End Of Fashion - Eels

posté le 20 March 2006 à 08:24


Groupe australien bien sympathique et déjà disque platine au pays des kangourous, End Of Fashion te donneras de la joie et la bonne humeur quand tu prendras le métro entouré de plein de moches qui font la gueule. C'est super djeun's rebel-tu-vois dans l'esprit, limite irritant, légèrement bordélique mais le son est ensoleillé et je prédis un raz-de-marée de ce disque pour la France d'ici peu.

''Oh Yeah'' le très bon single du groupe ici: (mp3 - 192kbits/s)

http://rapidshare.de/files/15953926/02-End_Of_Fashion-O_Yeah-AR.mp3.html

http://www.endoffashion.com/




Maintenant pour tes longues soirées glaciales et solitaires je conseille absolument le dernier live de Eels en cd ou dvd. Comme toujours chez cet artiste absolument génial, les ambiances mélancoliques tranchent avec une voix vaguement écorchée, enveloppée de mélodies surprenantes et poignantes. La plupart des grands tubes sont là, interprêtés avec un quatuor à cordes, un piano, quelques instruments plus exotiques et point barre. Un disque ''unplugged'' encore plus triste et classe que d'habitude, tout objet létal à portée de main est déconseillé.


''It's a motherfucker'' à téléchoper là: (mp3 192kbits/s)

http://rapidshare.de/files/15954299/09_-_Track__9.mp3.html


http://www.eelstheband.com/
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Visite de la Gold Coast - Bonus Dvd (photos)

posté le 17 March 2006 à 00:27
Pour les 3 fous qui ne visitent que mon blog parfaitement inutile et merdique, allez voir mon article sur la Gold Coast australienne avec plein de photos ici:

http://l-asile.fr/article-129-une-visite-de-la-gold-coast--australie.html


Et n'oubliez pas de jeter un oeil à notre sémillante et magnifique home avec des articles trop bien sa maman écrit par des gens trop bien leur maman ici:

http://l-asile.fr/


Pour les autres j'ai quelques photos en rab:


Les plages immenses








Notre caisse de Jacky




La végétation locale




Les ibis




Un lézard non-identifié




Les tours de Surfer's Paradise

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Serial Edit

posté le 15 March 2006 à 02:28
En ce moment c'est la semaine des serials edit sur la zone. Le principe? Un texte pris au départ et une équipe de fins écrivains paye la suite qui généralement pars violemment en vrille. Cette fois-ci le texte choisi au début est un extrait de l'Apocalypse de Saint-Jean.


N'hésitez pas à lire ces grand moments de stupidité congénitale si vous n'avez absolument rien à foutre de vos journées et si vous avez comme moi complètement raté votre vie aussi©.




Le principe expliqué ici: http://zone.apinc.org/article.php?id=1221

Les textes par ordre chronologique ici: http://zone.apinc.org/article.php?id=1339
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David Gilmour - Ben Harper

posté le 13 March 2006 à 08:20
Et hop;



David Gilmour te fera toujours autant rêver pendant ton sommeil comme à la grande époque, avec ce dernier album inespéré, ''On a Island''. Le son est super floydien, la voix classe, les instrumentaux fins et planants, les solo beaux et lents et pourtant c'est différent. Un album que je classerai dans la même veine que ''The Division Bell'' mais avec une touche beaucoup plus personnelle. Le single à écouter ici avec d'autres pistes:

http://emirecords.co.uk/players/dg/


''A Pocketful Of Stones'' à téléchoper là:

http://rapidshare.de/files/15376984/09.-_A_Pocketful_Of_Stones.mp3.html

(mp3 Variable btr 217kbit/s)




La nouvelle cuvée est là. Comme le pinard, Ben Harper se bonifie avec le temps et lâche un peu son monde bisounours pour des chansons plus poignantes et beaucoup plus riches sur le plan sonore. Cette fois-ci l'invitation au voyage s'oriente vers des ambiances Soul, des blues assez gras façon ZZTop, des ballades à 1a Bob Dylan, un titre de disque qui évoque immédiatement celui des Rolling Stones, il ne m'en fallait pas plus pour sauter de joie. La musique est sensible, la voix toujours juste, les guitares absolument magnifiques. A noter que le disque sort en deux éditions, une simple et une double avec un disque plus accoustique et l'autre légèrement plus énervé, un pue comme pour le ''Live From Mars''. A vous de voir mais honnêtement ce serait très con de ne prendre que la version standard vu que les deux disques sont très bons. Pas la peine de courrir à la Fnac, il ne semble pas être encore sorti en France.

''Morning Yearning'' (disque 1)

(mp3 320kbit/sec.)

http://rapidshare.de/files/15377522/101_-_Morning_Yearning.mp3.html


Le single ''Better Way'' (disque 2), le véritable Ovni du disque mais qui reste très bon.

http://boss.streamos.com/wmedia/virg001/ben_harper/audio/both_sides_of_the_gun/ben_harper_better_way_peace_mix.asx?siteid=artistsite
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The Vines - Vision Valley

posté le 07 March 2006 à 00:41


Les Vines, le groupe trop biaing australien au chanteur complètement lobotomisé, sort son nouvel album, avec des extraits à écouter ici:

http://www.thevines.com/music.html

Problème : Widaube media player, cette grosse merde putride infâme refuse de lire les fichiers asx chez moi. Donc je ne sais pas si les nouveaux morceaux sont sympa. A toi de me le dire grand fou.

Pour ceux qui ne connaissent pas The Vines, c'est un genre de rock un peu grunge (le groupe admire beaucoup Nirvana) teinté de Folk, mixés avec des orchestrations un peu à la Beach Boys et des bouts de Suède dedans. Le tout forme un mélange assez curieux et ensoleillé avec parfois de très belles mélodies. Enfin moi j'accroche bien.

Pour toi, ''Rainfall'' de l'album ''winning Days'' jeune insolent:


(wma - 192kbit/s)

http://rapidshare.de/files/14877532/08_Rainfall.wma.html
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Au petit matin

posté le 02 March 2006 à 06:41
Même un tas de béton peut devenir beau. Merci à la cops qui a pris la photo.

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Apprendre le surf, II

posté le 01 March 2006 à 14:11
Ok maintenant que t’as le matos et tous les conseils pour bien comprendre comment marche la houle, te voilà prêt pour la suite ! Ton chemin sera long et dur jeune apprenti.

Passer la barre

Contrairement à ce qu’on peut croire le surf est un sport très physique et technique. Tu vas en chier bleue bite.

- Ramer.

Comme tu l’as remarqué une vague potable pète normalement sur une ligne assez régulière. Selon sa taille et sa puissance, elle produit plus ou moins de mousse et de forces diverses qui vont constamment te repousser vers le sable. Autant dire qu’au niveau des bras et des abdos va falloir bosser sec pour arriver à passer la fameuse barre.

En surf on se positionne en effet derrière le point d’impact de façon à pouvoir ramer dans la même direction que la vague et la prendre sur le côté quand elle se forme ou creuse. Alors évidemment on peut la jouer feignasse et se contenter de prendre les couches de mousses qui vous arrivent dans la face, mais niveau surf c’est très limité, vous ne pourrez aller que tout droit, ce qui fait tout de même très tiep’

Tout d’abord il faut ramer. Selon la surface de flottaison de votre planche ce sera plus ou moins difficile. Autant vous dire que les gros longboards sont très avantagés et qu’avec une planche très fine il vous faudra des turbo-turbines à la place des bras. On se place bien cambré sur sa planche, un bras de chaque côté et on va tout droit. Pour les mains il faut bien les enfoncer dans l’eau et la ‘’tirer’’. On peut aussi serrer ses doigts pour faire comme une rame de kayak mais perso je crois qu’il faut surtout aller plonger la main bien loin devant soi, la ramener proprement et ramer très régulièrement, y compris quand vous vous vous faîtes lessiver afin de ne pas perdre trop de mètres de souffrance bêtement. Il faut aussi apprendre à optimiser ses mouvements et ramer avec une bonne amplitude pour ne pas gaspiller d’énergie, surtout avec une grosse combinaison sur le dos.




- Attention aux vagues

Si tu as lu attentivement mon premier article, tonton Imax t’as appris qu’avec un peu de débrouille et d’observation on arrive à trouver une ligne de contournement pour éviter de se prendre environ 40 vagues dans la face. Le but c’est d’arriver derrière le point d’impact. On appelle ça le ‘’peak’’.Avec un coup de chance on trouve aussi des gros courant qui t’entraînent tout seul vers le large, et là c’est bonheur, on enchaîne les vagues sans aucune fatigue. Par contre attention, quand on joue avec les courants il ne faut pas s’endormir.

Plus vous vous rapprochez du peak et plus les chances qu’une vague vous pète directement dessus augmentent. Le but c’est évidemment de ne pas se faire laminer et bouillonner par la mousse vers le sable.




Pour se faire, les surfers ont inventés la technique dîtes ‘’du canard’’, à maîtriser absolument et le plus rapidement possible. Cette technique ancestrale consiste à enfoncer sa planche dans l’eau et à plonger avec. Le canard est plus ou moins facile à réaliser selon la grosseur de la planche. Les petites planches qui n’ont quasiment pas de surface de rame sont avantagées puisqu’elles s’enfoncent beaucoup plus facilement dans l’eau. Simple question de physique. Quand je vous disais que le surf est un sport de compromis…


Le canard c’est avant tout de la force et du timing. Pour enfoncer efficacement sa planche dans l’eau, on pousse bien fort avec son bras, le corps en avant pour basculer sous l’eau. Attention de s’accrocher très fermement à sa planche quand vous passez sous une vague sinon vous la perdez.

Sous l’eau ça donne ça. Pour éviter que le cul de la planche ne remonte trop, il est très conseillé de s’aider du genou comme le type sur la photo ou même de son pied si vous êtes plus souple.




Tout le problème du canard ou ‘’duck-diving’’ pour la jouer plus staïle c’est bien sûr le timing. Il faut plonger au bon moment pour ne pas se faire détruire par la vague. Après quelles belles claques on apprend vite. Il y a aussi d’autres techniques de payday vachement moins efficaces comme le retournement (on se met sur le dos avec sa planche) ou on se cambre à mort pour laisser passer la mousse en soi et la planche.


Adopter une bonne attitude au peak

Yeah!! Grâce à tous mes tips de pro te voilà derrière la barre en compagnie de tes autres copains temporaires de sessions. Alors sache jeune intrigant, que le surf c’est plus qu’un sport, c’est une attitude. Il faut savoir que tu partages des vagues avec d’autres gens, des kevins, des vieux, des ptits cons, des pros, des débutants comme toi, etc… Et quand tu vois une belle vague arriver tu remarqueras vite que tout le monde rame frénétiquement, que tu n’es pas tout seul, et que parfois ça chauffe sévèrement entre des types qui se sont rentrés dedans ou autres affinités.

Tout d’abord sois cool dans ta tête. Un petit salut de tête aux gens autour de toi quand tu les rejoins dans l’eau, un signe de la main, un ‘’hey mate’’ quand tu es en Australie, un ‘’salut ma couille’’ dans le Sud, qu’importe c’est toujours très apprécié. On parle toujours de localisme dans le surf, avec les célèbres ‘’black shorts’’ hawaïen par exemple, qui interdisent carrément bon nombres de plages aux touristes et même aux hawaïens blancs. Moi c’est marrant mais je n’ai jamais rencontré de gens hostiles quelque que soit le pays où je vais.

Deuxièmement il existe en surf des priorités quasi-universelles. Le surfeur qui a toujours la priorité sur les autres est celui qui est le plus en amont de la vague, c'est-à-dire le plus prêt possible de l’endroit où elle s’est formée. Peut importante qui est monté le premier sur sa planche. Si vous coupez la trajectoire d’un type, vous êtes en tort, vous serez un ‘’ragasseur’’ dans le sud-ouest, et vous vous ferez traiter d’enculeur de maman dans un pays étranger. Si par malheur vous coupez une priorité et que en plus de ça vous rentrez dans le type déjà sur sa vague ou pire le blessez, ça va chauffer les marrons.

Là sur l’image c’est super extrême et c’est du n’importe quoi en barre, mais c’est pour que vous compreniez bien.



Une fois au peak, on ‘’s’assoit’’ sur sa planche, comme tous vos camarades. Alors c’est pas compliqué vous vous posez le cul vers le tail de votre planche et vous vous stabilisez. Plus votre planche est fine et moins vous flotterez donc attention vous n’y arriverez pas tout de suite mais ça viendra vite. C’est un peu comme un tire-fesse au ski, on ne s’assoit pas vraiment, on se laisse porter.

Outre le repos que cette position vous apporte et la possibilité de regarder le paysage depuis l’eau, c’est aussi un moyen de voir devant vous, parce quand on a le nez à ras de la flotte on voit pas grand-chose. Donc d’anticiper les vagues qui arrivent.





Prendre une vague

Attention on rentre dans le vif du sujet. ÇA DAYCHIRE !!!
Alors tout d’abord on rame en direction de la plage. Il faut savoir qu’une vague ne vous ‘’pousse’’ pas, surtout avec une petite planche. Il vous faut mouliner des bras pour prendre de la vitesse et vous ‘’lancer’’ dans le creux. Allez ramez bande de feignasses !! La rame c’est 90% du départ et l’erreur du débutant est de ne pas assez ramer. Pour être efficace dans sa rame il faut anticiper à mort. Si la vague est déjà arrivée sur vous, c’est trop tard vous ne partirez pas au mieux, ou vous allez vous prendre une grosse boite au pire. Pour éviter ces désagréments, je vous file encore un tips de pro : Regardez bien les vagues grossir et ne prenez pas celle qui fonce sur vous mais commencez à ramer pour celle qui commence tout juste à grossir derrière. Je vous le répète le secret du surf c’est de savoir regarder derrière soi tout en ramant très à l’avance. C’est seulement une fois que vous atteindrez un certain niveau que vous pourrez vous permettre de partir au dernier moment dans un creux.

Cette phase d’anticipation est importante car c’est aussi en observant derrière soit qu’on devine dans quel sens déroule la vague. Et là c’est vital les amis. Cela détermine dans quel sens vous orienterez légèrement votre planche pour partir. Je rappelle que le but du surf c’est de ne pas aller tout droit mais sur le côté, de façon à ‘’rider’’ la vague le plus longtemps possible sans vous faire bouffer par la mousse. Et une vague ne déroule la plupart du temps que d’un seul côté. Essayez donc de ne pas vous planter.


Le Take-off

En surf, le moment crucial où vous vous mettez les deux pieds sur la planche tout en basculant dans le creux de la vague s’appelle le ‘’take-off’’ (décollage). Pour les débutants le take-off est un moment critique, où l’on risque de se vautrer lamentablement la gueule en avant. Nombreux sont aussi les bouffes où votre planche pique s’enfonce le nez dans l’eau et vous pouvez alors vous faire salement lessiver et péter en deux votre jolie planche toute neuve. Pas de panique.



Tout d’abord il faut s’entraîner sur le sable à mort, faire et refaire le mouvement. On démarre allongé, on s’auto pousse bien fort avec ses deux mains sur sa planche et on atterrit le deux pieds dans une parfaite position. Ça paraît impossible au début mais en réalité en se forçant à faire le geste proprement quitte à se vautrer des centaines de fois, on y arrive facilement. L’erreur classique est de faire le mouvement en deux temps, c'est-à-dire en utilisant son genou. Chose qui ne pardonne pas si la vague a déjà un peu creusé.

Suivant la vague, il faut bien sûr s’adapter. Si elle est très grosse il faut se placer à l’arrière de sa planche pour éviter de plonger la gueule la première. Si les vagues sont très creuses, il faut être extrêmement rapide. Si elles sont très molles, il faut bien fléchir et basculer son poids vers l’avant pour ne pas perdre de vitesse, etc…

Le secret est d’être très souple en toute circonstance, si vous êtes raide comme un balai c’est pas bon. Et enfin il y a une chose qui vous différenciera de la masse des kevins : l’engagement. Ouais parfois la vague creuse plus que prévu, a l’air méchamment grosse, vous sentez que vous allez vous tuer, et bien c’est trop tard faut y aller, la tête en avant, les genoux fléchi dans le sens de la pente. Vous vous ferez toujours moins mal qu’à reculons. Et puis le surf c’est pas comme le criquet ou du golf, vous êtes un peu là pour vous faire peur et vous payer votre quart de seconde d’adrénaline. Donc chargez.

Un beau take-off couillu sur une vague pas facile, c’est se lancer sur une pente à une vitesse ahurissante, le tout sur une masse d’eau en mouvement. Quelques millièmes de secondes en semi apesanteur. Une sensation vraiment orgasmique. Attention tout de même car sur les très grosses vagues où vous ‘’tombez’’ brusquement plusieurs mètres, on peut parfois sentir son estomac remonter sec, un peu comme en avion. Au bout de quelques années vos take-off seront plus propres, plus précis, plus rapides, et vous n’y ferez même plus attention. En fait vous deviendrez tellement rapide que vous ne vous rappellerez même plus le temps qui s’est écoulé entre le moment où vous ramiez pour prendre la vague et celui où vous êtes debout dessus en train de la surfer. D’ici là bon courage…









Bon la prochaine fois on continue avec de la technique un peu plus avancée bande de moules, jusqu'à maintenant c'était de la merde. Allez on prend un tapis, une serviette et on s'entraîne par terre au take-off, là maintenant tout de suite, exécution.
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Je suis trop mort de LoLOLOL

posté le 27 February 2006 à 06:34
Nynjardin est un genre de super-héros de la merde, le genre de sale con que j'avais pas vu depuis des lustres sur le net. Je n'avais pas vu son superbe article alors je suis obligé de lui repondre personnellement, vu que ce sale serpent parle de moi à plusieurs reprises, les trémolos plein la bouche, mais qu'en fait c'est juste pour dire qu'il ne revient plus ici. (Laule)

A part ça notre mytho préféré cherche à faire pleurer l'asile comme d'hab', me censure dans ses commentaires aussi, et plus globalement il cherche la merde et moi c'est vrai que comme je suis très con j'aime très fort la remuer. Nynjardin, cher ami, je dédicace à ton oeuvre un balais Leroy Merlin dans ton cul.


Et bien non, passer pour un con ne me dérange pas, mais profiter du fait que je ne puisse pas prouver le contraire parce qu’il n’y a pas d’archive de la tribune, pour dire que je suis raciste (cella dit en passant, après une diffamation pareil, c’est quand même moi qui ai été banni… je l’ai chercher, mais il avait plus de raison que moi de finir banni…). Bientôt, parce que je vis en collocation avec une femme qui a 2 enfants, je suis pédophile aussi non ? Je crois que Imax ne se rend pas compte de ce qu’il a fait, et que ceux qui l’on suivi dans son délire aussi…

Je tiens juste a préciser que je ne suis pas complètement français, mais ça, je l’ai dit a personne, c’est très fort pour quelqu’un de raciste tout de même, je voulais, a la base, me débarrasser du « problème » sans avoir a mettre ça en avant !

Ce qui en a découlé m’a plus donner envie de continuer les blogs, certains on essayer de pourrir les commentaires de mon blog en y mettant des pages et des pages de n’importe quoi en commentaire, juste pour avoir lu l’article de Imax…

Vous noterez aussi que sur mon super blog secret de la mort tout ça, bah j’écris pas grand-chose non plus, je suis réellement dégoûté par ce qu’il s’est passer !

Bref, je reviendrais plus, ni avec mes histoires de fou qui m’on valu le statut de magnifake, mon envie d’être connu parce que je suis seul et triste dans la vraie vie, mes histoires sentimentales a faire pleurer un hippocampe (ou mes tutos…), je veux plus…



Hum. Ha ha. *raclement de gorge*

MAIS ON EN A RIEN A FOUTRE CONNARD !!!


Ça fait du bien.

Deuxièmement, je note que dans le monde merveilleux de nynjardin, celui-ci se définit maintenant comme ''a moitié étranger'' et ''qu'il ne l'a dit à personne'' (rires)

''imax devrait être banni à ma place'' (Applaudissements)

'' lui, il me saoul, j'ai sensurer Imax, et je pense que je le ferais a chaque fois qu'il postera(qu’il ai raison ou qu’il ai tort), comme ça, tout le monde est prevenu!'' (Hystérie collective)

Et non non je ne suis pas raciste du tout quand je considère que la parole d'un type ne vaut rien puisqu'il est ''ETRANGER'', balancée sans gêne et texto dans la tribune. ''je voulais, a la base, me débarrasser du « problème » sans avoir a mettre ça en avant !'' (Délire de la foule).


Pour terminer sur tant de bonne humeur et de franche rigolade, je ressors une autre citation extraite de la tribune:

''kadkar bos a l'usin sur des karkasses de voiture il est tro con lol !''


Oh mais que je regrette de ne pas avoir le log complet. Oh que oui.

Et en bonus track DVD, un extrait d'un article trop supaire du blog de nynjardin!! Moi louper des trucs pareils sur notre belle V3 ça me fend le coeur. Tiens d'ailleurs toutes les semaines vous aurez droit à un article du blog répugnant et horrifique de nynjardin, comme ça grâce à moi tu ne seras pas oublié, jeune con illettré.


samedi 25 février 2006

''Un moment elle s’est pliante de ne jamais recevoir de fleur… ou trop rarement ! Alors j’ai décidé de le faire, a la base je pensais juste venir avec une simple rose blanche et la lui donner en passant, et dire un truc du genre : comme ça, tu te plaindra plus ! (Oui, je sais, j’ai un humour de merde !) mais après une petite discutions avec une amie sur le net, une autre idée m’est venu(avec l’aide de cette amie quand même hein !)

Du coup, j’ai fait la 2eme idée : je lui aller chez un fleuriste a coté de chez elle, j’ai pris 5 roses : 2 blanches et 3 rouges, que j’ai fait livrer a son travail (elle est gérante d’un snack) avec un petit mot (peut être trop explicite) : quand on veut, on peut… je te veux, je peux ?''


... Et il est fier de sa connerie en plus.




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La vie des bêtes: Raymonde, la mygale immonde.

posté le 23 February 2006 à 00:01
Salut les jeunes. A la manière du ptit gars qui nous avaient fait l'histoire de piafs qui s'envolent,moi je vous partager un grand moment de vie animale locale.

Tous les matins, en allant au bureau je salut Raymonde. Raymonde est une jeune mygale pas très grosse installée dans une banlieue résidentielle quelconque de Sydney. Cela fait 3 semaines qu'elle a tissé sa toile entre des bagnoles et des devantures de bureau juste à côté de chez moi, je vais donc tâcher de vous faire partager sa vie quotidienne régulièrement. Au début elle me filait envie de gerber le matin et puis finalement ça fait plaisir de la retrouver, la toile pleine d'insectes puants.

Je ne sais pas à quelle vitesse grandit Raymonde, ni à quelle espèce elle s'apparente mais elle ne ressemble pas aux mygales très dangereuses que j'ai déjà pu voir. Ce qui est assez incroyable c'est que personne n'y prête attention et la rue est quand même assez passante.


J'ai pris deux photos en vitesse ce matin parce que les gens me regardaient d'un air bizarre:






*note à moi-même: Eviter de rentrer chez moi bourré le soir.

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Apprendre le surf, I

posté le 19 February 2006 à 15:00
Voilà je vais vous faire part d’une des mes passions, en espérant que ça vous plaise un minimum même si il y a quelque détails assez chiants, et puis ça vous donnera peut être des idées au lieu glander sur la plage à jouer à la raquette avec bobonne.


Ha le surf... Les vagues, le soleil, les filles, tous ces corps musclés, huileux et bronzés qui se...

Hum... ha ha. Oui alors le surf.

Histoire

Au 18ème siècle le capitaine James Cook jeta l'ancre au large des îles sandwich (Hawaï) et découvre le "He e'nalu", ces Polynésiens qui ne chevauchent pas seulement la houle en canoë; mais aussi sur des longues planches, taillées selon un rituel et un cérémonial précis dans le tronc d'un arbre.

Allongés dessus, ces natifs franchissent la barre d'écume et, avec une adresse qui lui parait inouïe, reviennent sur la rive debout sur leur embarcation. Ils se livrent même, par cette confrontation avec l'océan, à des duels où le meilleur acquiert ainsi un haut rang au sein de la communauté. On estime que cette pratique remonte au XVème siècle, ce qui fait du surf un des sports les plus vieux du monde.



Au XIXe siècle, sa pratique sera interdite par les américains lors de la colonisation des îles d'Hawaï. En effet, certains missionnaires auraient été choqués par la façon dont les autochtones pratiquaient ce sport, à savoir presque nus. (Oh My God)

C'est grâce à Duke Kahanamoku que le surf réapparaît dans les îles d'Hawaï, au début du XXe siècle. Le surf se répandit alors à la même époque aux États-Unis et en Australie, puis explosa dans les années 1950 et 1960 grâce aux progrès de fabrication des planches. Les premiers championnats du monde professionnels débutèrent en 1970.

En France, c'est Peter Viertel qui importa le surf en 1956 en remarquant les vagues de la côte basque.

Choisir son matos.

Tu es nu comme un ver, frais, beau et fringuant. Il va te falloir un peu de matériel.
Prend un short, n'importe lequel, rien à battre. Oui celui avec les mickey qui est trop petit là, non non n’ais pas honte. Il faut juste qu'il soit assez solide pour ne pas se faire arracher dans une vague. Si tu es un sale pauvre un calebute bien serré fera l'affaire. Pour des raisons anatomiques je suggère fortement d'éviter le slip de bain. Les filles sont par contre encouragées à porter le minimum syndical.

Selon la saison et la température de l'eau, prends une combinaison. En effet le surf est un sport de patience, on passe environ 99% de son temps à ramer et à attendre les vagues pour 1% d'adrénaline. Ouais ça se mérite. Le froid sera donc ton pire ennemi quand tu es inactif. En été on met une ''shorty'', un ''top'' ou rien du tout si tu veux bronzer, et en hiver une intégrale, qui est très chiante à mettre et surtout à enlever mais tiens chaud. Le vent est un facteur important; avec l'eau une simple petite brise refroidit le corps très rapidement. Si tu commences à trembler et à claquer des dents la nature t’a vaincue, tu es bon pour sortir de l'eau. A noter qu'une combinaison peut avoir une épaisseur de 2 à 6 millimètres. Certaines ont des cagoules, on peut rajouter gants et chaussons si la Manche ou la Bretagne sont tes spots préférés l'hiver. Evidemment tout ceci à des effets pervers: plus une combinaison est épaisse et chaude, plus l'amplitude de rame est réduite et plus on a mal aux bras. J'ai vu des types avec tellement de couches sur eux qu’ils n’arrivaient pas à passer la barre.

On peut aussi mettre un ''lycra'' sous la combi, sorte de t-shirt très moulant et fait pour aller dans l'eau, histoire de ne pas trop s'irriter les tétons avec la combinaison si vous êtes sensibles ; ou alors tout simplement pour se protéger du soleil quand il fait très chaud. Ou des méduses si tu surfe dans un endroit plus exotique que la Baule.




La planche est une autre paire de manche. Il ne faut pas croire que le matos fait le surfeur, mais je considère qu'un débutant avec une planche adaptée progresse deux à trois fois plus vite que celui qui a fait le mauvais choix. Une planche peut ressembler à n'importe quoi, du tronc hawaïen en passant par la planche petite et nerveuse jusqu'aux shapes rétro, on y trouve comme dénominateurs communs un ou plusieurs ailerons ainsi qu'une forme ovale. Pas facile de s'y retrouver.

Les planches de surf sont aujourd'hui généralement réalisées en résine synthétique. On classe les planches de surf en deux catégories pour s'y retrouver:

Les ''longboards'' sont les premières planches apparues et descendent d'une longue tradition hawaiienne. Elles sont grandes, larges et épaisses, le ''nose'' (nez) est très rond et sont généralement ''single fin'' (un seul aileron).

Les ''shorboards' sont apparues dans les années 1960-1970. Plus légères, plus effilées sur le nose et plus fines, elles permettent un surf beaucoup plus nerveux et radical qui fait rêver les djeun's. La technique y est très différente du longboard et moins accessible.




Plusieurs paramètres rentrent dans le choix de la planche; le poids de l'individu, sa taille, le type de vagues habituellement surfées. Quand à la planche en elle-même il faut regarder sa longueur, largeur, épaisseur, forme... Choisir ses premières planches est une véritable casse-tête car tout est affaire de compromis: vitesse, stabilité, maniabilité, facilité de rame...


Pour briller en société je te donne un truc de true hardcore surfer : les mensurations de la planche sont inscrites au dos, généralement à côté des ailerons. Elles sont en Pieds et Pouces et toujours dans cet ordre : Longueur, largeur, épaisseur.




Sur la photo vous avez une de mes planches. Vous pouvez en déduire qu’elle est très courte (6’1’’ ce qui fait dans les 1 mètre 80) mais large et épaisse. Donc très ronde. Ce qui implique adaptée vagues pas très grosse (parce qu’avec ça vous n’avez quasiment rien sous le pied), stable et pas ultra nerveuse (18 ¾ ’’ de large) et faites pour un surfer au poids conséquent (je pèse 80kilos d’où les 2 ¼’’ d’épaisseur). C’est donc une planche tolérante, qui offre une assez grande surface de rame, vous permet d’être relativement mauvais et de surfer à peu prêt n’importe quoi du moment que ce n’est pas gros. A contrario si vous voyez une planche avec des mensurations beaucoup plus petites, vous aurez une planche très fine, étroite, donc nerveuse et rapide mais aussi beaucoup moins tolérante. Donc encore moins adaptée pour les grosses vagues et les fautes techniques. Vous suivez ? Je simplifie à mort mais plus la planche est longe, épaisse et large plus elle est facile à prendre en main et on risque moins de se bouffer. D’un autre côté moins elle sera rapide, réactive et maniable. Beaucoup d’autres paramètres rentrent en jeu cependant. Tout est donc question de compromis et le mieux est encore d’essayer votre première planche pendant quelques jours sur des types de vagues différentes.

Sur la queue des shortboards (le ‘’tail’’) vous verrez souvent un ‘’pad’’ qui vous donne un bon appui sur le pied, ainsi qu’un ‘’leash’’ qu’on attache au pied arrière et qui vous permet d’éviter d’aller chercher votre planche sur le bord de la plage à chaque fois que vous vous prenez une boite.





Pour débuter la question ne se pose pas longtemps. Il faut une bonne grosse planche, typée longboard, aussi appelé ''tronc'' ou ''péniche'' par les mauvaises langues. Plus c'est gros, rond et épais, et mieux c'est. Une grosse planche vous permettra de prendre les vagues même les plus minables et de vous amuser sans trop de technique. Vous ''flotterez '' dessus sans soucis, et vous décuplerez votre puissance de rame grace à la surface de portance de la planche, très importante pour partir sur un vague. En général dans les écoles de surf et les magasins de location, vous commencerez avec une planche en mousse. Car une planche de surf c'est dangereux aussi bien pour soi que pour les autres, c'est en plus cher et fragile. Inutile d'acheter du neuf, rabattez-vous absolument sur de l'occasion; on pourrit très rapidement sa première planche.




Sur la planche, on met de la ''wax'', un genre de cire qui vous permettra d'adhérer un minimum à la planche parce que le surf est un sport où tu es entièrement free-dans-tes-pieds-tu-vois. Là aussi essayez d'acheter une wax qui correspond grosso-modo à la température de l'eau. (C'est écrit dessus au cas où tu es bigleux).




Elles sont où les vagues?

Ça y est tu as ta planche, tu as ton matos, t'es tout fou, tu vas déchirer !
Bon d'abord il faut trouver un coin pour surfer, un ''spot''. Où que l'on soit dans le monde, pour peu qu'il y a ait un brin d'océan pas loin, on peut trouver une vague. Un tour sur ce site génial qui recense des milliers de spots dans le monde: http://www.wannasurf.com/ et te voilà rassuré... Il y a bien des types qui surfent à trou-sur-mer!


Ouhla attends ne t'énerves pas. D'abord il faut savoir si il y a des vagues. Faire du surf ce n'est pas comme pêcher avec sa grand mère sur une barque, parfois la mer est plate comme un lac ou déchaînée sa maman. Deux solutions: tu vis prêt de la côte et tu vas regarder la tronche de flotte par toi-même. Ou alors tu as l’Internet multimédia interactif et là tu fais ça depuis ta maison. On appelle ça les ''surf report''. Prêt des spots connus on trouve souvent des sites Internet avec Webcams et updates tous les matins sur l'état des vagues. Dans les endroits plus reculés il faut apprendre à lire les cartes de houles et lire les infos sur l’état de la mer et le vent au large pour en déduire la force des vagues sur les plages. Avec un peu de pratique on y arrive très bien.

Pour la France ces sites ne sont pas trop mal:

http://www.surf-report.com/
http://www.swell-line.com/
http://www.windguru.cz/int/index.php?lang=eng

On peut à peu prêt surfer partout en France mais les meilleurs endroits sont bien sûr les Landes et la Côte Basque pour la régularité des conditions, et plus globalement toute la côte Atlantique. Nous avons pas mal de chance car certains spots des Landes ou de la côte Basque font partie des meilleurs endroits au monde. Pour la méditerranée et la manche il faut savoir être patient et très chanceux.

Dans le reste du monde il faut voyager en Océanie, Californie, Floride, îles du Pacifique, Afrique du Sud... pour découvrir les plus beaux spots de la planète. En allant moins loin sachez que le Maroc, le Sénégal, le Portugal ou même l'Irlande sont de superbes destinations surf.


Lire la mer

Yeah, tu arrives sur la plage, tu vois un truc qui fait de la mousse ; et paf tu te jettes à l’eau. Tu rames comme un psychopathe et tes bras te font vite mal. Gniii tu t’en prends plein la face, tu n’arrives pas à passer la barre de vagues du fond. Après quelques machines à laver tu te traînes péniblement sur les vagues du bord mais quand tu essaie d’en choper une tu restes sur place et tu t’enfonces désespérément dans l’eau comme une merde. Le vent se lève ; une espèce de petite houle vicieuse te suce et te claque sur le sable du bord. Et en plus tu planche est trop grosse et lourde, t’en as marre, c’est de la merde ce sport de cons, les vagues sont merdiques, quel est le connard qui m’a conseillé cette planche !!

Bon ne t’inquiète tout le monde est passé par là. Malheureusement il te manque encore quelque chose et tout ça est entièrement de ta faute. Ok on reprend et sois attentif. Le tout en surf c’est de ne pas se décourager et de ne pas se précipiter.

En arrivant sur une plage, le truc de hardcore surfeur c’est de scruter les vagues. Regarder comment elles déroulent, comment se démerdent les types dessus (ha ha ils sont trop nazes je vais les atomiser !), repérer d’éventuels courants méchants, évaluer la taille et la forces des vagues (il suffit de comparer avec la taille du surfer dessus, si le bonhomme a l’air riquiqui, beware !), voir si il n’y a pas un ‘’trou’’ pour passer la barre sans se faire atomiser, etc…

Oui je sais ça fait beaucoup. Avec des images tu vas mieux comprendre.

Voici ce qu’on appelle en surf le ‘’line-up’’. En gros ce sont les vagues que tu vas affronter.



Bon c’est parfait, magnifique, orgasmique. Des vagues comme ça vous en verrez une fois par an. Comme vous le voyez en regardant 5 minutes la flotte, on peut en déduire plein de chose. Les vagues sont parfaites et déroulent proprement, ont l’air assez puissantes et conséquentes vu l’écume et la taille des deux surfers qu’on voit à peine dessus, il y a deux vagues surfables sur la même plage, peut être des bouts de cailloux, etc… Evaluez donc un minimum la situation avant de vous jeter dessus en particulier concernant la taille et la puissance : sur le sable ça peut avoir l’air sympa, et une fois dans l’eau on s’aperçoit que ça va être un véritable cauchemar.

Contre exemple :

Là il faut oublier direct. Broyage par l’écume et risque de pétage de planche avec les creux au mieux, noyade ou coup du lapin contre le fond au pire.




La prochaine fois j’aborderai la technique et tous les tips de pro pour épater les filles.

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