Je viens de récup deux jeux de cette fin d'année sur ma petite DS Crimson (rapportée des iouesse, oui madame) :

Metal Slug 7 : Jeu bourrin en 2D avec tout un tas de gros boss et de gros flingues. Issu d'une longue lignée de jeux SNK, le jeu est graphiquement très mignon avec des animations rigolotes. Le jeu est sympathique mais l'aurait été plus si on ne crevait pas avec une seule balle. La durée de vie du mode histoire est dérisoire (comptez 45 minutes voire une heure) et les autres modes de jeu sont complètement facultatifs. Bref, à essayer éventuellement, mais de là à claquer 40€ dedans, euh...

Trackmania DS : Difficile de faire une adaptation plus fidèle. On y retrouve le feeling exact de la version PC et la fluidité est au rendez-vous. Par contre, disons le clairement : c'est pas génial graphiquement. Je trouve le jeu bien plus ardu que ses grands frères sur PC en ce qui concerne la campagne solo. Il y a bien un éditeur de niveaux et un mode multi, mais pas de mode online, ce qui limite un peu beaucoup l'intérêt de la chose. On retrouve les environnement Stadium, Desert et Rallye, qui proposent chacun une maniabilité bien à eux, le dernier étant définitivement le plus dur à maîtriser. Pour le reste, la magie Trackmania fonctionne encore à merveille et on essaye encore et encore de grapiller quelques centièmes de secondes à chaque nouvelle course.

Dans ma lettre au Père Noemule, je commanderai sûrement Professeur Layton et l'étrange village, le dernier Castlevaniaet Soul Bubbles, histoire de tester.

Ca a commencé par un refus digestif, une tartiflette qui jamais ne passa, c'était il y a un mois, une poignée de lunes avant mon congé ma fois fort mérité. Et depuis ça ne me lâche plus.

Un mois que ma vie n'est que nausée et tête qui tourne. Ca devrait bien finir par s'arrêter... Et si ça ne s'arrêtait jamais ? L'étude minutieuse de mon fluide vital ne donna rien, ni les autres, non plus. Noël ? Malade. Le nouvel an ? Fini à minuit et demie. Les vacances ? Au lit. Très peu de jeu. Et cette putain de déprime, je me sens affreusement misérable. Et 'pis j'ai pas faim, envie de rien faire.

Ce matin, boulot quand même. Jamais j'aurais pensé que prendre le métro pouvait être aussi difficile. Et ça tourne, et ça accélère, bordel, mais freine, tu vas bien trop vite. Merci madame pour votre sac dans mon bide, j'en avait justement bien besoin. Y'a pas à dire, c'est bien fait le corps humain.

Bon et merde, hein, pour une fois que je raconte ma life dans mon blog.