J'l'ai eue !

posté le 02 November 2008 à 13:34
La circul' ! Du 1er coup et sous la pluie o/
J'ai même une moto maintenant, une Jap' de 8ans et 201 kilos, beau bébé hein ;)


(Photo non contractuelle, la mienne est gris-vert métal)

Vavavoum !
tags : de, essorage, gaz, poignée, v

Permis A - Bis

posté le 13 October 2008 à 23:41
J'ai oublié de vous dire que j'ai eu mon plateau fin septembre, du 1er coup o/
Je passe la circulation dans 1 semaine (pourvu qu'il fasse aussi beau que maintenant !) et après à moi les joies de la motobylette.




tags : heuer

Born to be n00b

posté le 17 July 2008 à 10:50
J'ai décidé voilà un mois de passer le permis A.
Après avoir brillamment obtenu mon code la semaine dernière, c'était hier mes 2 premières heures de plateau.
Je me pointe à 18h00 à l'auto-école, avec mon blouson neuf, mon casque neuf et mes gants neufs, et en route vers les pistes. Je suivrai les 2 autres élèves + le moniteur dans une clio de l'auto-école : faut pas que je fasse n'importe quoi au volant :)
10 minutes après nous arrivons aux pistes, et là c'est l'hallucination : la petite route qui y mène est totalement défoncée ! c'est une succession de bosses et de trous, entrecoupée d'une ligne de chemin de fer sans barrière, avec un Stop. Moi qui pensais que ça n'existait que dans les séries de code ce genre de cas ... On arrive enfin sur des anciennes pistes d'atterissages militaires, autant dire qu'il y a de la place, en longueur comme en largeur.
Les 2 élèves - qui ont une 10aine d'heures à leur actif, s'entrainent sur le rapide avec leur Yamaha 600 Fazer 78 cv, moi j'ai hérité de la vieille XJ600N, plus basse donc plus sécurisante pour le début. Le moniteur, qui est en fait le patron, est super cool. Il m'explique le B.A.BA bien sûr, et enfin j'enfourche l'engin !
C'est parti pour une série de démarrages-arrêts, avec au bout un demi-tour ... ma tête tourne mais pas mes bras, je suis raide comme la Justice, pas si facile de se laisser aller, de laisser faire la machine. Le moniteur me montre que même sans accélérer la moto tourne toute seule, me fait monter derrière : wow ça penche une moto ! Après quelques minutes j'arrive enfin à tourner.
Puis il m'explique les vitesses, 1-2 2-1, à moi de jouer, aucun soucis. Il me dit de continuer jusqu'en 4e, puis de rétrograder, je m'exécute plusieurs fois, et je me dis que je vais pousser un peu la machine, j'accélère en 4e, waouw la sensation de vitesse ! incroyable ! je file comme un pro ! je regarde le compteur ..... même pas 40 km/h ! Hilarité générale lorsque je raconte ça quelques minutes après.
Allez hop je repasse derrière, il veut me montrer le contre-braquage ! Nom de Diou ! il monte à 60km/h et commence à pousser le guidon à gauche et à droite, la moto vire et chavire dans tous les sens, impressionnant !
Je refais quelques allers-retours en 4e, je teste le contre-braquage (c'est vrai que ça marche !), et les 2h sont terminées. Bilan j'ai calé 3 fois au démarrage, j'ai pas mis le pied à terre une seule fois en virage, mon T-Shirt est trempé, et je compte les jours jusqu'à la prochaine séance.
tags : rider, zizi

Carlos a cassé sa pipe

posté le 18 January 2008 à 16:10
Bon c'est triste mais ce n'est rien à côté de la mort de Booby Fischer. Ci-après un superbe copier-coller d'un non moins superbe article du Monde :

En 1968, entre deux compétitions d'échecs, Bobby Fischer, accompagné d'un joueur grec et du grand maître yougoslave Petar Trifunovic, fit une excursion à Delphes, où il s'émerveilla devant le temple d'Apollon. Devant l'autel de la Pythie, Trifunovic aurait alors interrogé l'oracle en ces termes : "Fischer gagnera-t-il le championnat du monde ?". La réponse, pour une fois assez peu sibylline, ne tarda pas : "Il changera son titre". Déjà sept fois champion des Etats-Unis, l'ancien petit prodige de Brooklyn, à qui ne manquait plus que la couronne mondiale, se serait contenté de sourire.

Quatre années plus tard, Bobby Fischer, âgé de vingt-neuf ans, n'a plus qu'un obstacle à franchir pour réaliser le rêve qu'il poursuit depuis son enfance. Cet obstacle s'appelle Boris Spassky, tenant du titre depuis 1969. Pour parvenir au pied de l'Olympe, l'Américain a effectué un parcours époustouflant en annihilant successivement le Soviétique Mark Taïmanov et le Danois Bent Larsen sur le score incroyable de 6-0. En finale des candidats, il est assez facilement venu à bout de l'ex-champion du monde Tigran Petrossian, qui, s'il ne gagnait pas beaucoup de parties, avait la réputation d'en perdre encore moins.

Cette irrésistible ascension inquiéta, dès ses premiers signes, les dirigeants soviétiques, soucieux de conserver un titre prestigieux que l'URSS détenait sans interruption depuis 1948. Les échecs, jeu préféré de Lénine, qui y voyait la "gymnastique de l'esprit", étaient devenus une vitrine du régime. Comme l'a écrit, après la chute de l'Union soviétique, le grand maître Youri Averbakh, "dans le contexte de la guerre froide entre l'Est et l'Ouest, l'idéologie soviétique a cherché à transposer les batailles échiquéennes avec Fischer en batailles politiques, en une lutte entre deux mondes, deux systèmes". Même si, en cette année 1972, l'heure était plutôt à la détente, avec notamment la rencontre Brejnev-Nixon et la signature du traité SALT sur la limitation des armements stratégiques, il n'était pas question pour l'URSS qu'un Yankee égoïste et mal élevé de surcroît s'empare du joyau de la couronne.

Après la cinglante défaite de Taïmanov, en 1971, en quarts de finale du tournoi des candidats, une réunion de la plupart des grands maîtres soviétiques dont Spassky avait conclu à la nécessité de dresser une analyse approfondie du jeu et de la psychologie de Fischer en vue des rencontres futures. Si le premier volet de cette étude fut facilement effectué par une poignée de joueurs émérites, le second ne vit jamais le jour, l'Américain et son caractère de cochon restant une énigme.

La crinière de Boris Spassky est aujourd'hui toute blanche. A soixante ans, l'ex-champion du monde naturalisé français coule une retraite paisible dans un pavillon de la banlieue parisienne, non loin de courts de tennis, sport qu'il a toujours pratiqué pour se tenir en forme. C'est sans véritable nostalgie qu'il évoque ce que la presse mondiale appela le "match du siècle" : Fischer-Spassky, Reykjavik, 1972. Pour lui, qui n'était pas membre du Parti communiste, la politique n'est jamais entrée en ligne de compte, même s'il savait qu'on ne lui pardonnerait pas la défaite. La pression était purement sportive : "Le roi est toujours seul, personne ne l'aide. Il porte une responsabilité considérable et c'est la tragédie de tous les souverains", dit-il, philosophe.

Quand il arriva dans la capitale islandaise, dix jours avant le début programmé du match, le champion soviétique n'avait cependant pas la moindre idée de la torture psychologique à laquelle Fischer, volontairement ou pas, allait le soumettre. Tout d'abord, l'Américain, grand râleur et chicaneur devant l'éternel, ne voulait pas jouer à Reykjavik, qui avait proposé une bourse de 125 000 dollars pour le match, somme considérable à l'époque, mais pas aussi importante que celles offertes par d'autres villes.

Une guerre des nerfs s'était ouverte entre la Fédération internationale des échecs (FIDE) et lui : Fischer exigeait plus d'argent et attendait à New York. Le 1e juillet eut lieu la cérémonie d'ouverture, sans la "diva". Nombreux étaient ceux qui ne croyaient plus en sa venue. Fischer n'avait-il pas, à plusieurs reprises dans le passé, claqué la porte de tournois ? A la veille de la disqualification de l'Américain, miracle ! Un banquier londonien amoureux d'échecs doublait la mise pour que le match du siècle eût lieu. Le lendemain, Bobby-le-Terrible foulait le sol islandais. La pression n'en retomba pas pour autant. La délégation soviétique, pour se venger, boycotta le tirage au sort et exigea des excuses que Fischer, après moult tergiversations, finit par rédiger malgré son orgueil. C'est dans cette ambiance de Cocotte-Minute que le match commença, le 11 juillet, devant une salle comble.

La nulle était en vue lorsque les longs doigts fuselés du "loup de Brooklyn" se saisirent d'un fou et l'échangèrent contre un pion adverse. L'Américain sacrifiait une pièce contre deux pions, coup inconsidéré dont les amateurs d'échecs discutent encore aujourd'hui. Spassky ne manqua pas l'occasion d'exécuter proprement son adversaire. Peu après la partie, Fischer annonça qu'il ne jouerait pas tant que les caméras de télévision qu'il n'a jamais supportées, ainsi que les appareils photo, les journalistes et les spectateurs bruyants n'auraient pas été supprimées. Comptant sur cette source de revenus pour équilibrer leur budget, les Islandais refusèrent. Fischer ne se présenta pas pour la deuxième partie et fut déclaré forfait. Spassky, désolé, menait deux à zéro.

Laissons-le raconter la suite. "Pour sauver le match, j'ai accepté de jouer la troisième partie dans une salle close, sans spectateur. En cédant aux exigences de Bobby, des conditions humiliantes pour moi, j'ai commis ma principale erreur. J'y ai perdu ma combativité et, quand ceci arrive, vous êtes mort. Je me suis suicidé, j'ai fait hara-kiri. J'aurais pu rendre le point en ne jouant pas la troisième partie, comme l'ancien champion du monde Mikhaïl Tal l'a suggéré, ce qui aurait placé mon adversaire dans une très délicate position sur le plan psychologique." Mais Spassky ne rendit pas le point et se montra inexistant dans la troisième partie. Pour la première fois de sa carrière, Fischer le battit.

La brèche était ouverte. A cause de son sens de la conciliation, le gentleman Spassky avait perdu la guerre psychologique. Après la sixième partie, l'Américain comptait un point d'avance ! Les préparations des Soviétiques n'avaient servi à rien car Fischer jouait des ouvertures qu'il ne pratiquait pas d'ordinaire. Quant à Spassky, il était méconnaissable, comme hypnotisé. Un sursaut eut bien lieu lors de la onzième partie, au cours de laquelle il trouva, en direct, un coup de génie. Pour la première et dernière fois du match, le New- Yorkais perdit les pédales. Mais il se vengea deux parties plus tard, avant le début d'une série de nulles. Fischer disposait alors de trois points d'avance et gérait au mieux son capital.


C'est alors que la délégation soviétique sortit un atout aussi inattendu que tragi-comique de sa manche. Dans un courrier adressé à l'arbitre, elle fit état de "lettres disant que quelques dispositifs électroniques et des substances chimiques, qui pourraient se trouver dans le hall de jeu, - étaient- utilisés pour influencer M. B. Spassky". Etaient notamment visés le dispositif d'éclairage et le fauteuil que Fischer avait spécialement fait venir des Etats-Unis. Des experts islandais firent donc passer les fauteuils aux rayons X, prélevèrent des échantillons un peu partout et ne trouvèrent que... deux mouches mortes dans le lustre. L'"aura" Fischer, dont tant de joueurs se dirent victimes, ne résidait en fait que dans sa volonté d'"écraser l'ego de son adversaire", comme l'Américain avait plaisir à le déclarer. Celui-ci ne vivant que pour et par les échecs se situait tout simplement au-dessus des autres.

Le 3 septembre, Spassky abandonna après sa défaite de la vingt et unième partie. Avec quatre points de retard pour trois parties à jouer, il ne pouvait mathématiquement plus rattraper Fischer. Ce dernier devenait officiellement le onzième champion du monde de l'histoire des échecs. En rentrant au pays, Spassky dut, selon Youri Averbakh, faire son autocritique, ce que l'intéressé dément aujourd'hui. Le joueur soviétique fut aussi privé, pendant un an, de tournois internationaux.

Après sa victoire, Fischer ne participa plus à aucune compétition et s'enferma dans sa tour d'ivoire. "Une poignée de personnes trouvaient normal qu'une fois au sommet il cesse de jouer, estime aujourd'hui Boris Spassky. Lui, si perfectionniste, était devenu une sorte de dieu qui ne pouvait risquer de détruire sa superbe image." Trois ans après Reykjavik, l'Américain, en désaccord avec la FIDE sur les conditions de son match contre Anatoli Karpov, abandonna son titre sans jouer, entrant ainsi dans la légende. C'est alors seulement qu'aux yeux du monde Robert James Fischer, dit Bobby, devint roi.
tags : échec, et, mat

2 choses

posté le 07 January 2008 à 09:53
1. Bonne et heureuse année 2008 o/

2. J'ai décidé de me retirer de la vie politique de l'administration de lasile.fr.
Je n'ai plus le temps de lire toutes vos bêtises, encore moins de pondre des articles et de mettre des titres débiles, donc je laisse mes petits copains se charger de la gestion de ce fantastique site.
Ne pleurez pas, toutes les bonnes choses ont une fin.
tags : bite, couille, nichon

Agathe est née !

posté le 27 October 2007 à 11:41
Hier à 23h55, avec 15 jours d'avance la coquine. Elle est pleine forme, 3,7 kg et 51 cm, copie conforme de sa grande soeur :) Mme Vox va bien.
A plus tard ...
tags : newbie

Photos de là de ci

posté le 25 October 2007 à 23:58
hohun ne m'en voudra pas : j'ai aussi trié mes photos voilà peu, et j'en mets quelques-unes ici. Rien d'extra, juste des sujets et des éclairages variés, et 2 appareils photos différents.
Je précise qu'aucun animal n'a été maltraité, et aucune photo retouchée (et pourtant elles en auraient besoin, mais je suis nul en bidouillage).















tags : oiseau, petit

Encore un coup de gueule - qui sent mauvais en plus

posté le 25 October 2007 à 15:14
Je puais de la gueule après mon excellent repas de midi (du kébab décongelé), donc je vais fissa chez Carrefour m'acheter des gommes à mâcher.
Je prends une boîte quelconque, des Airwaves, à la menthe et chlorophylle je crois.
La charmante caissière m'annonce le prix "3,90 €". Un rapide calcul mental - 3,9 x 6,55957 - me laisse sur le cul : je suis en train d'acheter des chouings 25,58 F. 25,58 F ? 25,58 F ! [/i]
Bon ben je vais faire pousser de la menthe dans mon jardin, j'en machouillerai avant mes réunions. [i]
tags : argent, cher, trop

Allez je vous raconte ma pause déjeuner

posté le 11 September 2007 à 13:49
Je n'ai toujours pas le net (ni le téléphone puisque VoIP) depuis mon déménagement le 16 août. J'ai appelé le 3900 (service technique Orange) hier qui me dit que ce sera fait cette nuit (la nuit dernière donc, suivez un peu). Ce matin quedalle. Donc ce midi direction l'agence France Telecom. Après quelques atemis explications, le gars me file un téléphone pour que je compose le 3900

"attente estimée : moins de 2 minutes" cool !

25 minutes plus tard... (je suis obstiné)

ha enfin la tonalité !
"tous nos conseillers sont occupés, veuillez rappeler ultérieurement"
*clic*




Je saute à la gorge du vendeur en le sommant de se démerder pour savoir ce qui cloche, et pour qu'il me rappelle sur mon portable. Il a intérêt à m'appeler le Jean-Marc, ou je lui enfourne une boule disco dans le cul et je le fais danser toute la nuit.

Mouais bon ok c'est pas super-super intéressant. J'aurais mieux fait de vous raconter notre voyage de noces aux Baléares.
tags :

It's the final countdown + tips

posté le 13 August 2007 à 22:42
On emménage dans 3 jours, c'est l'heure de faire les cartons.
Notre nouvelle maison est opérationnelle, seules quelques merdouilles restent à faire (peindre les 13 portes par exemple :p ) mais la maison est habitable.
Par contre on a un souci avec le fourreau PTT (comme disent les vieux), donc pas de téléphone avant un p'tit moment, pas internet non plus forcément. Pas de télé non plus, vu qu'on n'a pas mis d'antenne (trop moche), faudra qu'on réinstalle notre parabole. Un jour.
Pour terminer ce fascinant billet, quelques conseils :
- évitez d'avoir affaire avec EDF, c'est des cinglés. Bon ok c'est impossible de les éviter, et c'est bien dommage (problèmes lors de la pause du compteur, problème d'adresse, problème de facturation ...)
- n'achetez pas de parquet flottant TARKETT. C'est de la merde. 'nuff said
- la peinture RENAULAC est d'excellente facture, vous pouvez acheter les yeux fermés.
- les vendeurs de BRICORAMA sont des connards incompétents.
A plus tard.
tags : let's, move

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