Come on let's face it, you're a loser.

Pour une fois j'ai été prudent. Car oui dans ma petite tête, et ce depuis quelque jours, je pensais à mon blog. (Car tu auras deviné gentil asilien que je n'ai pas de vie sociale: mon blog c'est mon popote de l'internet.)

J'allais donc vous faire un article triomphant, plein de verve et de beaux élants de youpitude. Pour changer un peu quoi. J'aurai conclu par un ''Pour les conseils envoyez-moi un MP à Imax''. Laule.

Puisque ne vous ne comprenez rien à ce que je raconte, souvenez-vous :
http://l-asile.fr/modules/weblog/details.php?blog_id=162

Je vous fais un résumé :

J'ai rattrapé le coup, j'étais content, et hier soir sous une pluie battante j'ai dérapé. Je veux des sentiments, de la fidélité, elle ne veut pas. C'était beau on aurait presque dit une scène de film. La drogue, le soleil qui me tape trop fort sur la tête pendant la journée je ne trouve toujours pas d'explications. Et à la fin je suis parti tel le lonesome cowboy, sans même me retourner parce que il n'y a que les gay qui font ça. Tout ça pour attendre jusqu'à 6 heures du matin mon train (sous la pluie).

Ce que trouve jay-niale c'est qu'on peut résumer toute l'histoire en quelque mots : oui mais non mais oui. Mais non en fait.