Qui que tu sois, merci !
posté le 20 March 2006 à 19:23
Journée de merde, comme souvent le lundi, quand j'agonise deux heures en bio, et que je finis la journée écartelé par une longue et lente heure de latin. La tête en morceaux, les yeux qui piquent, je rentre chez moi.
Ah, tiens, le moment de pur bonheur n'est pas fini, il me reste à aller à la Poste, faire des courses, et vider les poubelles. Il pleut, en plus, tout est gris, etje me morfonds sous les étoiles qui me regardent avec dédain j'en ai marre. Vraiment. Disons que sur une échelle de lassitude allant de zéro à vingt, je dois faire un bon vingt-deux.
Juste avant de remonter, je me souviens que j'ai un bout de papier, dans la poche. Un colis à aller retirer chez le concierge, ou plutôt, en l'occurrence, sa femme, que j'apprécie autant que les invasions de chameaux et les agressions à la perceuse.
Et là, surprise : il n'y a pas un colis chiant, mais un colis chiant et un colis tout court. Vu que le premier est adressé à ma soeur, la grande, qui a toujours oublié de signaler à toutes les régies publicitaires qu'elle avait changé d'adresse, je m'en désintéresse aussitôt, et arrache fébrilement l'emballage du second.
Hallélujah. Ouaip. Parce que ce qui se découvre devant mes yeux incrédules, puis devant le reste de ma personne, c'est rien moins qu'un coffret daÿvaydaÿ, sur lequel j'avais vaguement posé une option, en occasion et en décembre, sur amazon. Et il est là, devant moi ! Lui.
Je suppose qu'à l'autre bout, quelque monnaie a été débitée de la karthebleux de ma Mère, mais qui se soucie de ces vils et mesquins détails matériels ? À part ma mère, je veux dire.
Ah, tiens, le moment de pur bonheur n'est pas fini, il me reste à aller à la Poste, faire des courses, et vider les poubelles. Il pleut, en plus, tout est gris, et
Juste avant de remonter, je me souviens que j'ai un bout de papier, dans la poche. Un colis à aller retirer chez le concierge, ou plutôt, en l'occurrence, sa femme, que j'apprécie autant que les invasions de chameaux et les agressions à la perceuse.
Et là, surprise : il n'y a pas un colis chiant, mais un colis chiant et un colis tout court. Vu que le premier est adressé à ma soeur, la grande, qui a toujours oublié de signaler à toutes les régies publicitaires qu'elle avait changé d'adresse, je m'en désintéresse aussitôt, et arrache fébrilement l'emballage du second.
Hallélujah. Ouaip. Parce que ce qui se découvre devant mes yeux incrédules, puis devant le reste de ma personne, c'est rien moins qu'un coffret daÿvaydaÿ, sur lequel j'avais vaguement posé une option, en occasion et en décembre, sur amazon. Et il est là, devant moi ! Lui.
Je suppose qu'à l'autre bout, quelque monnaie a été débitée de la karthebleux de ma Mère, mais qui se soucie de ces vils et mesquins détails matériels ? À part ma mère, je veux dire.
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Quelques mots ...
Lecteur, avant toute chose, je me dois de t'avertir du contenu de cet encart. Je ne vais pas m'y étendre sur ce que je suis ou ne suis pas. Non pas pour ne pas t'ennuyer, c'est le cadet de mes soucis pour le moment, et puis ça arrivera tôt ou tard ; mais pour ne pas trop en dévoiler. Ce blog est le mien, et en tant que tel m'est dédié de long en large : me dépeindre — ou tenter de le faire — en quelques mots serait, plus qu'une erreur, un mauvais calcul. Et je déteste faire de mauvais calculs, ça me frustre.
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