Thus spoke the Lord ...

posté le 12 August 2007 à 22:08
J'ai rajouté quelques segments à l'armature (la tête, les pouces, et quelques-uns en commun pour les doigts) ; de plus, le petit trou qui ornait, sournois, la poitrine du Lord, a disparu, comblé par Blender.
Malgré quelques déboires avec les animations, et la découverte du Ctrl + A qu'il faut, oui monsieur, penser à faire avant d'animer et/ou d'exporter, j'ai réussi à afficher le modèle dans Ogre, animé et tout et tout.



Là, c'est l'animation de lancer de sort. Je vais rajouter sous peu une vidéo, réalisée sous Blender, avec en sus le Décollage et l'Inactivité.

Victoire !
tags : 3d, ali, bien, c'est, lui, oui, prince, samoth

Commentaires

Ceacy a dit :
posté le 12 August 2007 à 22:33
La voilà.


Kayf a dit :
posté le 13 August 2007 à 09:25
Il y à l'air d'y a quand même beaucoup de polygone sur ton perso.

T'es sur que ça ira sous Ogre ?

Ceacy a dit :
posté le 13 August 2007 à 11:41
18000 polygones, une fois affiché dans Ogre (cf. screenshots du dessus). Je viens de regarder les zones à forte densité de polygones superflue :
- doigts des mains
- orteils
- intérieur des oreilles
- intérieur de la bouche
- nombril
- pelvis

Rien que dans ces quelques zones, il y a ... 10000 polygones. 55% du total ! Alors, bon, il va falloir que je découvre comment fusionner des faces sans tout casser.


Kayf a dit :
posté le 13 August 2007 à 13:24
Désolé blender je connais pas du tout :]

Mais bon... 8000 polygones je trouve que ca fait encore beaucoup !

Par curiosité, il est importé à quel format sous ogre ?

Ceacy a dit :
posté le 13 August 2007 à 18:15
Un format binaire spécifique à Ogre (extension .mesh + .skeleton pour l'armature).

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Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.

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