beirut
[05/14] The end is near
Fin de semestre, oui : je n'ai plus d'examens*, juste un rapport de projet (quasiment fini) à rendre, et deux semaines de vacances entre New-York, Boston, Washington et Princeton (où la grande fête/orgie des alumni est censée se dérouler fin mai).
Hier, avec l'autre Française et une élève de Princeton, excursion de 8 heures au fin fond du New-Jersey (Princeton, Princeton Junction. Princeton Junction, Secaucus. Secaucus, Bay Street. Deux heures aller, deux heures retour, quatre heures dans une « petite cité de caractère ») pour voir un concert.
Beirut !
Bon, la première partie (une obscure chanteuse solo accompagnée d'une guitare électrique, qui a tenté obstinément, durant une grosse demi-heure, de prouver qu'elle pouvait crier très fort et très rauque et effectuer sans raison d'abrupts changements de registres vocaux) était au mieux dispensable, mais lupanar**, Beirut valait le (grand) détour ! Dans un théâtre en plâtre imitation Comédie-Française, deux trompettes, un ukulélé, un piano, une batterie, des guitares ... wow. Je ne m'attendais pas à ça. Ils sont au moins aussi bons en live qu'en album ! Et puis, la première partie, on pouvait la passer à se moquer des hipsters dans la salle.
Mon seul regret, c'est que vu mon état de fatigue, j'avais parfois quelques difficultés à garder les yeux ouverts. Oh, et aussi de ne pas avoir compris pourquoi il y avait des réservoirs à bonbons dans les toilettes des hommes.
* Un examen à faire à la maison en 48 heures, avec interdiction de se faire aider ou de regarer autre chose que les documents du cours, et sur lequel vous devez jurer ne pas avoir triché, c'est ... pénible. « Eh, les gars, ça vous dit de stresser et de ne pas dormir pendant deux jours ? »
Il m'a fallu 36 heures (dont 7 de sommeil), 10 litres de Coca Zero et 6 cafés. Et quelques incursions sur wordreference.com pour comprendre le sujet.
** Bordel.
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Quelques mots ...
Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.
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