Petit tuto sur les particules statiques

posté le 20 May 2006 à 02:35
Tiens, ca a pas trop bougé ici pendant mon absence.

Encore un tuto de débutant, pour la peine.


[Concept : Un tutorial sans frioritures inutiles, c'est possible ! Tout ce qui se trouvera entre crochets sera facultatif.]

Creer de l'herbe avec Blender [(ou des cheveux, ou des fils de fromages chaud, ou des poteaux)] :

En vue de dessus, ajouter un plane (add=>mesh=>plane).
Repassez en mode objet, faites F7, puis cliquez sur physics boutons, new.


[On peut surement créer plein de truc géniaux avec ça, ce qui nous interresse, c'est le systeme de particules fixes (vous remarquerez que je prendrais soin de ne jamais mentionner les mots "particules animés" ou "animated particule motion" ou encore "animated blender tutorial particule mariah carey" afin de ne pas perturber les moteurs de recherche).]

[Nous voulons des particules statics. Donc] on clique sur le bouton static.

[Si vous déplacez votre objet en 3D, vous verrez des petits points qui apparaissent dessus, ce sont les particules !] Elles n'ont pas de longueur, donnez en une en bidouillant le bouton "normal".


[Hop, et voila, vous pouvez faire un rendu.]



[C'est super beau, mais vous avez perdu le plan de départ.]
Pour ceux qui veulent rajouter le mesh, cliquez sur "mesh", en dessous de "display".



Tiens, regardez d'ailleurs, à gauche se trouve la commande amount qui permet d'ajouter des particules.

[Et si on donnait un peu de vie au particules ?
Pour cela, on va ajouter des forces qui vont les influencer.]

Ca se passe dans l'onglet particule motion, partout où il y a les grosse fleches rouges qui vous prennent pour des débiles.

[C'est mieux non ?]

Touche final, le bouton random, à gauche.


[Et hop, on a une belle scene sauvage. C'est bien simple, on se croirait sur les belles dunes du sud ouest.]

Il existe un autre moyen pour influencer nos particules, c'est l'utilisation de champs de forces.

Pour cela, creez un objet vide (add=>empty), rendez vous dans son onglet particules, et à gauche (encore) choisissez le type de champ, puis sa force.

[La meme scene, avec une champ de force sphérique au dessus.]



Vous pouvez également utilisez des courbes béziers.

Derniere chose, si vous voulez changer la taille de vos particules, assignez leur un material et jouez sur les parametres dans "Strands".


[Voila !]

******************
Jetez un coup d'oeil à cette video, tout est très bien expliqué (en anglais), et on vous apprend comment changer la densité des poils.
http://www.mentalwarp.com/~fred/divers/HairTutorial.avi
[Ouais, t'as tout lu pour rien].
******************

(Pour terminer, le projet qui m'a fait me pencher sur tout ça : . Oui, c'est robin des bois.)
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(articles déjà postés+linux+moteur 3D+projets)

posté le 08 April 2006 à 02:07
[x]Mon article est inutile et je l'assume.
(Ouais, moi je rodais déjà pres de nofrag à cette grande époque, haha, vous pouvez pas comprendre les jeunes).

Bon, rien de neuf sous la lune, je reposte des textes que j'avais effacé parcequ'ils n'

*************
(Hop, du coup, je refonds un peu le texte ci-dessous [correction de tas de fautes, minor style issue update, raccourcissement de phrases - mais pas trop quand meme, ca se veut gothique, on est pas chez télérama/nothomb/mettre le nom d'un auteur moderne ici.]).

Une nuée d'oiseau coule au dessus de mon bulbe en silence et va se répandre derriere les arbres, tandis que mes doigts perlent sur le clavier comme des grosses gouttes d'huile de mauvaise qualité. Mes ongles crachent leur envie de quitter leur pulpe à chaque lettre mais comme d'habitude, je ne leur prete pas oreille, préférant plutôt taper hystériquement, me faisant ainsi sans le vouloir l'écho de la pluie qui mitraille insolemment ma lucarne.
Arrivez vous percevoir mon coeur qui se démene pour battre plus fort que mes doigts ? Moi, je ne l'entend pas. Le sang me monte à la tête et déforme mes tempes, comme pour me rappeller -vainement !- à l'ordre. Mes yeux sont criblés d'aiguilles, ma langue est devenu un corps étrange que je machonne machinalement, et j'ai grand peine à maintenir mon buste en place. C'est ces moments là que je recherche ardemment, ceux où je peux lutter à bras le corps avec mon instinct d'animal vulgaire. Où je peux apprécier les limites de la volonté humaine. Malgré mes efforts, ma pensée dérive toujours dans des méditations étranges, et déchire de grandes ouvertures vers l'absurde dans le fin tissu de ma réalité.

Les oiseaux ressurgissent de nulle part, et décrivent un large cerle, pour venir fondre sur moi, oubliant les murs et la vitre, et me rafraichissent de leurs plumes mouillés avant de planter des quirielles de becs agressifs dans mon cercueil de peau. Ces charognards savent reconnaitre leur proie, jamais ils ne viennent lorsque, dans la même position, il m'arrive de m'abandonner doucement au sommeil. Cette fois ci encore, je les laisse me goûter, et je me demande avec amusement si ce n'est pas là ma seul raison d'être, si je ne serais finalement que d'aussi piêtre importance qu'un porc. Je l'ai toujours cherché, cette raison qui me pousse à entretenir mon enveloppe jour après jour, et je ne serais ni le premier, ni le dernier. Les oiseaux l'ont trouvé, eux, et je les envie. Sinon, pourquoi se glisseraient ils tout les jours dans leurs courants d'airs pour partir gagner leur pitance a douloureux coup de bec ? Seraient-ils si insouciants ? Pourraient ils dépenser leur précieuse -et surement même unique- existence sans en connaitre la raison profonde ? OSEF.



Tiens, et puis, la vieille du tram et la sucette (fake évidemment, j'étais juste remonté contre pololefou et je voulais voir si je pouvais faire queque chose d'aussi drole et con que lui) :





Je l'ai toujours su, je ne veux pas d'enfants (et faudra que je songe à l'expliquer à ma bite), et aujourd'hui, j'ai découvert une nouvelle raison.

Je ne sais pas si vous avez déjà prit le tramway à bordeaux, mais il est terriblement mal foutu : on ne peut pas s'assoir sur les sieges dépliants (pour les vieux de toutes facons) car nos genoux bloquent le passage, ni se coller dans les coins à cause des énormes pieux métalliques qui sont fixés au mur, quand au milieu, ils nous ont foutu une grosse structure en Y pour que les gens se tiennent. C'est gentil, mais ca prend la moitié du wagon.

Enfin bref, je m'étais trouvé un coin peinard, un coude dans le dos et le bout d'une baguette de pain fourré dans la narine gauche, quand une môme arrive en nageant la brasse dans la foule.

«Viench voâr maman c'est là la portch !» bave-t-elle sur les vieux des sieges, une sucette-fraise à la bouche.
Un virage, une petite bousculade à cause d'un con qui croyait avoir de l'équilibre "sans les mains" et pouf, la voila qui se plante le baton dans le palais.

Ni une ni deux, reflexe défensif, elle jette sa sucette qui va se fixer dans les cheveux d'une vieille comme sur du papier tue-mouche. Imperturbable, celle-ci regarde l'intrus du coin de l'oeil, en hochant la tete, et espere sans doute qu'il va se détacher par l'opération du saint esprit.

Elle n'a pas tout à fait tort, car les portes s'ouvrent, des gens montent, la petite pleure en crachant du sang, la mere est coincé à l'autre bout, et le bonbon se colle sur l'énorme sac Eastpack d'un étudiant endormit.
Là, la vieille a deux choix.
Tirer un coup sec, en priant pour que sa peau ne parte pas avec.
Ou bien tripatouiller avec les doigts (dans de la bave de petite fille), au risque que ca s'emmele encore plus.

Elle décide de tripatouiller, la bouche béante, les yeux révulsés et meme si elle y voit rien, elle se démerde pas trop mal. La voila qui décolle le bonbon du sac, et entreprend de le sortir de ses cheveux.

Seulement, la petite à finit de pleurer. Et maintenant, elle veut récuperer sa sucette. Une bonne sucette aux poils de vieux. Elle empoigne les cheveux de la grand mère, qui se cabre comme un cheval récalcitrant, et tire de ses deux mains sa tete parcheminée entre les fesses de l'étudiant (mmmmm).

Nouveau virage, la mémé tombe de son siege, et rampe en gueulant, guidée par ses cheveux.
Là, un bon samaritain prend un bol d'air et décide de plonger dans la foule, afin de récuperer la sucette.
S'en suit quelque chose de très confus, une petite bagarre, des cris, des pleurs, une mere en colere.

C'est là que je me décide à aider. On entend un bruit de cor de chasse : les portes vont bientot se refermer. Je dandine un peu des hanches...et pousse la petite qui atterrit sur le quai.

Les portes coulissent. Le tramway démarre. La vieille est encore dedans. Un petit bruit sec (on ne saura jamais si c'est au niveau de la sucette ou du crane que ca a laché), et tout est finit.

La vieille peut retourner s'asseoir (1).

Merci qui ? Merci les gosses.
Une éducation libre pourrie gatée, du fun pour la journée.

(Avec un peu de chance, le temps que sa mere fasse le trajet jusqu'a la station où j'ai laissé sa fille, un pédophile l'aura enlevé.)

La prochaine fois je vous raconterais les blagues qu'on peut faire aux gens avec des vetements blanc, quelques exercices pour bébés, puis 1000 facons de s'amuser avec des hommes troncs.

******
(1:)Enfin elle aurait pu, si quelqu'un lui avait pas piqué sa place entre-temps.



Vous moquez pas de ce texte, il a été Napalm approuved(tm).



Sinon quoi de neuf ?
J'ai enfin reussi à installer knoppix sur mon disque dur sans avoir l'erreur kernel panic not syncing vfs:unable to mount root fs on unknown-block (pour ceux que ca interresse, il faut changer la ligne "kernel /boot/vmlinuz root=/dev/hdb5 ro ### isk_size=100000 init=/etc" par "kernel /boot/vmlinuz root=/dev/hdb5 ro ramdisk_size=100000 init=/etc" dans menu.lst (pour le modifier avec le live cd taper chmod 777 menu.lst pour avoir les droits dessus) (d'ailleurs su puis mount -o remount,rw /mnt/nomdelapartition si vous avez des problemes d'écritures sur les dd avec knoppix en live cd)), et meme à mettre des pilotes nvidia, et avoir le son, c'est fou.

Je sais pas pourquoi, linux me donne envie de jouer à zork et filaments, sans doute les meilleurs jeux auquels j'ai joué, en fin de compte.

Tiens, j'ai posté là dessus dans le blog de Snoopers (ouais, je fais de l'auto-promo, comme ceacy dans la tribune).
Enfin, si on peut appeler ça un blog. La page de Snoopers ?

Je me demande si il y a un con qui va lire tout cet article.
Si tu lis jusqu'ici, c'est que tu te fais bien chier, va donc jouer et remplir mon livre dont vous êtes le heros.

Tiens, aujourd'hui je suis tombé sur irrlicht un moteur 3D open source qui gere les normal map bump mapping shaderisé et surtout les maps de quake 3.
Ca à l'air tres bien sauf qu'il faut visual C++ ou .NET pour l'utiliser, apparemment. J'ai un peu testé avec CodeBlocks mais j'ai vite déchanté (flemme de télécharger 300 mo de DXSDK sur mon 40go).
Ca a l'air simple, d'apres les tutos.
Si seulement fps créator avait un poil plus de possibilités (genre un script qui téléporte le joueur au niveau de notre choix)...

Tiens, je vais faire une liste des trucs à faire :
Trouver un boulot de merde au smic.
Trouver une école pour l'an prochain.
Finir mon client msn pour qu'ils puisse recevoir des messages.
Finir ma jolie scene 3D tim burtonnienne avec blender.
Finir mon jeu en developpement depuis 2 ans (4051 lignes de codes quand meme).
Finir ce tamagochi. Révolutionnaire ce tamagochi, il voit les heures défiler même quand le pc est éteint, facon animal crossing. Le probleme, c'est que j'utilise pas direct X et il "clignote".
Continuer le japonais.
Finir mon client irc.
Apprendre le C avec GCC o/ (jme sens tellement H4CKEEEER).
Faire une map cool sur quake 3 pour jouer avec les potes (bon ca, je verrais la veille).
Apprendre flash (non, jamais, plutot crever).
Finir fear vite fait.
Inventer un language de programmation potable pour un nouveau robot parleur (et surtout coder le compilateur).

J'y suis presque arrivé (si ca interresse quelqu'un).
En gros le programme est capable de faire :
Robot : Salut, ca va ?
User : Non.
Robot : Aie :( Qu'est ce qui va pas ?"

C'est a dire de se souvenir de ce que l'user lui dit ! Muhahahahahah.
Et là c'est un exemple du cerveau. Simplissime non ? Je sais plus pourquoi j'avais arrété le developpement (j'en ai commencé puis abandonné 2 autres depuis -en changeant la syntaxe du language).
Faudrait vraiment que je bosse un peu plus là dessus.
Tout les robots avec lesquels j'ai parlés étaient à chier à ce niveau là.
Ouais, ça sert à rien. Enfin si, ca occupe les gens déprimés.
L'autre jour je trainais sur un chan chatterbotmakers, yavait un petit nouveau qui voulait présenter son bot irc. Il venait juste d'être commencé mais il pouvait déjà répondre à la phrase "je suis triste". C'est fou ça. Le mec a tellement besoin d'être écouté qu'il s'est fabriqué un miroir virtuel.

Bon bah, c'est tout je crois.
Avant tout, me faut un boulot. Ca commence à être serré les 300 € de loyer (et putain j'ai meme pas donné mon préavis >_
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Blender - Utiliser les bones

posté le 30 March 2006 à 18:32
Blender - Utiliser les bones (prélude à l'animation).


Maintenant que vous connaissez les grandes lignes pour la manipulation de Blender, passons aux petits détails en s'attaquant au bones.

A quoi servent les bones ?
Les bones sont des outils très pratiques en animation : ils dotent un objet d'un squelette (armature) pour nous permettre de manipuler plusieurs vertices à la fois.
Pratique pour déplacer un objet, le tourner, le tordre, etc...


On va reprendre le verre de Guiness que vous avez amoureusement modélisé avec edheltar, et lui rajouter une paille.
Une fois le fichier ouvert, plutot que de modéliser la paille directement à coté, on va changer de calque (hé, oui, comme dans Photoshop) en cliquant ici :

Vous voila sur le calque numéro 2.
(Comme vous le voyez, vous disposez de 20 calques, entourés en bleu. Vous pouvez activer plusieurs calques simultanément en maintenant shift.)
Les boutons de calques ne sont disponibles qu'en mode objet (touche TAB).

-Création de la paille-

Mettez-vous en vue de dessus (touche 7 du pavé numérique) et désactivez la perspective en appuyant sur 5. Cela permet de travailler de facon plus précise.
Appuyez sur espace, puis Add=>Tube.
Un cercle moche doit apparaitre : en effet, comme nous sommes au dessus du cylindre, nous ne voyons que les bords.
Si vous vous amusez un peu avec le bouton du milieu de la souris, vous constaterez qu'il n'y a pas d'erreur, c'est effectivement un cylindre.
Si vous le pensez un peu gros par apport au verre, vous pouvez le redimensionner avec la touche S.

On va maintenant l'extruder.
Passez en vue de face en appuyant sur la touche 1. Tout l'objet est en rose, ce qui veut dire qu'il est entierement selectionné.
Ce qui nous interresse, c'est d'extruder le haut de l'objet.

Déselectionnez tout en appuyant sur A, puis appuyez sur B et dessinez un carré autour du haut de l'objet.

Tout le haut est sélectionné ? Promenez vous un peu autours de votre objet... vous n'avez selectionné que les points visibles de devant !

Pour selectionner les points invisibles, le mieux est d'afficher votre objet de façon transparente en appuyant sur Z ou cliquant sur Wireframe.

On recommence avec l'objet en wireframe, on deselectionne avec A, on fait un carré autour des vertices du haut (les petits carrés jaunes) avec B, et on appuit sur E pour extruder.
Cliquez sur Only Edges (seulement les bords du tube), puis appuyez sur Z pour contraindre l'extrusion vers le haut (=vers l'axe Z), et cliquez pour valider.

Répétez l'opération (on va dire 6 fois), pour obtenir une belle tour de Pise. (N'oubliez pas que vous pouvez dézoomer avec la molette de la souris et déplacer la feuille en maintenant shift+bouton du milieu.)
Et voila, vous avez une belle paille.

Hum.

Le bout du bas est un peu petit, on va le selectionner et le déplacer vers le bas avec le bouton G (en contraignant en Z).

Pareil pour celui du haut.

Voila, vous avez une paille toute droite.


-Ajouter le squelette-

Il nous faut ajouter une armature (un squelette) à l'endroit où la paille se tord, c'est à dire le long de la ligne rouge.


Placez votre curseur 3D à peu pres au centre de la paille en vue du dessus, puis sous les lignes de pliure en vue de face.

Une armature étant un nouvel objet, passez donc en mode objet en appuyant sur TAB. C'est con, on ne voit plus où l'objet doit se tordre. Retournez donc dans votre objet, en mode édition (TAB again), et cliquez sur "all edge".


C'est plus clair.
Vous pouvez maintenant creer l'armature en mode objet. Espace=>add=>armature ajoutera un os.
Comme les objets, vous pouvez le selectionner, le redimensionner, le déplacer etc.
Extrudez le plusieurs fois pour obtenir un résultat simlaire à celui de l'image plus bas.
Maintenant, il faut associer la paille et le squelette.
En mode Objet, cliquez sur le tube (avec le bouton droit), puis, en maintenant shift, sur le squelette. Puis Ctrl+P (ou menu Object->Parent->Make Parent) et choisir "Set parent to Armature", "name groups".

Il va maintenant falloir associer les vertices de l'objet à chaques os.

En mode édition, selectionnez le rectangle bas de la paille, puis dans le panneau editing (F9, mais normalement vous n'avez pas bougé de là), choisissez Bone,qui est le nom du premier os que vous avez créé, et cliquez sur assign.

Cela va associer l'os et le bas de la paille.

Même chose pour le deuxième os (nommé par défaut Bone.001, nom qui signifie "1er parent de Bone"), avec les vertices plus haut.


Puis continez comme ça jusqu'au dernier.


Repassez en mode objet, seletionnez l'armature, et passez en mode pose.

Là, essayez de déplacer les os.
Miracle, la paille suit leur mouvement(1) !

On peut désormais s'amuser à la tordre.


Il ne vous reste plus qu'a changer la paille de calque, en la selectionant en mode objet, et en appuyant sur M, de meme pour les os.
Attention, si vous devez déplacer ou réduire la paille, veillez à selectionner les os en meme temps (shift pour selectionner plusieurs choses à la fois).

Un ptit render :


Voila !

********
(Si jamais j'ai dit des grosses conneries, merci d'avance de bien vouloir me rectifier.)

********
(1)Ou pas, insultez moi, dans ce cas.
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Blender - animation

posté le 29 March 2006 à 19:19
Bon bon, j'ai essayé de m'attaquer à l'animation avec Blender.

Petit animation pour mon tachikoma (Xvid) :
http://s140685957.onlinehome.fr/Stuff/3D/tachianim3.avi
Une demi heure pour rendre ça.

Plus compliqué (mais plus moche), un ptit dino qui marche.
Là, j'ai dû apprendre à utiliser les bones (c'est assez simple, en réalité), et trouver comment ramener le dino à la même position qu'au départ pour faire une animation en boucle.

Donc utilisable dans un jeu video.

http://s140685957.onlinehome.fr/Stuff/3D/dino.avi

J'ai été un peu frileux au niveau du mouvement des épaules, mais bon, c'était juste pour tester l'animation.

Voila, si quelqu'un veut un tuto Animation sous Blender par un N00b pour des n00bs, faites moi signe.

Dire qu'il y a 10 ans, il fallait une armée de graphiste pour faire ça.

(Vais me faire un remake des effets spéciaux de Jurrassic Park vite fait.)
(Oui, je fais de la merde, je sais.)
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Tachikoma !

posté le 26 March 2006 à 01:27
Une nuit en tête à tête avec Blender pour un truc que je rêvais de faire depuis longtemps.
Merci pour vos tutos !





Soyez indulgent, je débute :)

Et une magnifique tentative cell shadé lissé mes couilles :


J'ai pas reussi à soustraire, tant pis.
Ca aurait été pratique pour creuser les yeux et les articulations, par exemple.
Enfin, de toutes facons, soustraire c'est une mauvaise habitude de q3radiant/rhinoceros/petit fermier (haha, une blague niveau Ceacyenne. (hum, scuse moi mec.)).
**************
D'autres trouvés sur le net :


Lui, il sait soustraire, l'enfoiré.


Superbe, non ?


(Erm erm).


******

Edit :

Raaah, Blender, je t'aime.



Vive le 21eme siecle, désormais, n'importe quel glandu peut faire de la 3D.
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Coeur et muse

posté le 05 March 2006 à 14:05
A la fois pour répondre à Ceacy et pour compléter mon article précédent (et poser une theorie) :

Une machine est composé de hardware et de software.
Comme un humain, par analogie, est composé de corps et d'esprit.

Le corps, c'est à la fois une interface, qui nous permet d'agir dans l'environnement, et un écrin, qui protege notre esprit.

L'esprit, c'est ce qui nous permet de refléchir, de résoudre des problemes, de penser.

Mais l'homme doit posseder autre chose : si un homme n'était composé que d'un corps et d'un esprit, il ne serait rien de plus qu'une très performante machine à calculer. Une sorte de zombie qui attendrait sagement qu'on l'utilise.

A mon avis, la force de l'homme réside dans un troisieme élement, (peut être un peu trop oublié par nos amis scientifiques ?) : le coeur.
Le coeur, c'est ce qui nous donne envie de faire des choses, ce qui nous motive.

"J'ai envie d'aller frapper mon voisin avec un gros marteau".
"J'ai envie d'offrir un bouquet de fleur à ma copine".

(D'ailleurs, lorsqu'on a pas envie de faire quelque chose, ne dit on pas : "Je n'ai pas le coeur à faire ça." ?)

******

En grandissant, j'ai l'impression d'avoir privilégié les besoin de mon corps (sexe, bouffe, sommeil, chaleur) et de mon esprit (languages, 3D, informatique...), et d'avoir laissé de coté mon coeur.

Comme je le disais : j'ai du mal à être ému, joyeux ou triste, et je n'arrive plus à trouver l'envie de creer.
C'est exactement ce que disait Ceacy, et un bon point pour la théorie au dessus : "On se transforme en machines".

*******

Alors quoi ?

Ce qu'il me faudrait pour reveiller mon coeur, c'est trouver une muse, c'est a dire trouver quelque chose qui me donne envie de creer.
Pour certains, ca peut être une femme ("J'ai plein d'idée pour la séduire/lui faire plaisir !"), pour d'autres l'argent ("Hmm, trouvons une idée pour en ammasser encore plus"), pour d'autres encore, le vague espoir d'apporter quelque chose à l'humanité, ou la célébrité, ou l'amour qu'on porte aux autres et qui nous donne envie de les aider. Les exemples sont infinis.


Enfin, on peut être sa propre muse, c'est a dire creer des choses pour son propre plaisir.
Par exemple, creer un jeu, uniquement motivé par le plaisir qu'on aura à y jouer après. Ou bien jouer avec des figurines dans sa chambre.
Je crois que c'était mon cas. Peut être qu'aujourd'hui, ca ne me suffit plus comme raison d'innover, parcequ'avec le temps j'ai fais le tour de moi-meme.

Ou peut être, comme le disait à peu pres 7Wo_Orld, parceque "Montrer ses sentiments, c'est montrer qu'on est faible." Donc je me suis fermé aux émotions. Et c'est con, comme je créais juste pour mon plaisir, je n'ai plus eu envie de me faire plaisir/de creer.

************

(Oui, encore un article masturbatoire. Pareil, jvous chope à Q3 si vous etes pas content.)
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Regression

posté le 04 March 2006 à 17:24
Depuis quelques années, j'ai l'impression de regresser.

Mon vocabulaire s'appauvrit, mes blagues ne sont plus du tout spontanée (même lorsque je suis bourré, je me force), je n'arrive meme plus à déprimer correctement, ni à m'émouvoir devant un film ou une chanson.

C'est bien simple, j'ai l'impression de devenir un robot.
Mes connaissances se sont amplifiés : je programme mieux, je 3Dette mieux, je pense que je comprend mieux comment marche "la vie" en général.
Hélas, j'ai l'impression que mon imagination s'étiole.
Je tourne en rond.


Quand j'étais jeune et plein d'entrain, j'ai écrit :
L'imaginaire est à mon avis un phénomene naturel créé pour se projeter dans l'avenir et eviter les problemes futurs.
Cad : On essaye d'imaginer ce qui va se passer pour l'éviter.

Donc, l'imagination se rapproche sans conteste de la *paranoia*.
Ainsi donc, des gens sans AUCUNE imagination (chose impossible en pratique) n'auraient peur de rien. Ni de l'inconnu, ni de l'avenir, ni des "autres".


Ce serait ca qui pousserait les enfants à imaginer le contenu d'un placard sombre, par exemple.

C'est vrai, en grandissant, je suis devenu moins paranoiaque.

Il existe aussi une autre forme d'imagination : celle qu'on utilise pour résoudre des problemes (mais je crois qu'il faut parler ici "d'inventivité").
Aucun probleme de ce coté là, je suis capable de réfléchir et d'inventer des solutions.

Mais par contre, j'ai perdu ma paranoia.
Et mon imagination avec.

Enfin, j'imagine que c'est normal de perdre tout ca en vieillissant.
Les jeunes, créez vite des choses originales et spontanées avant qu'il soit trop tard.

******

(Vous en avez rien à foutre ? Vous avez bien raison.)
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Un petit moment sur Ubuntu

posté le 24 February 2006 à 05:14
Apres avoir été conquis par l'adorable linux knoppix, je décidais de tester Ubuntu.

Mes yeux étaient englués de fatigue, j'avais un culbuto à la place du crane, et mon esprit divaguait vers des songes sans queue ni tete (comme la dominance du monde par les Malfaisantes Manettes Magiques).
En fait, c'est simple, j'avais l'impression de m'être défoncé au rhum blanc avec des potes quelques heures plus tôt. Peut être meme que c'est ça d'ailleurs. Qui peut le dire ? Qui le saurait ? pourquoi dire oui alors que c'est...

Bon bon, test de Ubuntu.

A vrai dire, j'avais déjà tenté Ubuntu, mais j'ai du laisser tomber, la faute à un installeur boudeur.
Cette fois ci, pas de problème.
L'installation est moche, lente, mais elle marche.
Ca copie, ça configure, ça se connecte tout seul par l'ethernet, ça télécharge des tas de trucs sur internet, ca télécharge encore des trucs, puis des machins, puis des bidules, des choses.tar.biz...Les Packages défilent sous mon nez sans interruption comme les TGVs devant une normande.

Et puis bingo, redémarrage, bonjour lilo (ou grub), et on lance Ubuntu.
Ubuntu est vraiment sympa : il se connecte au net pour voir s'il n'a rien oublié dans ses premiers téléchargements.

C'est donc repartit pour une bonne vingtaine de minutes.

Enfin, l'écran de chargement du syteme.

C'est beau, avec un teint légérement marron, rappellant un peu Avalon (de Oshii).
Le bureau (Gnome) arrive, avec les quatres bureaux virtuels, mes disques durs de windows et ma souris.
La vie est belle.
Je teste internet. Ca marche aussi au poil.

Tiens, un panneau m'interpelle qui me demande de faire...des mises à jours. Encore ? Mais je viens de télécharger quoi toute la derniere heure ? Bon. C'est repartit.

Je me frotte les mains pendant que les packages s'installent (faudraient pas trop qu'ils prennent leur aises d'ailleur, ya que 7 go) : je jubile d'avance en pensant à tout ce que je vais pouvoir explorer dans cette distrib.

Hélas, j'allais vers ma premiere deception.

Le menu "Applications" est simplement *ridicule* comparé à celui de knoppix.
Okay, okay, il y a open office, gimp (comme dans knoopix), des tas de jeux, des machins d'édition de son, rippeur de cd. un clone de netmeeting. Un client bittorent.

C'est pas mal, mais ca me semble tellement inutile. Ca se télécharge, tout ça.
Je décide de poussser mon exploration en écoutant de la musique lorsque ..."There were no decoder found, install things". Ah, on ne peut pas écouter de mp3 ? Bon bah un midi alors. Non plus ? Ok, ok. Un wav. J'ai justement la BO de GTA3 qui traine. Non plus. On nous bourre de programmes énormes qu'on a pas demandé et sont pas fichus de nous filer un truc pour lire du wav.

Bon, c'est pas si grave.

Installons Easy Ubuntu !

Easy Ubuntu a été developpé pour les nazes qui savent pas installer de codecs et d'autres trucs vitaux sous linux.
C'est juste ce qu'il me faut.
Je double cliquette sur Easy Ubuntu et je donne mon mot de passe (linuxien=parano).
J'ai droit à un magnifique "Impossible de lancer EasyUbuntu.py : Child terminated with 1 status."

Qu'a cela ne tienne, je vais le lancer manuellement.
Je cherche le bouton " ouvrir un terminal ici", pendant quelques minutes. En vain.
Incroyable.

C'est ça le grand Ubuntu ? Quelques programmes inutile dans un OS à moitié installé ?
On va encore m'accuser de troller/d'etre un noob/d'écrire des articles trop longs et chiants mercid'etrearrivéjusquelàaufait/de me donner en spectale.
Ubuntu. 600 mo avec mon 56k-like pour...ça ?
Je suis tellement décu que j'en pleure.


Ah non, c'est juste l'écran qui me défonce les yeux. Je me bagarre un petit peu pour trouver un pilote Nvidia et je tombe sur le Gestionnaire de paquet synaptic.

Hé, c'est pas mal ça.
En gros, c'est un moteur de recherche de packets. Il suffit de taper Blender, par exemple, et paf! on tombe sur blender 2.37a (oui, la vieille version).
C'est génial.

J'essaie avec Nvidia. Je trouve mes drivers. Enfin, je trouve un point positif à cette distrib. Je télécharge, j'installe, je reboot, le coeur chargé d'espoir. Comme c'est simple de mettre à jour ses drivers avec Ubuntu-Le-Facile !
Je suis le reboot fébrilement, et enfin, le bureau apparait.


Mais aucune difference. Mon écran clignote toujours comme le vieux néon d'un bar sordide.
Désolé Ubuntu.
On est vraiment pas fait l'un pour l'autre.


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Conclusion :
Bon, j'exagere un peu, et je n'ai pas testé tres longtemps. Mes problemes viennent surtout du fait que je suis un linuxoob et que je me suis trop habitué au confort de knoppix/KDE.
En tout cas, j'ai été très decut en découvrant ubuntu, surtout apres tout ce que j'en avais entendu.

Petit bilan de mon experience :
+C'est beau, les sons sont mélodieux, les polices lissées.
+Le bordel pour télécharger de nouveaux programmes.
+N'a pas explosé mon pc.
+Il y a des thumbnails o/


-Manque les codecs les plus élémentaires.
-*mettre ici les defauts de gnome*
-Ca me nique les yeux, je vais me coucher.
-Est responsable de cet article.
-Nous fait télécharger pendant 10 plombes pour 4 programmes.
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Nouvelle de S.F. : Surpopulation

posté le 18 February 2006 à 13:06
Je continue de sortir mes vieux trucs :

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Jackson poussa la porte de son appartement avec quelques difficultés, et enjamba le corps inerte qui gisait derriere. Il devala son escalier, s'efforcant de ne pas reveiller par inadvertance ceux qui dormait dans l'escalier. Il dut néanmoins en secouer un pour lui demander de libérer la porte d'entrée, mais fut finalement contraint de déplacer le sans-domicile par la force.

Le flot de Foule ne semblait pas vraiment agité, ce matin. En bon habitué, Jackson y entra sans trop de difficulté et suivit le mouvement de la Foule, qui remontait la rue, alors que lui devait la descendre. Mais c'était ainsi : un coté de rue, une circulation. Et surtout, ne jamais s'arreter. Devant lui, un homme hurla. Sans doute venait il de trébucher, peut etre renversé par quelqu'un qui avait raté son entrée. Indifferente, la masse d'êtres ne s'arreta pas, et lorsque Jackson arriva au dessus du type, le visage du malheureux n'était déjà plus qu'un amas de chair et de sang, des empreintes de pas imprimés sur le front. Surtout, ne pas ralentir. Jackson parvint enfin au rond-point, fit demi tour, et atteignit finalement le trottoir de droite.
Enfin, il avait l'impression de marcher pour aller quelque part. Un petit gars se plaignit à sa gauche. Visiblement, il avait raté sa Sortie de Foule, et il devrait encore remonter, puis redescendre la rue avant de pouvoir rentrer chez lui. Il pouvait se plaindre, mais n'avait pas le choix : surtout, ne pas cesser de poser un pied devant l'autre. Jackson, quand à lui, arriva enfin pres de l'immeuble que lui avait signalé son superieur quelques heures plus tôt. L'important, c'était de tenir compte des fluctuations du rythme de la foule....Il donna quelques vigoureux coups d'épaules pour effectuer sa Sortie. Il était temps. Jamais il n'avait pu marcher longuement au milieu de la Foule sans rendre son déjeuner. Notre homme se laissa glisser jusqu'a la porte visée, et l'ouvrit d'un coup sec, faisant entrer du meme coup, contre leur gres, deux marcheurs révoltés.

Jackson se confondit en excuses, bien que ce genre d'incident soit assez fréquents, et entreprit de grimper jusqu'a l'appartement 16. L'immeuble était étroit, sale, et froid, à tel point que Jackson avait l'impression d'évoluer dans une canalisation de chiotte rouillée. Mais au moins, à l'interieur de ce genre de taudis, personne n'osait dormir par terre entre les palliers. Il s'immobilisa devant le numero 16 et sortit son arme de service, son oreille de flic aux aguets. Un bébé hurla. Dynamisé par le cri, Jackson fit sauter la serrure de la porte et traversa rapidement le petit salon. Trop rapidement pour lui permettre de voir son agresseur. Le chandelier frappa Jackson au bras droit, mais il ne lacha pas son arme. Il envoya plutot sa jambe dans le ventre de son adversaire qui se plia en deux, et lui tira une balle dans le haut du crane.
Les pleurs d'enfant avait cessé.

Malgres cela, Jackson alla ouvrir la porte à l'autre bout. Ce qu'il vit lui glaca le sang. Une femme affolée tenait contre son sein un bébé d'à peine quelques semaines. Elle leva ses yeux humides vers le policier, dans une supplication inutile.

“Donnez moi ce bébé
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Vieux texte de science fiction

posté le 18 February 2006 à 02:38
Cela devait arriver un jour ou l'autre : les colons de la quatrième orbite réclamèrent leur indépendance. Cette appellation regroupait tout les habitants de Mars et de ses deux lunes, Phobos et Deimos, ce qui constituaient plus de 150 000 individus. Les colons savaient pertinemment qu'il était impossible de se passer du soutient matériel de la Terre, mais préférait des relations commerciales à la domination. En fait, “domination
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