La porte.

posté le 01 November 2007 à 12:42
Tout va bien, oui monsieur, soyez-en assuré
Je suis fort et ce n'est qu'un moment de faiblesse
Non, vous n'avez rien vu, ni peine ni détresse
Comment, sur mon visage ? Cessez de plaisanter.

Partez, je vous en prie, et fermez bien la porte
Dites à mes amis que je suis occupé
Ou bien que je suis mort, après tout que m'importe ?
J'ai beaucoup de travail et je voudrais pleurer.

Je suis joie, je suis peine, et je ne suis plus rien
Mais j'étais autrefois, oui j'étais différent
Et je ne doutais pas (ou alors beaucoup moins)

Il fut un temps, je crois, où je riais souvent
Et sans désespérer
............................................Oui, mais c'était avant.
tags : le, ne, pas., poème, qui, remonte, ruisseau, sur
6 commentaires

Commentaires

Violaine a dit :
posté le 01 November 2007 à 14:31
Oh.
Ca pourrait être une ( très belle) chanson.

citer
Ouamdu a dit :
posté le 01 November 2007 à 17:28
SUICIDE TOI \o/

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carwin a dit :
posté le 01 November 2007 à 18:04
Suicide is painless §
Ci-joint la version ultra-moderne d'une vieille B.O d'une série (aka M.A.S.H) que tes yeux de jeune sont pas adaptés pour.

edit x5 \o/


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hohun a dit :
posté le 01 November 2007 à 19:48
Ceacy, tu as déjà essayé de prendre des substances ?

citer
Ceacy a dit :
posté le 01 November 2007 à 20:02
Je ne parlais pas spécifiquement de moi. Ça m'arrive, parfois.
Et non, je n'ai jamais rien essayé, comme substance bizarre.

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carwin a dit :
posté le 01 November 2007 à 20:05
Ceacy a écrit :
Je ne parlais pas spécifiquement de moi. Ça m'arrive, parfois.

Ah okay.
Donc comme le conseillait Marjolaine, il ne manque plus qu'un accompagnement à la guitare sèche.


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Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.

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