?) corrompus se tirant systématiquement dans les pattes.
Rien au monde n’aurait dû les faire se rencontrer. Il ne faut pourtant jamais dire jamais... surtout au cinéma.

« Enfermés dehors » raconte un moment-charnière de la vie de Roland qui va tenter de vivre un conte de fée, son Conte de Fée à lui qui pourrait bien changer sa vie.
Il mène une véritable quête mais faussée par ses fréquentes hallucinations. Mmmmmmh... la colle c’est bon comme le chichon, dis ! Tu vois des trucs, tu vois, mec, des trucs que tu verrais jamais dans un état normal.

Vous l’aurez sûrement déjà lu sur les sites concurrents, ce film renferme quelques plus-produits non négligeables:
- un rythme cartoonesque ultra-énergique à tendance Tex Avery
- des couleurs vives et saturées
- des mimiques et gestuelles, dignes héritiers du burlesque - Charlot et Buster Keaton reunited
- des mouvements de caméra tous azimuts (verticaux ! horizontaux – transversaux / )
- des accélérés en veux-tu en vélo
- des cascades ahurissantes, totalement improbables dont il serait impossible de se relever IRL. (Ce serait totalement absurde de s’en relever, et pourtant...)



Dans son film, Dupontel mélange allégrement le fantasme, l’amour, la frénésie, la tendresse, la totale-parano-nihiliste et l’espoir. Et tout ça m’a énormément plu.
Le résultat est moins trash que Bernie mais plus touchant que le Créateur.

Comme à son habitude, le casting choisi par Monsieur Albert est un vrai défilé de gueules aux comportements primaires (i.e. guidés par leurs besoins) : bouffe, argent, pouvoir, mauvaise foi... y’a pas de place pour les sentiments, là dedans. Mais des fois, et ben, les gens, des fois, ils peuvent changer. Si, si, j’vous jure. C’est écrit dans le Code Pénal ET dans la Bible.



Dans le casting de gueules Nicolas Marié, Yolande Moreau, Bruno Lochet, Philippe Duquesne et Bouli Lanners (une révélation pour moi) et aussi des guests-stars de marque... à découvrir de vos yeux verront.

Réaction d’une personne âgée à la sortie du film : « je suis épuisée ». J’en suis ressorti avec la patate. Ca doit être question de génération !

ATTENTION SPOILERS :

Point de Héros de formation dans cette histoire. Juste un mec insignifiant à la base, enfermé-dehors de son état, un anti-héros aldente ou enfulte (« plus vraiment enfant, pas vraiment adulte » – copyright reserved RDB) qui trouve dans les songeries gluesques, sa seule échappatoire.

Quand soudain... tout à coup... TIN TIN... un soir... sur un pont... Roland trouve une armure abandonnée, une armure bleue, une armure de flic.

Guidée par la seule envie de se goinfrer (ndlr : aux frais des contribuables), ce chevalier improvisé constate qu’en revêtant cette armure, il acquiert un super-pouvoir sur les gens dits normaux*. Ils se mettent à le craindre ou tout du moins à le respecter.

* Je parle bien sûr de ces gens normaux qui n’ont pas de pavés à portée de main.

Par un hasard que la vie offre parfois, une opportunité unbelievable se présente à nous. Et, 1 fois sur 10, 1 fois sur 100, on ne l’esquive pas et on la saisit au vol.
Roland fait ce choix en revêtant le costume; il passe du statut de moins-que-rien à celle de chevalier des Temps modernes. Dorénavant, il portera une épée d’un côté et la Loi de l’autre. Il se glisse petit à petit dans sa nouvelle identité, dans la peau d’un flic qui en prend plein la gueule, mais qui ne se plaint jamais ou rarement... Roland serait-il le flic idéal ?




La quête de Roland sera d’aider Marie (Claude Perron, vue dans les autres films du monsieur). Il se battra pour les beaux yeux de sa Princesse, une ex-actrice de porno, à qui on a illégalement ôté sa fille de 2 ans, Coquelicot.

Pour mener à bien sa mission, Roland devra aussi côtoyer les « monstres » ou plutôt ses anciens camarades de galère, pas forcément agressifs mais terriblement maladroits, gentiment inadaptés ou affreusement inadaptables.
Ces monstres qui n’ont qu’une seule envie qui n’est pas de mettre le monde sans dessus – dessous, mais de manger à leur faim.

Et toujours, cette sale réalité... qui rôde... notamment sous les traits des Thénardier de l’histoire ; la maychante belle-mère de Marie, une bourgeoise cul-serrée accompagnée du chien-chien à sa mémère, son mari, qui ont vilement enlevé l’enfant.



Bien sûr, ce chevalier rencontrera nombre d’obstacles et, quand il ne peut les contourner, il les détourne ou les prend physiquement en pleine face. Et j’ai eu franchement mal pour lui, même si je m’en suis honteusement régalé.



Le prochain film très attendu est « Tideland » de Terry Gilliam (comme de par hasard)






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